Posté : sam. 20 août 2011 16:30
Belain na le: Que le Valar soit avec toi.
Non et non, Valar est un pluriel et Orch un singulier, de copie en répétition déformante, on dénature les mots d'origine : une langue évolue comme ça, certes, mais si on a des dictionnaires, des Académies et autres, c'est aussi pour préserver un socle linguistique.Nostach be Orch gaer: Tu sens comme 10 orcs.
Non, le latin, tout comme le grec ancien, ne sont pas des langues mortes. Est appelé "langue morte", une langue qui n'est plus utilisé et qui n'a donné naissance à aucune langue vivante. Or latin et grec ancien ont donné des mots dans de nombreuses langues vivantes et sont encore utilisés pour créer de nouveaux mots. Ce sont donc des langues anciennes.Foradan a écrit :Autrement dit, le latin est une langue morte pratiquement partout...sauf au Vatican où il est langue officielle et courante.
http://www.learnnavi.org/Je pense qu'il y en a plus que dans le film, justement.Foradan a écrit :Na'vi, c'est bien dans Avatar ? Il y a d'autres support que le film pour apporter vocabulaire et grammaire ?.
Présentation de l’auteur - Soit un peuple imaginaire. Ils s’appelleraient les Wards. Ils parleraient une langue nommée le wardwesân. En des temps anciens, ils auraient habité le continent du nord. Mais après la chute de leur première capitale, ils se seraient peu à peu installés sur le continent du sud. C’est là, vers l’année-zéro de leur calendrier, qu’ils auraient fondé un nouveau royaume, l’Aghâr, sous la conduite de leur chef Zaragabal. Poussés par le désir de fixer leurs traditions, leurs croyances, leurs idées et leurs rêves, ils se seraient mis à écrire abondamment. Alors aurait commencé la période "classique" de leur histoire et de leur littérature.C’est cette littérature que j’ai voulu reconstituer ici, me référant à nos connaissances les plus actuelles sur les Wards. Le présent volume est une anthologie des œuvres composées par ce peuple aux Ier et IIe siècles après Zaragabal. C’est un recueil bilingue : les extraits qui le composent y figurent dans leur version originale en wardwesân, accompagnés d’une traduction française. Le lecteur découvrira ainsi des poètes et des prosateurs, des mythes et des récits, des textes religieux ou philosophiques, des fragments relevant de l’histoire, de la géographie et de quelques autres domaines.Une rapide notice introduit chacun de ces extraits. Un abrégé de la grammaire du wardwesân, ainsi qu’un lexique, aideront les lecteurs qui le souhaitent à tenter de nouvelles traductions.
ça c'est envoyé !expliquant au cruel marchand d’esclaves Kraznys qu’il était grillé.
Merci, ça fait plaisir à lire.Firiel a écrit :[..] le latin, tout comme le grec ancien, ne sont pas des langues mortes. Est appelé "langue morte", une langue qui n'est plus utilisé et qui n'a donné naissance à aucune langue vivante. Or latin et grec ancien ont donné des mots dans de nombreuses langues vivantes et sont encore utilisés pour créer de nouveaux mots. Ce sont donc des langues anciennes.