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Fini!!!Bonne lecture, les mecanismes de l'auteur restent les mêmes, de bonnes descriptions de combat, une intrigue cohérente et des scènes de sexes horripilante... J'ai d'ailleurs l'impression que leurs nombres augmentent au fur et à mesure que les livres parraissent.Point fort du livre à mon gout, l'univers far west déjà entrevue dans le volet Geritarish et qui donne un piment particulier. 7/10 pour moi...
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Perso, je bloque sur le 1er tome dans lequel j'arrive péniblement à la moitié de sa lecture.On dirait un mauvais croisement entre Moorcock et Feist et franchement, tant qu'à faire, je préfère les originaux.Je ne m'attache toujours pas au perso principal, je ne peux réprimer un bâillement quand je lis et seules les pages que je tourne finissent par me sortir de ma torpeur.Pis alors, la magie dans l'univers du livre, tranquille mimile comment elle arrive à point nommée comme il faut et quand il faut.Bref, c'est plus de la douleur qu'un plaisir ressenti à lire ce truc.
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Je suis assez d'accord avec toi sur le croisement Moorcock-Feist même si je serais moins dur. Par contre qu'est ce que j'ai eu du mal à finir le deuxième tome avecArioch91 a écrit :Perso, je bloque sur le 1er tome dans lequel j'arrive péniblement à la moitié de sa lecture.On dirait un mauvais croisement entre Moorcock et Feist et franchement, tant qu'à faire, je préfère les originaux.Je ne m'attache toujours pas au perso principal, je ne peux réprimer un bâillement quand je lis et seules les pages que je tourne finissent par me sortir de ma torpeur.Pis alors, la magie dans l'univers du livre, tranquille mimile comment elle arrive à point nommée comme il faut et quand il faut.Bref, c'est plus de la douleur qu'un plaisir ressenti à lire ce truc.
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C'est cette curieuse sensation d'avoir un livre tiré d'un jeu de rôles qui me fait moins apprécier le livre. Dès les premières pages, on entend parler du zen, de pouvoirs sous-jacents, de runes, d'artefacts magiques. On se dit vite "mince, c'est tiré de quel jeu de rôles ce truc ?".Non pas que je détesterais le concept (si tant est que ce soit le cas ici, j'en sais rien), mais on a juste l'impression dès le début que le livre s'adresse à des initiés de l'univers. Univers dont j'ai oublié de parler du Chaos, de la Lumière et des Ténèbres dont, j'avoue, je ne saisis pas trop les bases (pourquoi les Ténèbres et le Chaos qui, pour moi, sont peu ou prou censés être associés, ce qui ne semble pas être le cas).Les scènes de sexe m'on bien gonflé également. Dans une interview d'Elbakin, l'auteur disait que dans les films tous publics, on n'en montrait pas assez. Avis que je ne partage pas du tout mais qui se respecte, sauf qu'à le lire, on s'attend à quelque chose d'ultra croustillant à la limite de la pornographie. Et en fait bof, c'est placé au hasard d'un paragraphe et on se demande quel intérêt ça a dans l'histoire.Les tics de l'auteur aussi pour introduire un nouveau personnage dans le récit. "Alors MACHIN arriva, etc etc et BIDULE profite d'un regard détourné pour examiner l'individu". Et là, paf, on a droit à un portrait de la tête aux pieds du nouveau gus. C'est vital bien entendu, mais c'est toujours amené de la même manière : Cellendhyll profite que Truc a le dos tourné pour le regarder attentivement, Cellendhyll attend que Muche s'éloigne pour voir de quoi il a l'air, Cellendhyll ci Cellendhyll ça. Ca me rappelle une très mauvaise fan fiction sur Walking Dead où le pseudo écrivain décrivait chaque nouveau personnage comme ça. Quand on en a 12 à découvrir d'un coup, on pleure sa mère ! :pleure:Bref... Et puis 2 chapitres du tome 1 m'ont passablement gavés. Cellendhyll est dans une auberge, récupérant au passage une nana qui appartenait au brigand du village et aubergiste de surcroit. On se dit que ça va barder pour Cellendhyll et effectivement, l'auteur nous laisse croire à ça puisque le chapitre suivant est entièrement dédié à l'aubergiste, démontrant via moult détails que c'est un ancien guerrier qui ferait presque peur à Conan tellement il est fort, qu'il est d'une vilainie sans égale et que c'est sûr, Cellendhyll va morfler. Cellendhyll qui, juste avant de se tirer, a envoyé bouler 2 mécréants partis rejoindre leur bande en dehors de la ville pour revenir en force lui faire sa fête. Chapitre suivant, Cellendhyll et la fille sont poursuivis par l'aubergiste et sa bande de coupe gorges et au même moment, tout ce beau monde va faire la jonction avec la bande de mécréants venant à leur rencontre. Cellendhyll traverse un pont, l'aubergiste sur les talons et il voit l'autre bande devant lui qui arrive. Hop hop hop, ni une ni deux, Cellendhyll grimpe une côte à toute vitesse. Il fait nuit, ok, mais avec des mecs sur ses talons et d'autres en face, personne ne voit Cellendhyll se tirer et les deux groupes se tirent la bourre à grands fracas métalliques, laissant Cellendhyll partir comme une lettre à La Poste.Après ces deux chapitres, on sait une chose : l'auteur est bon pour ses intrigues mais il va pas au bout du truc. On sait une autre chose : avec des subterfuges aussi bidons ou bien grâce à de la magie sortie d'une poche par inadvertance, le suspens sera vite avorté dans l'oeuf. C'est d'ailleurs vérifié très rapidement lorsque Cellendhyll rencontre le mage Feydorn et les deux archers.J'espère que ça s'améliore dans les tomes suivants mais pour moi, je trouve que ça ne vole pas haut. J'ai juste l'impression de lire un de ces livres publiés dans la série des Forgotten Realms. Y en avait des bons, je crache pas dessus (Drizzt en tête d'ailleurs), mais y avait de ces tromblons...Kain l'obscur a écrit :En fait c'est vrai que ce n'est pas très bon mais je crois que ça a un petit côté JdR (avec plein de races exotiques, des pouvoirs impressionnants,...) qui me parle.
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Les derniers épisodes de la première "série" sont beaucoup plus interessant. Le fil rouge que l'on ne voit qu'en filigrane au début se révèle petit à petit et donne une profondeur à l'histoire qu'on attend pas forcément. Après, question profondeur, c'est pas du Jean-Paul Sartre, mais ça vaut le coup.Arioch91 a écrit :J'espère que ça s'améliore dans les tomes suivants mais pour moi, je trouve que ça ne vole pas haut. J'ai juste l'impression de lire un de ces livres publiés dans la série des Forgotten Realms. Y en avait des bons, je crache pas dessus (Drizzt en tête d'ailleurs), mais y avait de ces tromblons...
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L'Agent des ombres se construit un peu comme une série TV: des intrigues secondaires à chaque épisode et 2-3 grosses intrigues qui se construisent sur la "saison".
En ce qui concerne les noms de chaque faction: le Chaos non lié aux Ténèbres, je ne vois pas le problème.pourquoi les Ténèbres et le Chaos qui, pour moi, sont peu ou prou censés être associés, ce qui ne semble pas être le cas
Le fait de débarquer dans un univers qui a existé avant l'histoire me semble plus naturel que de vouloir tout expliquer, sa genèse, etc.Quant aux scènes de sexe pourquoi pas? Je trouve que ça ne dessert pas l'histoire et puis, la plupart de nos personnages favoris ont une vie sexuelle je pense...En bref je prends toujours beaucoup de plaisir en lisant cette série.on a juste l'impression dès le début que le livre s'adresse à des initiés de l'univers.