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Le pitch m'avait attiré, mais à l'époque de la sortie ma PAL était très, mais alors très chargée... Donc je suis passé à côté.J'ai lu la critique de Belgarion, et du coup j'ai envie de remettre la main sur le bouquin : le cadre gallo-romain est très attirant car très original et tout le reste semble être à l'avenant.Et puis c'est un one-shot : l'investissement en temps et en argent me paraît assez raisonnable pour me laisser tenter.Sans oublier une couverture de Julien Delval, c'est toujours un sacré plus ! :)Dans tous les cas, je tiens à saluer la démarche de Fabien Clavel (qui lui ne se laisse pas tenter par les sirènes de la BCF), qui remet son travail à l'ouvrage à chaque nouveau roman pour proposer quelque chose d'original et d'intéressant.A chaque fois on sent les recherches en amont pour donner de l'épaisseur à son sujet et l'envie de bien faire est manifeste.Car en effet bâtir une uchronie à partir du fascinant personnage de Julien l'Apostat est une excellente idée.Empereur romain tellement fascinant qu'on se demande bien pourquoi il n'a pas plus inspiré les auteurs de romans historiques (et il pourrait faire un excellent personnage de fantasy par ailleurs !).Merci à Belgarion pour la critique, qui m'a rappelé au bon souvenir de ce titre !
PS:Quand aux fautes d'édition, je crois qu'il faudrait reprendre les ouvrages, les dates et l'organigramme de Mnémos car il me semble que durant une période l'éditeur était particulièrement coutumier du fait ce qui n'est plus le cas...(souvenez-vous du tristement légendaire Ombramère : 1 faute toutes les 3 pages ou presque !!!)

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Décidément tu extirpes de l'oubli certaines sorties peu connues du grand public albéric! ^^Je suis heureux que la critique t'ai donné envie d'en savoir plus. Ce roman de Fabien Clavel, original et ucrhonique, n'est sans doute pas le meilleur qu'il ait écrit (je préfère le châtiment des flèches par exemple), mais il est d'un bon niveau de qualité avec beaucoup de fraîcheur et d'originalité. Le cadre gallo romain uchronique est décrit avec finesse et érudition sans être trop lourd (à la différence du livre uchronie, l'utopie dans l'histoire de Charles Renouvier que je viens de lire avec difficulté). J'aimerais bien que Fabien reprenne les récits uchroniques. 

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@ Belgarion
C'est pas faute de me donner beaucoup de peine, souvent en pure perte. :(Mais à ton service pour exposer à la lumière du jour des ouvrages un peu trop tôt tombés dans les limbes de l'oubli.Décidément tu extirpes de l'oubli certaines sorties peu connues du grand public Albéric ! happy
Celui-là aussi, je vais m'intéresser à son cas :la Hongrie médiévale à peine sortie des Âges Sombres, cela change des anglo-saxonneries médiévales-fantastiques.Je suis heureux que la critique t'ai donné envie d'en savoir plus. Ce roman de Fabien Clavel, original et ucrhonique, n'est sans doute pas le meilleur qu'il ait écrit (je préfère le châtiment des flèches par exemple)
Fabien Clavel, Christophe Lambert, Xavier Mauméjean, Johan Heliot (Reconquérants)... : il y aurait presque une "école" française de l'uchronie qui se prend pas la tête en écrivant des romans courts et plutôt funs au lieu de refaire l'Histoire de A à Z.mais il est d'un bon niveau de qualité avec beaucoup de fraîcheur et d'originalité. Le cadre gallo romain uchronique est décrit avec finesse et érudition sans être trop lourd (à la différence du livre uchronie, l'utopie dans l'histoire de Charles Renouvier que je viens de lire avec difficulté).
+ 1 :)Pourquoi ne pas indiquer le nom de Fabien Clavel dans l'intitulé du sujet, histoire d'aguicher un peu plus le chaland car d'un côté des bouquins qui ont pour titre la Cité de Bidule-Truc-Machin-Chose il y a un paquet...(et d'un autre côté son Homo Vampiris a eu l'air de rencontrer son petit succès quand même ?)J'aimerais bien que Fabien reprenne les récits uchroniques. wink
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Je profite de mon arrivée sur le forum pour répondre à certaines interrogations (dont je me rends compte que l'actualité n'est pas bouleversante puisque le dernier message date d'il y a plus de trois ans). Sur "La Cité de Satan" (c'est un renversement de "La Cité de Dieu" d'Augustin ; même si ce n'est effectivement pas super original, j'avais quand même une bonne raison
), il y a peu de chance que le roman sorte en poche dans un avenir proche (c'est loin d'être un best-seller). J'espère en revanche pouvoir un jour le retravailler pour qu'il en existe une version électronique (et plus abordable).

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De rien. C'est normal.Sinon, pour ceux que ça intéresse, j'avais laissé le point de divergence de cette uchronie hors du roman (il est évoqué mais pas raconté). Néanmoins, je suis revenu dessus dans une nouvelle intitulée "Comment le dieu vint à Julien" parue dans Dimension Antiquité (dirigée par Meddy Ligner). En cas de réédition, je pourrais presque en faire une sorte de prologue.