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Merci à vous deux pour cette énorme traduction, et pour votre implication dans ces cinq années de travail.
C'est un vrai plaisir de plonger dans cet univers
C'est un vrai plaisir de plonger dans cet univers

"Libre à vous d'aller lire autre chose de plus franc du collier" La Cité de soie et d'Acier, de Mike, Louise et Linda Carey
"Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents" La Horde du contrevent, Alain Damasio
"Nous sommes faits de l'étoffe dont sont tissés les vents" La Horde du contrevent, Alain Damasio
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Bonjour à tous, c'est le premier message que je poste sur ce forum (et peut être le premier message que je poste sur un forum tout court). Je tiens à remercier Ser Garlan et Gillossen pour cette traduction du cycle et remercier le podcast et le site Elbakin sans qui je n'aurais jamais découvert le cycle de Steven Erikson.
Quant à moi, je viens de terminer le tome 8 il y a quelques jours. J'ai mis plus d'une année avant de commencer cette lecture suite à celle du Souffle du Moissonneur qui avait été un peu pénible (surtout le début, heureusement que par la suite les têtes que l'on connait (Osseleurs...) interviennent). J'apprécie énormément le cycle mais les élans philosophiques de Steven Erikson ne sont pas les passages qui me captivent le plus (peut être parce que je ne les comprends pas tous ?). Alors en lisant certains commentaires sur ce forum, je m'attendais à ne pas apprécier La Rançon des Molosses. Et bien, j'avais tort. Ce tome vient se classer dans mon top 3 des livres du cycle malazéen (Avec les Osseleurs et La Porte de la Maison des Morts). Et à ma surprise, j'ai grandement apprécié ces passages philosophiques qui me refroidissaient pour la plupart dans les tomes précédents. Peut être est-ce parce que ce tome est un peu plus personnel pour l'auteur et que les sujets qu'il évoque tout au long du livre nous sont malheureusement familiers ? (mort, deuil, ...)
J'ai vraiment apprécié cette lecture, même si tout n'a pas été à mon goût. Par exemple, j'ai trouvé que certains passages qui se déroulaient autour de Corail la Noire, ou qui concernaient le groupe de Nimander étaient un peu longs et parfois obscurs. Ou encore le personnage de Kruppe, et son style très particulier lors des dialogues (j'ai l'impression que l'auteur fait parler ce personnage de manière absconse juste pour nous perdre et que l'on ne comprenne pas tout ce qui se passe).
Mais malgré ces petits détails, ce tome 8 aura été une très bonne lecture grâce à ses personnages que l'on est content de retrouver pour certains (Brûleurs de Ponts...) et de découvrir pour d'autres (je pense notamment au personnage de Harllo). Une très bonne lecture également grâce à son final qui, selon moi, fait partie des meilleurs du cycle, surtout pour ce qu'il implique pour la suite (j'ai hâte de le découvrir).
J'ai une envie folle de me lancer dans la lecture du tome 9 dés maintenant, mais je préfère attendre la sortie du tome 10 pour ne pas être frustré par la fin du tome 9 et l'attente jusqu'à la sortie du dixième. Mais je ne suis pas loin de céder à la tentation
Je tiens encore une fois à remercier Ser Garlan et Gillossen pour cette traduction et aux Editions Leha pour avoir permis aux lecteurs français de découvrir cet univers.
Quant à moi, je viens de terminer le tome 8 il y a quelques jours. J'ai mis plus d'une année avant de commencer cette lecture suite à celle du Souffle du Moissonneur qui avait été un peu pénible (surtout le début, heureusement que par la suite les têtes que l'on connait (Osseleurs...) interviennent). J'apprécie énormément le cycle mais les élans philosophiques de Steven Erikson ne sont pas les passages qui me captivent le plus (peut être parce que je ne les comprends pas tous ?). Alors en lisant certains commentaires sur ce forum, je m'attendais à ne pas apprécier La Rançon des Molosses. Et bien, j'avais tort. Ce tome vient se classer dans mon top 3 des livres du cycle malazéen (Avec les Osseleurs et La Porte de la Maison des Morts). Et à ma surprise, j'ai grandement apprécié ces passages philosophiques qui me refroidissaient pour la plupart dans les tomes précédents. Peut être est-ce parce que ce tome est un peu plus personnel pour l'auteur et que les sujets qu'il évoque tout au long du livre nous sont malheureusement familiers ? (mort, deuil, ...)
J'ai vraiment apprécié cette lecture, même si tout n'a pas été à mon goût. Par exemple, j'ai trouvé que certains passages qui se déroulaient autour de Corail la Noire, ou qui concernaient le groupe de Nimander étaient un peu longs et parfois obscurs. Ou encore le personnage de Kruppe, et son style très particulier lors des dialogues (j'ai l'impression que l'auteur fait parler ce personnage de manière absconse juste pour nous perdre et que l'on ne comprenne pas tout ce qui se passe).
Mais malgré ces petits détails, ce tome 8 aura été une très bonne lecture grâce à ses personnages que l'on est content de retrouver pour certains (Brûleurs de Ponts...) et de découvrir pour d'autres (je pense notamment au personnage de Harllo). Une très bonne lecture également grâce à son final qui, selon moi, fait partie des meilleurs du cycle, surtout pour ce qu'il implique pour la suite (j'ai hâte de le découvrir).
J'ai une envie folle de me lancer dans la lecture du tome 9 dés maintenant, mais je préfère attendre la sortie du tome 10 pour ne pas être frustré par la fin du tome 9 et l'attente jusqu'à la sortie du dixième. Mais je ne suis pas loin de céder à la tentation

Je tiens encore une fois à remercier Ser Garlan et Gillossen pour cette traduction et aux Editions Leha pour avoir permis aux lecteurs français de découvrir cet univers.
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Bienvenue et merci pour ton retour 
Au passage, je suis tombé sur une vidéo qui résume bien le début de la saga
https://www.youtube.com/watch?v=Irv26I1wx6c&ab_channel=DanielGreene

Au passage, je suis tombé sur une vidéo qui résume bien le début de la saga

https://www.youtube.com/watch?v=Irv26I1wx6c&ab_channel=DanielGreene
3756
J'ai fini le tome 9, un très bon cru. J'ai enfin l'impression que ça avance, surtout après le tome 8 qui se sera révélé avec du recul sacrément pénible...
J'ai juste trouvé la mise en marche de l'armée de
est devenu mon perso préféré au fil du cycle.
Vivement le tome 10, pour conclure cette aventure titanesque sous tous les aspects.
J'ai juste trouvé la mise en marche de l'armée de
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est devenu mon perso préféré au fil du cycle.
Vivement le tome 10, pour conclure cette aventure titanesque sous tous les aspects.
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J'arrive doucement aux 3/4 du tome 9 perso. Mon impression ne bouge pas vraiment : c'est effectivement largement plus aisé à suivre en termes de rythme que cet affreux tome 8 de l'enfer (oui, j'en rajoute
).
Maintenant, c'est vrai qu'il y a côté tome de transition assez étrange, relatif au fait qu'il faut vraiment le juger avec le tome 10 dans la foulée, tant ils sont liés apparemment. Oui les malazéens mettent 15 ans à se déplacer et c'est, comme souvent depuis le tome 7, un peu trop long pour ce que c'est.
Et chez les Barghast, j'avoue avoir été plutôt intrigué à partir du moment où
.
Mais concrètement j'ai toujours du mal à comprendre pourquoi Erikson a choisi de partir dans cette direction que je trouve assez chiante à suivre. Qui en a quelque chose à foutre des Barghast et de leurs relations avec les Akrynaï et autres Bolkando ?

Maintenant, c'est vrai qu'il y a côté tome de transition assez étrange, relatif au fait qu'il faut vraiment le juger avec le tome 10 dans la foulée, tant ils sont liés apparemment. Oui les malazéens mettent 15 ans à se déplacer et c'est, comme souvent depuis le tome 7, un peu trop long pour ce que c'est.
Et chez les Barghast, j'avoue avoir été plutôt intrigué à partir du moment où
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.
Mais concrètement j'ai toujours du mal à comprendre pourquoi Erikson a choisi de partir dans cette direction que je trouve assez chiante à suivre. Qui en a quelque chose à foutre des Barghast et de leurs relations avec les Akrynaï et autres Bolkando ?

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J'ai beaucoup aimé ce tome, il y a des passages vraiment "grands", épiques, je veux dire, de vrais morceaux de bravoure. L'auteur sait nous transmettre l'immensité des évènements qu'il raconte.
Et la tension dramatique se noue bien dans toute la dernière partie du tome.
Il y a toujours autant de personnages, auxquels on s'attache volontiers, et ça fait partie de ce que j'apprécie. J'aime beaucoup Kruppe, par exemple.
Je vais faire une pause parce que j'ai d'autres livres dans ma PAL, et que j'ai besoin de reprendre mon souffle entre les tomes de ce cycle. Mais j'aime toujours autant, et je vais poursuivre.
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Et la tension dramatique se noue bien dans toute la dernière partie du tome.
Il y a toujours autant de personnages, auxquels on s'attache volontiers, et ça fait partie de ce que j'apprécie. J'aime beaucoup Kruppe, par exemple.
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Je vais faire une pause parce que j'ai d'autres livres dans ma PAL, et que j'ai besoin de reprendre mon souffle entre les tomes de ce cycle. Mais j'aime toujours autant, et je vais poursuivre.