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C'est vrai que ces photos sont pas mal, je dois dire qu'au départ je craignais le pire ! J'étais décider à aller le voir au ciné seulement par curiosité mais depuis que j'ai vue la BA j'ai vraiment envie d'y aller même si le coupage entre les deux films m'a un peu refroidie ! Je suis surprise qu'ils coupent là! Aussi loin il reste plus grand chose pour le deuxième film.
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De toutes façons, le découpage est une très mauvais idée, chaque livre d'Harry Potter a une structure qui lui est propre et qui ne devrait pas être modifié, j'aurais largement préféré un grand film de 3 heures qui auraient fait des coupes plutôt que deux demi-films qui se veulent exhaustif mais n'auront très probablement (surtout pour le premier) aucun souffle et aucun rythme.
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Ben y a de grandes chances pour que ça suive le chapitrage du livre Foradan, en même temps, ils n'ont pas vraiment le choix , c'est soit ils zappent une très grande partie du livre et là y a carrément pas de premier film, ou soit ils innovent à fond et David Yates fait un film qui n'est plus l'adaptation d'Harry Potter et les Reliques de la Mort, au risque de rater l'ultime volet et de faire fuir les fans, et ça je doute que ce soit ce que veut David Heyman.Je suis contente que Daniel Radcliffe reconnaisse et avoue ouvertement sa faible performance dans le 6, car j'en venais à me demander, si c'était les acteurs qui étaient mous ou si les réalisateurs ne savaient pas les mettre en scène. Il est vrai qu'ils étaient et restent tout de même, des jeunes acteurs, qui n'ont pas un vécu cinématographique conséquent mais il semble ressortir de tout ça, qu'on voulait préserver les acteurs pour qu'ils finissent la saga. Parce que ça fait quand même désordre, sur tout les plans, un Harry Potter ou une Hermione qui changent de tête à chaque film... et le reste n'est que de la littérature comme on dit....une exploration des relations entre les personnages.
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Le vrai problème du 6 est que le script était très mal écrit, ce qui ne facilite pas la tâche des acteurs. Ce n'est pas un hasard d'ailleurs si le seul HP bien écrit depuis le 2 (à savoir depuis que les tomes sont devenus trop gros pour être adapté intégralement), c'est l'ordre du Phénix car il a été écrit non pas Steve Kloves mais par Michael Goldenberg. Kloves n'a rien compris à HP, il en fait une chronique amoureuse adolescente enrobée d'une saga épique alors que c'est bien le contraire dont il s'agit, Harry Potter est une fresque épique enrobée de chroniques adolescentes et ça, Goldenberg l'avait bien compris en mettant en sourdine les histoires de couples pour se concentrer sur la relation entre Sirius et Harry et sur la tentation totalitaire du ministère de la magie.Dynam a écrit :Je suis contente que Daniel Radcliffe reconnaisse et avoue ouvertement sa faible performance dans le 6, car j'en venais à me demander, si c'était les acteurs qui étaient mous ou si les réalisateurs ne savaient pas les mettre en scène. Il est vrai qu'ils étaient et restent tout de même, des jeunes acteurs, qui n'ont pas un vécu cinématographique conséquent mais il semble ressortir de tout ça, qu'on voulait préserver les acteurs pour qu'ils finissent la saga. Parce que ça fait quand même désordre, sur tout les plans, un Harry Potter ou une Hermione qui changent de tête à chaque film... et le reste n'est que de la littérature comme on dit.
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Alors ce qui est bizarre c'est que justement, moi c'est le 5 que je trouve le plus pourri Harry Potter et l'ordre du Phénixen même temps y avait rien dans le livre, la confirmation du retour de Voldemort par la scène du ministère, alors que celui-ci s'efforçait volontairement ou par incompétence de fermer les yeux sur le retour du Lord noir, le reste n'était qu'une émulation entre jeunes due aux vapeurs de l'adolescence. Donc même avec un très bon scénariste (et Michael Goldenberg n'a pas été exceptionnel) on n'obtient pas de miracle. Il aurait dû mettre plus en avant la menace Voldemort ou du moins la faire plus sentire dans l'atmosphère et moins les amourettes. Les jeunes n'avaient pas l'air si inquiets que cela (à part quelque Gryffondors), ils étaient plus soucieux de trouver leur moitié que de leur devenir si un certain mage noir venait à diriger le ministère.Il faut croire que Steve Kloves n'est pas si nul que ça parce qu'il ai le scénariste de tout les films de la saga à part le 5 et que si il n'avait pas satisfait, on ne l'aurait pas rappelé pour le grand final, tu crois pas ? Dans le cas contraire cela voudrait dire que les 6 films sur les 7 sont pourris et qu'on peut sérieusement s'inquiéter pour le/les derniers. Ce qui est loin d'être mon cas, sans compter que mon préféré est le 3 Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban et qu'il reste bien placé dans les sondages.Harry Potter est certes une saga épique mais JKR l'a voulu volontairement sur fond d'amour :d'une part parce que ses livres étaient destinés aux jeunes et qu'une saga de guerre avec menace d'extermination et régime totalitaire, ne leurs aurait certainement pas plus, et d'autre part parce que l'amour vient à bout de tous les maux et la haine de la terre. Albus Dumbledore ne fait-il pas la remarque à Voldemort dans le 5 au ministère ? Voldemort n'a pas d'amour et ne sait pas aimer et dans le 7Darkseid a écrit :e vrai problème du 6 est que le script était très mal écrit, ce qui ne facilite pas la tâche des acteurs. Ce n'est pas un hasard d'ailleurs si le seul HP bien écrit depuis le 2 (à savoir depuis que les tomes sont devenus trop gros pour être adapté intégralement), c'est l'ordre du Phénix car il a été écrit non pas Steve Kloves mais par Michael Goldenberg. Kloves n'a rien compris à HP, il en fait une chronique amoureuse adolescente enrobée d'une saga épique alors que c'est bien le contraire dont il s'agit, Harry Potter est une fresque épique enrobée de chroniques adolescentes et ça, Goldenberg l'avait bien compris en mettant en sourdine les histoires de couples pour se concentrer sur la relation entre Sirius et Harry et sur la tentation totalitaire du ministère de la magie.
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Oui je sais, et que Voldemort ne pouvait pas le tuer tant qu'il était dans sa famille, parce que le lien de sang avec sa tante le protégeait. C'est d'ailleurs une des choses que Voldemort n'a jamais compris : Comment et pourquoi l'amour de lily a t-il pu protéger Harry. Mais il y a aussi le fait qu'Albus Dumbledore, dans le cinquième livre, au chapitre intitulé " le Seul Qu'il n'ait Jamais Craint" C'est dans la scène au ministère, dit a Voldemort qu'il est incapable de comprendre qu'il y a pire que la mort et qu'il y a d'autres façons de détruire un homme que de le tuer. Sans doute pensait-il en disant cela, à la souffrance qu'apporte la perte d'un être cher et pour sa part le déçé de sa jeune sœur, dont la mort à détruit en quelque sorte la famille Dumbledore. Ces paroles ont été, d'après moi, retranscrites dans le film par le fait que Voldemort ne savait pas aimer, j'ai même l'impression qu'Albus le dit. Et dans le sixième livre, dans la quête des Horcruxes, Albus dit à Harry que Voldemort n'a confiance en personne, que c'est un être solitaire.Foradan a écrit :Ca, c'est dès le tout début, quand Albus explique à Harry comment il a survécu, grâce à la magie de l'amour maternel.
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Oui enfin, ça c'est quasiment mythologique, c'est l'Amour avec un grand A, pas les histoires de midinettes et il y a clairement une évolution dans l'intrigue, la saga a grandi en même temps que ses lecteurs, la noirceur de certains passages des deux derniers livres étaient inconcevables dans le premier volume.Et oui, je persiste et je signe, Goldenberg a réussi à faire du moins bon tome de la série l'un des meilleurs films, alors que Kloves a pourri le 4 et le 6 en perdant de vue le fil conducteur (ce dont les ados qui vont voir le film se fichent complètement, d'où le succès public mais certes pas artistique des films)Quant au 3, il est sauvé uniquement grâce à la merveilleuse mise en scène de Cuaron, le seul excellent réalisateur à forte personnalité à avoir officié sur la série.
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En même temps si tu veux voir un film artistique, Harry Potter n'est, d'après moi pas vraiment le genre <_<Dans la mesure où quand on parle d'un film, on pense tout de suite - réalisateur - et non - scénariste - Kloves ne me gène pas outre mesure surtout qu'il semblerait qu'ils ont enfin trouvé l'équipe gagnante, alors on prend les mêmes et on recommence car on ne change pas une équipe qui gagne, c'est en tout cas ce que doit penser David Heyman : Regarde les noms qui reviennent le plus souvent, ça parle tout seulDarkseid a écrit :Et oui, je persiste et je signe, Goldenberg a réussi à faire du moins bon tome de la série l'un des meilleurs films, alors que Kloves a pourri le 4 et le 6 en perdant de vue le fil conducteur (ce dont les ados qui vont voir le film se fichent complètement, d'où le succès public mais certes pas artistique des films)



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En même temps, on peut à la fois faire un film commercial et tout public tout en ne loupant pas le côté artistique de la chose (cf La Petite Princesse de, tiens, Cuaron, par exemple).Bon, je dis ça mais j'aime vraiment ces films,à part les Columbus, aimés à la sortie mais que j'arrive difficilement à revoir aujourd'hui, plus pour la réalisation balourde et la musique envahissante que pour les scenar' d'ailleurs (même si Lucius Malefoy prêt à lancer un avada à Harry devant le bureau de Dumbledore... voilà, quoi).Le problème du 6, c'est que c'est un livre de transition, qui vient avec un tome qui était déjà un peu de transition. C'est nécessaire, mais ce n'est pas ce qu'il y a de plus stimulant non plus.Le tome 5 était beaucoup trop long et se perdait dans des détails inutiles, et aurait énormément gagné à être plus ramassé, mais au moins, il y avait de la tension: Harry était vraiment poussé à bout, il y avait le rôle du ministère, des révélations importantes (je ne pense pas à la prophétie qu'on voyait venir dès la fin du tome 1 et qui na rien d'original, heureusement que le tome 6 remet les pendules à l'heure à ce sujet d'ailleurs, mais plutôt sur le père de Harry) des personnages qui évoluaient enfin (Ginny et Neville).Le tome 6, à côté, est nettement moins tendu. C'est volontaire, c'est le calme entre l'année pourrie qu'a passé Harry avant et celle qu'il va passer traqué sur les routes par la suite. Du coup je suis toujours un peu surprise quand je vois que certains disent que le sixième film aurait dû être encore plus sombre que le 5 alors qu'il s'agit clairement d'une respiration.Même si les tomes 2 et 5 sont sans doute les moins réussis, le tome 6 est le plus difficile à adapter en en faisant quelque chose de dynamique (et pour beaucoup, c'est râté visiblement).Chacun des tomes à une intrigue forte, sauf celui-là:- Harry découvre des éléments du passé de Voldemort: c'est capital et plein de trucs intéressant, mais Harry se contente de plonger dans la pensine, regarder un souvenir, puis se faire expliquer ce qu'il vient de voir par Dumbledore. Dans un livre, ça passe bien, en film, voir plonger Harry tous les quart d'heure puis se faire expliquer ce que le spectateur a vu, ce serait vite pénible. C'est donc compréhensible qu'ils aient réduit à deux les souvenirs (orphelinat et horcruxes) on a l'essentiel, même si c'est évidemment dommage de ne pas avoir la partie ches les Gaunt. Bref, c'est plein d'infos intéressante mais ce n'est pas une intrigue centrale très dynamique. Le personnage principal ne court aucun risque, il est passif.- Harry soupçonne Malefoy d'être un Mangemort et Rogue d'être un traître. Ça pourrait sembler plus excitant, mais non, même pas. Harry a des soupçons, espionne Malefoy... Mais il aurait pu passer à côté pendant toute l'année que le résultat n'aurait pas été différent, et Malefoy explique tout à la fin. la seule contribution de Harry aura été de mettre quelques membres de l'AD dans le couloir, qui ont été assez efficaces, mais ça s'arrête là et encore une fois, à part dans la scène du sectumsempra (conservée dans le film) Harry ne court aucun danger, se pose des questions de temps en temps, et voilà.- le Prince de Sang-Mêlé: encore une fois, très intéressant en livre, pas évident à rendre à l'écran, et encore un truc en arrière-plan et pas ébouriffant. Bien sûr, on se demande tous qui est le Prince, mais le rapport d'Harry au livre, c'est surtout de le lire et d'essayer les sortilèges (avec les résultats que l'on sait).Là, l'erreur du film, c'est de laisser le livre de côté trop longtemps, entre la première sortie à Pré-au-Lard où le trio en discute et le sectumsempra, il n'y a rien du tout. Il aurait fallu un rappel au moins entretemps (Hermione essayant d'avertir encore Harry, ou au moins montrer qu'Harry trouve l'idée du bézoard dans le livre et dit ensuite que c'est comme ça qu'il a pu sauver Ron). Du coup, la révélation tombe complètement à plat ("au fait, Potter, avant que je me casse, le Prince de Sang-Mêlé, c'était moi. Ça t'en bouche un coin, pas vrai?"). Mais bon, même dans le livre, ça restait en filigranne, cette histoire de livre.Donc on a un Harry qui jusqu'à la fin quand il sort enfin de Poudlard, est protégé, admiré alors que l'année précédente il était dénigré et incompris, il se contente de recevoir des infos et de lire des articles de journaux rapportant les méfaits des Mangemorts tout en étant lui-même bien au chaud (d'où le besoin de mettre une attaque du Terrier en milieu de film, même si ça a été très discuté. Mais fallait un peu bousculer le héros et lui rappeler de ne pas trop se la couler douce). Par rapport aux autres années, c'est quand même très reposant, et il a bien besoin de souffler un peu. Quant à Neville, il est également très en retrait, continue sur sa lancée du tome 5, mais n'est pas encore le leader du tome 7.Du coup, les histoires d'amour. Quoiqu'on en dise et même si le livre ne se limite pas à ça, Rowling y a donné une part très importante, et pas de la façon la plus fine. Autant dans le tome 5 elle avait assez bien cerné la première histoire d'amour entre ado forcément râtée (on se croise dans les couloirs et on se trouve charmant, puis quand on s'invite enfin on se rend compte qu'on a pas grand chose à se dire, en ajoutant que ni Harry, ni Cho ne sont dans l'état d'esprit pour ça avec ce qu'ils traversent). Dans le livre, autant au début, elle s'y prend plutôt discrètement et progressivement pour Harry et Ginny (même si certains pensent qu'Harry tombe amoureux d'un coup de Ginny, ça s'étale bien sur plusieurs mois, faut juste être attentif) après, elle y va quand même avec de gros sabots (et à force de faire répéter à Harry que Ginny est formidable en tout point, elle a fait détester le personnage à des gens qui jusque-là ne lui étaient pas hostiles). Pareil pour Ron et Hermione, d'un côté, on est content que ça avance enfin après des tomes où ça sautait aux yeux pour tout le monde sauf eux, de l'autre, leur petit jeu prend quand même une grosse partie du livre. On avait vraiment l'impression que Rowling insistait énormément là-dessus pour mieux en être débarassée et passer aux choses sérieuses le livre d'après. Mais en même temps, c'est aussi là que pendant tout le livre, les personnages sont le moins passifs, ce n'est pas juste de l'information. Donc finalement, ce n'est pas si étonnant que ce soit les intrigues amoureuses qui aient été privilégies dans le film. Ce n'est pas si contraire que ça à l'esprit du livre, quoiqu'on en dise, mais c'est aussi ce qu'il y avait d'un peu dynamique et de plus pratique à rendre à l'écran. Et autant l'histoire Harry/Ginny c'était assez bof (mon dieu la scène du lacet) autant Ron/Hermioe, à défaut d'être original, était plutôt sympa.En même temps si tu veux voir un film artistique, Harry Potter n'est, d'après moi pas vraiment le genre
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C’était long mais j’ai tout lu
et que le 6 est une ouverture sur le 7,

Je suis d'accord avec toi ! Un livre de transition qui aurait dû s'appeler Cours particuliers plutôt que le Prince de Sang-mêléZakath Nath a écrit :Le problème du 6, c'est que c'est un livre de transition
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D'un point de vue global je ne reproche pas vraiment grand chose au 6e film, si ce n'est que le 6e livre était l'occasion de montrer à l'écran qui était réellement Voldemort et d'où venait sa haine et sa peur de mourir et ceci au travers des souvenirs que Dumbledore, s'est éfforçé de rassembler. Le secret restera bien caché dans le livre dommage !L'autre bémol est l'outrage sur l'enterrement de Dumbledore. Le seul et unique sorcier de la saga dont la connaissance et la sagesse étaient sans limite. La communication qu'il avait avec les "autres" créatures magiques était telle, qu'à son enterrement elles étaient toutes présentes. Qui dans la communauté des sorciers de la saga, a pu prétendre avoir assisté auparavant à une telle manifestation. On ne balaye pas comme cela, des années et des années d'existence par une simple baguette levée vers le ciel. Je suis considérablement restée sur ma faim.Pour en revenir à l'équipe qui gagne, David Heyman a dit quand le 5 est sorti :Zakath Nath a écrit :Le tome 6, à côté, est nettement moins tendu. C'est volontaire, c'est le calme entre l'année pourrie qu'a passé Harry avant et celle qu'il va passer traqué sur les routes par la suite. Du coup je suis toujours un peu surprise quand je vois que certains disent que le sixième film aurait dû être encore plus sombre que le 5 alors qu'il s'agit clairement d'une respiration.Même si les tomes 2 et 5 sont sans doute les moins réussis, le tome 6 est le plus difficile à adapter en en faisant quelque chose de dynamique (et pour beaucoup, c'est râté visiblement).Chacun des tomes à une intrigue forte, sauf celui-là:- Harry découvre des éléments du passé de Voldemort: c'est capital et plein de trucs intéressant, mais Harry se contente de plonger dans la pensine, regarder un souvenir, puis se faire expliquer ce qu'il vient de voir par Dumbledore. Dans un livre, ça passe bien, en film, voir plonger Harry tous les quart d'heure puis se faire expliquer ce que le spectateur a vu, ce serait vite pénible. C'est donc compréhensible qu'ils aient réduit à deux les souvenirs (orphelinat et horcruxes) on a l'essentiel, même si c'est évidemment dommage de ne pas avoir la partie ches les Gaunt. Bref, c'est plein d'infos intéressante mais ce n'est pas une intrigue centrale très dynamique. Le personnage principal ne court aucun risque, il est passif.
C’était formidable avec Mike Newell et on a eu envie de continuer avec un réalisateur britannique. Toute la magie et la fantaisie de cet univers, on voulait l’exprimer. On a pensé que David Yates apporterait vérité et authenticité.
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En même temps, le producteur ne va pas dire qu'il mise tout sur un incompétent
. Enfin, j'aime bien le boulot de Yates, et l'ambiance a quand même l'air d'être vraiment bonne sur le tournage mais que tout le monde trouve ses collègues formidables dans les interviews, c'est normal vu que le but est de promouvoir le film et donc le travail de son équipe.
