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Personnellement, je n'ai même pas 1€ à mettre pour un livre de bit-lit alors 17... :p Mais bon je n'argumente rien là je ne fais que dire "j'aime paaaaas". Pour ma défense j'y ai gouté et j'en suis dégoutée! Pour moi ce n'est pas de la fantasy pure (c'est pour ça que j'aime bien le fait que ce soit mis dans un sous-genre! ) Mais il n'empêche que je respecte ceux qui en lisent (enfin je dois bien avouer que je ne leur dis rien et je leur souri, je suis libraire faut bien les vendre! :sifflote: ). Au moins les gens lisent c'est déjà bien!Par contre pour ce qui est du reste de la ligne éditoriale d'Orbit, jusque là je n'ai rien à leur reprocher!

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Ansset a écrit :
Gillossen a écrit :
Publivore a écrit :Je pense que ça veut dire que l'ouvrage est trop cher...)
Cela dit, la Bit-Lit chez Orbit est plutôt à 17 euros.:jesors:
Ah ? Ca fait combien le litre :mrgreen: ?
Faudra que je refasse un tour des chiffres de ventes pour voir si ça a une influence. D'un côté on a des éditeurs comme Orbit ou Eclipse, qui vendent de la bitlit en format moyen avec des tarifs autour de 15-18 € et de l'autre des éditeurs comme Milady ou J'ai Lu qui propose des titres directement en poche à 7-8 €.

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Je suis content pour elle pour sa promotion, elle a fait du bon boulot chez Orbit et était toujours agréable et sympathique, j'espère que sa/son remplaçant aura les mêmes qualités humaines et éditoriales.

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Surtout que dernièrement Orbit, on ne sait pas trop ce qu'ils font ni où ils vont. Quelques nouveaux trucs lancés cette année, pas de nouvelles des suites de tout ce qui a été publié avant 2013 (à part Sanderson repoussé à 2014), je trouve qu'on navigue un peu dans le brouillard.
Le changement de directeur de collection à l'air d'avoir été mal préparé, ou en tout cas c'est l'impression que ça donne. D'autant plus que la nouvelle n'a fait aucune déclaration et n'a pas l'air de communiquer autant qu'Audrey Petit ( et c'est un euphémisme). Et en plus on la connaît à peine ( ce serait d'ailleurs une raison de plus pour communiquer un tout petit peu).

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Ça a été mal préparé car on a l'impression que tout le monde a été pris de court sur le coup. De plus, Audrey Petit avait fait son trou dans le milieu et était connue et reconnue pour son travail. Ce qui est loin d'être le cas de celle qui l'a remplacée. Si on y ajoute aucun titre qui vaut le coup au point de pousser la collection, on arrive à une zone de brouillard.Après, je pense que la fin d'année chez Orbit avait été organisée autour de Sanderson. Comme la promo et les plannings de parutions se voient très longtemps à l'avance, ils n'ont pas pu réinstaller quelque chose à la place, et le report de Sanderson a totalement chamboulé les six derniers mois de l'année chez Orbit.En tous cas, c'est l'impression que j'en ai.

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J'ai jeté un oeil sur les chiffres de Calmann-Lévy (dont dépend apparemment directement Orbit) et ça fait une paire d'années que ça n'est pas la gloire, voire franchement mauvais. Je n'ai pas encore vu le bilan de 2012, mais apparemment la maison a connu une réduction du capital (jamais bon signe). Donc, je me demande si les grands stratèges de chez Hachette ne prépareraient pas un peu de ménage dans la boutique, un peu comme Gallimard le fait depuis un moment chez Denoël.

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Dommage car la stratégie d'Hachette pour Orbit me paraissait plus ambitieuse que celle d'Editis pour Fleuve Noir, si l'on compare les maisons spécialisées à 'intérieur de gros groupes.

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La question est : est ce que Deborah Kaufman a t-elle réellement participée à cette interview ? Si c'est le cas, pourquoi mentionner Adeline Vanot qui est en charge du marketing et de la promotion.Si leur gros lancement de la fin d'année c'est le titre sorti en catimini dernièrement sans aucune pub, ni communication. J'ai hâte de découvrir la suite...