J'avais complètement zappé alors que le roman sort le 9, soit dans quelques jours !
"Il faut être aussi vif que le poignard d'un stilettotore et aussi subtil qu'un poisson sous l'eau. Voilà ce que c'est que d'être Navolais, voilà ce que c'est que d'être di Regulai".
À Navola, ville-État animée et dominée par une poignée de familles influentes, les affaires sont le pouvoir, et le pouvoir est tout. Depuis des générations, la famille di Regulai - des banquiers marchands possédant un vaste empire - a développé des ramifications qui s'étendent jusqu'aux confins du monde connu. Et bien qu'ils prétendent ne pas faire de politique, leur richesse stupéfiante a permis d'acheter des villes et de renverser des royaumes. Bientôt, Davico di Regulai devra prendre les rênes du pouvoir de son père et démontrer sa maîtrise des jeux de la diplomatie navolaise : savoir à qui faire confiance et de qui douter, et comment lire ce qui se cache derrière un sourire. Mais à Navola, d'étranges et anciens courants se cachent derrière les dorures et la grandeur, comme l'œil de dragon fossilisé en possession de la famille, un puissant symbole de leur pouvoir brut et un talisman qui semble sommer Davico d'agir.
Au fur et à mesure que les tensions augmentent, Davico sera poussé dans ses derniers retranchements. Son destin dépend de la relique du dragon et de ce qui est enfoui dans le cœur de sa sœur adoptive, Celia di Balcosi, dont la famille a été détruite par la politique tordue de Nalova. Avec des échos de l'Italie de la Renaissance, du Parrain et de Game of Thrones, Navola est un exploit stupéfiant de construction du monde et une description hypnotique de la force et de la volonté.
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