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Guigz a écrit :
Fabien Lyraud a écrit :
Qu'un-Œil a écrit :Octobre, décrété mois de l'imaginaire :):arrow: http://www.telerama.fr/livre/en-octobre ... 158393.php
Ce qui est rigolo c'est que l'an dernier j'avais écrit au ministre de la culture pour proposer ce type d'opération.C'est les éditeurs qui s'y mettent. Moralité le ministère il s'en fout un peu.
Fabien, si tu as des entrées au ministère, faut faire tourner !
Malheureusement non, c'était juste du culot.

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Pour rester sur ce sujet, l'actuelle ministre de la culture est la patronne des éditions Actes Sud et ils font un peu de SF, The Expanse notamment.
The age of kings is dead, and I have killed it

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Ivy Baggins of Bywater a écrit :Avec une brève, c'est mieux !:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/247 ... imaginaire
Ça y est, depuis hier nous sommes officiellement dans le Mois de l'Imaginaire ! [small]Si c'est pas génial, ça ! :D[/small]
« Le Seigneur Ogion est un grand mage. Il te fait beaucoup d’honneur en te formant. Mais demande-toi, mon enfant, si tout ce qu’il t’a enseigné ne se résume pas finalement à écouter ton cœur. » - Tehanu, Ursula K Le Guin

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Je n'en sais rien, mais si cette iniative dure sur le temps, ça pourrait changer ! En tout cas, changement ou pas, je trouve ça bien ! :) Il y a des opérations spéciales (cadeaux lors d'achats), des concours, des interviews... C'est quand même pas souvent, si on ne va pas sur les sites spécialisés, de découvrir toutes ces choses mises à l'honneur !
« Le Seigneur Ogion est un grand mage. Il te fait beaucoup d’honneur en te formant. Mais demande-toi, mon enfant, si tout ce qu’il t’a enseigné ne se résume pas finalement à écouter ton cœur. » - Tehanu, Ursula K Le Guin

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J'ai bien peur que cette initiative ne se cantonne à rester à l'état de vœu pieux, et que rien de concret n'en ressorte... même si j'espère qu'elle va au moins servir à faire évoluer les mentalités.

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En tout cas, beaucoup d'éditeurs se démènent à leur niveau (quand on voit l'investissement en temps de Critic par exemple, j'espère pour eux que ça ne sera pas mal payé !). Mais est-ce qu'en dehors de quelques communiqués relayés dans la presse pro comme Livres Hebdo, ça va avoir un impact, ça...

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Pour ceux et celles qui sont intéressés par ces états généraux de l'imaginaire qui se sont tenus aux dernières Utopiales, voici un article qui tente une synthèse du déroulé de la séance, de ce qui y a été évoqué et des pistes de réflexion (je me suis dit que la fantasy était agacement concerné par tout ça !).

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Car c’est là le plus gros biais de cette conférence : voici des acteurs de l’imaginaire qui s’adressent à des lecteurs de l’imaginaire pour comprendre pourquoi ceux qui ne sont pas attirés vers l’imaginaire ne lisent pas davantage d’imaginaire ?
chouette article et complètement d'accord avec la conclusion.Concernant le mauvais choix de la date du mois de l'imaginaire, c'est très vrai. Je lis aussi de la littérature "blanche" (oui, j'ai l'impression qu'ils ont occulté le fait que ceux qui lisent de la SFF peuvent aussi être lecteur de "blanche", de polar ou autre d'ailleurs...) et c'est du coup difficile de suivre toutes les nouveautés...

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Quand dans notre librairie les repré nous ont parlé du Mois de l'Imaginaire, on a été assez partagés : contents que les éditeurs s'unissent pour mettre en avant ces littératures qu'on aime, et désemparés devant la date choisie. Chez nous, nous avons tout un espace dédié à la SF/Fantasy, donc pas de problème pour mettre les diverses opérations en avant, mais quid des petites librairies, qui en cette période de l'année, ont à peine la place de présenter l'avalanche de nouveautés qui paraissent pour Noël ?Effectivement, il aurait été sans doute plus judicieux de placer ce Mois de l'Imaginaire en mai - lors des Imaginales - ou juin - avant les départs en vacances.
Memento mori

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J'étais aussi à ces états généraux, avec interdiction de prendre le micro vu ce que j'avais fait la veille pendant une interro surprise, et j'ai également noté le flou sur une stratégie globale.A savoir, se distinguer de la littérature générale ou s'y fondre, revendiquer une particularité -avec ce que ça comporte de risque de sectarisme - ou se glisser dans la masse, au risque de perdre les habitués.Je me souviens du temps où ma médiathèque n'avait pas tranché dans la bataille des étiquettes et se contentait de classer les livres par l'alphabet, Tolkien étant le voisin de Tolstoï. Mais si je viens de lire un récit d'imaginaire et que j'en cherche un autre...il faut alors commencer par trouver un auteur.L'avantage des classements thématiques, c'est dans la recherche du prochain livre. L'inconvénient, c'est l'enfermement, d'aucuns vont snober tout un rayon aux couvertures trop colorées.La question cruciale aurait été de répondre à "comment devient on lecteur et lectrice d'imaginaire ?"

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Aslan a écrit :https://www.franceculture.fr/emissions/ ... imaginaireUne conversation... autre et des approximations en pagaille.
France Culture récidive : https://www.franceculture.fr/emissions/ ... emocratiesEn bas de l'article : Baptiste Touverey propose une autre lecture : Le fleuve céleste de Guy Gavriel Kay, un livre de « fantaisy » paru chez AtalanteEt à partir de 46 min 29 sec : ça débute bien, je cite : "un livre de fiction, et pire que ça, un livre qu'on classe généralement dans le genre de la fantasy"C'est court mais révélateur du mépris que subit la fantasy ... comme si seule la fantasy historique et/ou les romans où la magie est peu présente pourrait être de la littérature digne de ce nomHeureusement que le journaliste encense la qualité littéraire du "Fleuve Céleste".

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Bonjour,Depuis le XXème siècle, plus de gens connaissent la fantasy filmée qu'écrite, c'est parfois déroutant, comme pour La Désolation de Smaug qui fait prétendre à l'orc capturé par Thranduil que "le mal revient", alors que dans l'œuvre de Tolkien, Morgoth, Satan, ne peut revenir, n'ayant jamais triomphé..?Simple image montrant que les films peuvent aller, vont, même, plus loin que les créations littéraires, surtout quand elles en sont des accomplissements, à plusieurs scénaristes.Il faut bien vivre avec son temps :rolleyes:

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Recréation a écrit :Bonjour,Depuis le XXème siècle, plus de gens connaissent la fantasy filmée qu'écrite, c'est parfois déroutant, comme pour La Désolation de Smaug qui fait prétendre à l'orc capturé par Thranduil que "le mal revient", alors que dans l'œuvre de Tolkien, Morgoth, Satan, ne peut revenir, n'ayant jamais triomphé..?
sauf qu'en l'occurrence, la paix vigilante de 400 ans qui s'achève avec l'essor du Nécromancien de Dol Guldur, ne concerne pas Morgoth.Le mal de Dol Guldur et les tentatives de Sauron de reprendre pied sont liées, entre dissimulations et enquêtes de Gandalf.Je conviens que c'est extrêmement mal présenté avec une chronologie confuse.
Il faut bien vivre avec son temps :rolleyes:
Certainement pas, ce n'est pas parce qu'un media puissant diffuse des sornettes qu'il faut l'accepter comme vérité. Un spectateur peut toujours être instruit. Evidemment, s'il s'entête dans la première idée qu'on lui a mise en tête, il y aura d'autres soucis que la fantasy.