






Anarion,lundi 19 juillet 2004, 09:12 a écrit :Et ben, quel chapitre, il est vraiment très bon!!
Décidément Gillossen c'est un réel plaisir de te lire.
Merci beaucoup, ça remonte le moral.Merci pour le travail d'une telle qualité GIllo!
Disons plutôt pour reprendre Anarion, que ça se passe " sans trop de remous "...Si j'ai suivi, la vague n'est pas encore retombée, si??
Oui, j'ai longuement hésité d'ailleurs... Enfin, 30 secondes, quoi.Thys,mardi 20 juillet 2004, 14:08 a écrit :(le tartare!!!! Il fallait oser celle-là!Mais ça ne m'a pas empêcher de me marrer!
)
J'y tenais.le duel de gentlemen est très sympa, on se l'imagine tout à fait!
Comme d'autres, visiblement.J'aurai bien aimé voir plus du duel avec Crochet par exemple
Chouette, il ne manque plus que l'annonce en news, et on est à jour.Un petit mot pour vous signaler que les chapitres 16 et 17 format html sont en ligne pour les amateurs !
Mais quoi donc alors ? ;)Dire que le fichier de l'épilogue est à portée de clic, là, sur le bureau...Je me suis d'ailleurs souvenu d'une chose que j'ai oublié d'intégrer dans la scène, et qui ne m'est revenue que tout à l'heure...
Certain(e)s l'ont vu ?LE CENTRE DU MONDEUn jour où les dieux s'ennuyaient sur l'Olympe, ils décidèrent, en guise de distraction, de déterminer l'emplacement du centre du monde. Zeus envoya donc deux aigles, chacun partant des deux extrémités du monde grec : l'un de l'Orient, l'autre de l'Occident. Et les deux aigles divins se rencontrèrent au-dessus du site antique de Delphes. Zeus laissa alors tomber au cœur du sanctuaire sacré une pierre sacrée, que les grecs baptiseront ensuite le « nombril du monde ». Un véritable courronement pour le site d'Apollon. Car Delphes est déjà auparavant le sanctuaire consacré au dernier des dieux de l'Olympe : Apollon, la divinité chargée de réveler aux hommes leur avenir. Et ce dieu a un interprète humain - ou plutot une interprète, puisqu'il s'agit d'une femme. Il s'agit de la pythie. A l'intérieur du temple, tout au long de l'antiquité grecque, elle va prédire les temps futurs - et attirer à elle les humbles et les puissants. Delphes devient ainsi un site « international », ou toutes les cités indépendantes de la grèce antique se doivent d'avoir une représentation (un trésor, c'est à dire un bâtiment abritant les offrandes de la cité au dieu Appolon), et viennent demander conseil à la Pythie, avant toute décision d'importance. La pythie rentre alors en transe - et livre aux humains un commentaire incohérent. Libres aux pretres qui l'entourent, et à ceux qui la consulte, d'interpréter ses paroles. Avec François Busnel, écrivain, passionné par la mythologie grecque, nous allons vous raconter cette fabuleuse histoire de Delphes, et vous conter l'aventure d'Apollon. Apollon qui va livrer ici son plus terrible combat, contre le serpent Python (d'ou la Pythie) - combat qui sera aussi à l'origine de l'ancêtre des jeux Olympique, qui se déroulent en lisière du sanctuaire de Delphes… et que les Grecs baptisent : les jeux pythiques. Et puis avec Dominique Mulliez, nous tenterons de savoir ce qui du mythe fut vraiment réalité : il est archéologue et responsable de l'Ecole Française d'Athènes - les scientifiques français qui depuis plus d'un siècle ont mis au jour l'essentiel des vestiges du sanctuaire antique. Il nous explique comment fonctionnait le rituel de l'Oracle de Delphes, de quelle manière la pythie, l'interprète d'Apollon, prédisait l'avenir aux grecs venus la consulter. Il nous présente les plus beaux des trésors de Delphes, ces batisses qui abritaient les offrandes des différentes cités faites à Apollon. Dominique Mulliez nous décryptera aussi quelques inscriptions, gravées sur le grand mur de soubassement du temple de la pythie : des actes d'affranchissement d'esclave : des actes d'affranchissement d'esclave. L'histoire des dieux rencontre ici l'histoire des hommes les plus humbles.
Ca c'est sûr, je ne l'ai pas souligné mais c'est aussi ce que j'ai pensé, le coup de la mémoire, on s'y attendait, mais le reste!J'ai beaucoup aimé le coup de théatre de Cendrillon car si le premier (avec sa mémoire) était prévisible, la suite l'était beaucoup moins et laisse présager d'une suite très intéressante.
Eh bien, ravi que ça vous plaise autant, car ça fait partie des ajouts dont parlait Goldberry un peu plus haut, à savoir ce qui avait " sauté au montage " dans la version en un seul chapitre, et que j'ai réintégré sous le coup de " l'inspiration " en profitant de la décision de finalement en proposer deux. ;)Voilà pour la petite histoire...Thys,jeudi 22 juillet 2004, 16:20 a écrit :Ca c'est sûr, je ne l'ai pas souligné mais c'est aussi ce que j'ai pensé, le coup de la mémoire, on s'y attendait, mais le reste!J'ai beaucoup aimé le coup de théatre de Cendrillon car si le premier (avec sa mémoire) était prévisible, la suite l'était beaucoup moins et laisse présager d'une suite très intéressante.On n'est vraiment JAMAIS au bout de nos surprises!
Une très bonne émission de mon collègue Patrick de Carolis, effectivement ! Dommage que vous n'ayez pas été plus nombreux à la regarder, jeunes gens ! A votre place, je vérifierais qu'elle n'est pas rediffusée dans la nuit, ça arrive parfois.Mais bon, ça ne vaut pas un bon Fort Boyard !Gillossen,jeudi 22 juillet 2004, 12:16 a écrit :Pour en revenir à l'omphalos, je suis vraiment déçu de ne pas l'avoir vu plutôt pour l'annoncer dans le sujet AVANT sa diffusion, mais " Des racines et des ailes " sur France 3 hier soir, proposait un reportage sur le centre du monde de Delphes !LE CENTRE DU MONDEUn jour où les dieux s'ennuyaient sur l'Olympe, ils décidèrent, en guise de distraction, de déterminer l'emplacement du centre du monde. Zeus envoya donc deux aigles, chacun partant des deux extrémités du monde grec : l'un de l'Orient, l'autre de l'Occident. Et les deux aigles divins se rencontrèrent au-dessus du site antique de Delphes. Zeus laissa alors tomber au cœur du sanctuaire sacré une pierre sacrée, que les grecs baptiseront ensuite le « nombril du monde ». Un véritable courronement pour le site d'Apollon. Car Delphes est déjà auparavant le sanctuaire consacré au dernier des dieux de l'Olympe : Apollon, la divinité chargée de réveler aux hommes leur avenir. Et ce dieu a un interprète humain - ou plutot une interprète, puisqu'il s'agit d'une femme. Il s'agit de la pythie. A l'intérieur du temple, tout au long de l'antiquité grecque, elle va prédire les temps futurs - et attirer à elle les humbles et les puissants. Delphes devient ainsi un site « international », ou toutes les cités indépendantes de la grèce antique se doivent d'avoir une représentation (un trésor, c'est à dire un bâtiment abritant les offrandes de la cité au dieu Appolon), et viennent demander conseil à la Pythie, avant toute décision d'importance. La pythie rentre alors en transe - et livre aux humains un commentaire incohérent. Libres aux pretres qui l'entourent, et à ceux qui la consulte, d'interpréter ses paroles. Avec François Busnel, écrivain, passionné par la mythologie grecque, nous allons vous raconter cette fabuleuse histoire de Delphes, et vous conter l'aventure d'Apollon. Apollon qui va livrer ici son plus terrible combat, contre le serpent Python (d'ou la Pythie) - combat qui sera aussi à l'origine de l'ancêtre des jeux Olympique, qui se déroulent en lisière du sanctuaire de Delphes… et que les Grecs baptisent : les jeux pythiques. Et puis avec Dominique Mulliez, nous tenterons de savoir ce qui du mythe fut vraiment réalité : il est archéologue et responsable de l'Ecole Française d'Athènes - les scientifiques français qui depuis plus d'un siècle ont mis au jour l'essentiel des vestiges du sanctuaire antique. Il nous explique comment fonctionnait le rituel de l'Oracle de Delphes, de quelle manière la pythie, l'interprète d'Apollon, prédisait l'avenir aux grecs venus la consulter. Il nous présente les plus beaux des trésors de Delphes, ces batisses qui abritaient les offrandes des différentes cités faites à Apollon. Dominique Mulliez nous décryptera aussi quelques inscriptions, gravées sur le grand mur de soubassement du temple de la pythie : des actes d'affranchissement d'esclave : des actes d'affranchissement d'esclave. L'histoire des dieux rencontre ici l'histoire des hommes les plus humbles.
Avant que la citation du jour ne devienne la citation d'hier passée à la trappe, je la remets ici. Voilà de belles promesses pour l'épilogue ! Archibald, le sifflet coupé... Ca n'a pas du arriver souvent ! :mrgreen:Alors Black Sabbat ou Atlantide ?Ca n'intrigue personne ou vous êtes rassasiés par les deux chapitres en trois jours ????Le jeune professeur n’était pas le seul à se promener le nez en l’air, la bouche béante, à chaque pas plus admiratif que le précédent.
Je me posais la question.Publivore,lundi 26 juillet 2004, 17:39 a écrit :Ca n'intrigue personne ou vous êtes rassasiés par les deux chapitres en trois jours ????![]()
Si c'était la Tour, je ne suis pas sûr qu'Archibald se montrerait aussi ébahi par ce qu'il semble voir, vu qu'il connaît tout de même bien les lieux maintenant... ;)Pour Candide :(la tour par exemple, y a pas mal de monde qui ne l'a pas vu depuis longtemps)...
Non, non, il ne faut pas raisonner comme ça, sinon personne ne posterait plus rien au bout de deux ou trois avis.Alors que dire de plus, tout a déjà été dit;
Sincèrement, je n'ai pas conscience de ça.(je dois avouer que tes progrès styllistiques sont fulgurants depuis quelques chapitres!)
Eh bien, j'avoue par contre que venant d'un lecteur aussi " vorace "Un des moments et une des choses "fortes" de mon année fantasy, vraiment! :)
Ca doit surement beaucoup influer, mais je trouve que tu as réussi à prendre une certaine "liberté" dans ton écriture, on sentait déjà auparavant le "bohneur" de l'écriture, mais es derniers chapitres que j'ai lus m'ont donné l'impression qu'ils avaient été écrits avec beaucoup de plaisir...Maintenant, je me trompe peut être...C'est peut-être seulement le fait d'avoir multiplié les points de vue, et le rythme logiquement plus nerveux du final.
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