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Le cœur de la guerre, tome 15, tintintintin...Il était une fois, au cœur de la table, un bol de soupe !-"Vous désirez boire quelque chose pendant le repas ?" -"Oui, volontiers, un bon verre de vin s'il vous plaît."-"Voici, tenez votre verre monsieur"-"Merci, vous êtes bien aimable." ... quelques cuillerées Goodkinienne plus tard. -"Euuuh, finalement, laisser moi la bouteille je vous prie."Lire du Goodkind est fortement déconseillé pour la santé, à répétition, cela peut entraîner un risque de cirrhose. 
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Faut pas trop cracher dans la soupe, le cycle a été une porte d'entrée dans la fantasy pour un certain nombre de lecteurs et ça a donné des moyens intéressants à Bragelonne pour ensuite publier d'autres choses.Soyons content que Goodkind continue de vendre, ceux qui n'aiment pas ne lisent pas, mais il ramène du monde dans les rayons fantasy et c'est tant mieux.
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Encore ce débat ? 
Si c'est comme le Trône de Fer pour les ventes des autres œuvres de Martin, non, ça ne ramène pas beaucoup de monde, en tout cas pour passer à la caisse. Combien de personnes lisent Pratchett sans même penser à lire autre chose en fantasy ? Un bon paquet. Malheureusement bien sûr. 
Si c'est comme le Trône de Fer pour les ventes des autres œuvres de Martin, non, ça ne ramène pas beaucoup de monde, en tout cas pour passer à la caisse. Combien de personnes lisent Pratchett sans même penser à lire autre chose en fantasy ? Un bon paquet. Malheureusement bien sûr. 1451
Je trouve cet argument de "porte d'entrée" vers la Fantasy assez fallacieux : si on convient que ce cycle est mauvais, avec des nuances d'un tome sur l'autre, et que Goodking exploite un filon, en plus de se faire le hérault d'idéaux pour le moins discutable, par quel procédé la lecture de l'Epee de Vérité pourrait-elle fournir à un néophyte l'envie de poursuivre son expérience littéraire en Fantasy ?Au contraire, ce genre d'oeuvre renforce plus les préjugés qu'elle n'attise la curiosité, ce qui est bien logique.De plus, le caractère morbide et racoleur, la complaisance de l'auteur dans une violence si gratuite qu'elle en devient grotesque, destinent ces livres à un public adulte, malgré des intrigues on ne peut plus banales, des personnages en général plats, et un univers assez pauvre. Retirez ces scènes grotesques, les discours politiques, et d'un on perd 75% de certains tomes ; mais de deux on se retrouve au final avec une série de fantasy jeunesse, et purement jeunesse, assez correcte.Or un adulte, en général, contrairement à un enfant, a déjà ses gouts acquis. Non pas gravés dans le marbre, et cela ne signifie en aucun cas qu'un adulte n'a pas à être curieux, mais juste qu'il a déjà acquis une certaine connaissance sur ses préférences. Alors qu'un enfant, est encore en recherche de ce qui lui plait.L'argument de "l'initiation", est donc plus valable pour les oeuvres estampillées jeunesse. Par exemple, le cycle de l'Héritage est un cliché bourré de défaut, mais s'adresse à un plus jeune public, qui a ensuite le temps de s'intéresser à des livres de fantasy de meilleurs qualités, quitte à regarder ensuite avec une certaine mélancolie et/ou recul critique l'histoire qui lui a fait adhérer au genre.
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100 % d'accord avec Teclis.D'autant que ce cycle peut donner un mauvaise image du genre en l'associant avec certaines idéologies politiques. Quand on sait qu'une partie du fandom SF pensait dans les années 70 que la fantasy était un genre d'extrême droite ( CF Pierre Giuliani). Si demain certains détracteurs du genre nous ressortent ça à cause de Goddkind, on aura pas gagné grand chose et on devra recommencer le combat à zéro et ça devient lassant de toujours revenir en arrière pour défendre les genres que nous aimons. On avance pas.
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Je serais curieux de savoir si il y a un transfert des lecteurs Français de Goodkind sur la Roue du temps de Jordan. Parce que, voilà, quoi. Non, mais sérieux... Je pense que quand Bragelonne a repris l'édition de la roue du temps, ils avaient une petite idée derrière la tête, non ?Gillossen a écrit :Encore ce débat ?
Vu que la Roue du Temps ne semble pas se vendre à 25 000 + exemplaires par tome, certains ont disparu au passage manifestement.
