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Posté : jeu. 1 nov. 2018 15:30
par Foradan
Idem, ça ressemble à une vraie fin d'introduction, quand les compagnons
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.Episode mieux rythmé, avec l'avantage de ne pas avoir une chronologie à protéger (Rosa Parks aurait pu être un épisode de DC's Legends of tomorrow, c'est dire).Par contre, déception que personne ne relève que si les araignées de tricotent pas de gilet intégral pour les humains, elles le font pour les nains et les hobbits :)

Posté : jeu. 1 nov. 2018 23:05
par Sardequin
Un poil plus de rythme en effet dans cet épisode, mais comme dans les précédents, une conclusion un poil facile et trop vite expédiée !Sinon, d’accord avec Fodaran au sujet des compagnons et de leur décision à la fin de l’épisode !

Posté : sam. 3 nov. 2018 10:54
par Lauriaen
Avis assez similaire que mon voisin du dessus !Bon épisode (même si je ne suis pas fan du choix du "monstre" de l'épisode :sifflote:), j'ai apprécié mon visionnage, mais je trouve que la conclusion est vraiment un peu précipitée, et ne s'attarde pas trop sur les conséquences.Mais j'apprécie de plus en plus les différents personnages, et j'aime décidément beaucoup la nouvelle version du Docteur. Le passage où elle évoque Ed Sheeran m'a bien fait rire :P.

Posté : ven. 9 nov. 2018 09:07
par Sardequin
Bon, que dire de l’épisode d’hier soir ? Que si le « méchant » de l’histoire n’avait pas été aussi ridicule d’apparence ça aurait été un bon épisode haletant ! Mais non ! Il y a vraiment un souci scénaristique depuis le début, même si Jody Whittaker est un Docteur intéressant !

Posté : ven. 9 nov. 2018 09:53
par Lauriaen
Bon, je suis aussi mitigée par cet épisode. Faut dire, qu'à la base, la plupart des épisodes en huis-clos dans un vaisseau dans Doctor Who me gonflent, donc, c'était mal parti. :sifflote: Et ça a donc abaissé ma tolérance au bizarroïde/kitch qui parsème cet épisode. :PL'apparence du "méchant" m'a un peu surprise aussi au début, mais ça ne m'a pas gênéJ'ai trouvé qu'il y avait trop de personnages et d'histoires parallèles pas très intéressantes, ça parasitait un peu l'intrigue globale.Le seul que je trouvais vraiment intéressant, c'était Astos, le médecin qui confronte le Docteur face à son égocentrisme au début, et on le voit assez peu...Bon, au moins, on retourne dans le passé et dans le grand air pour l'épisode suivant, je préfère !

Posté : ven. 9 nov. 2018 10:26
par Merwin Tonnel
Je n'ai vu que les 2 premiers épisodes et je m'aperçois que les épisodes commencent à s'entasser sur mon magnétoscope sans que j'ai l'envie de rattraper mon retard. J'ai peur que le run de Chibnall soit celui qui me fasse définitivement décrocher de la série.Je sais que Moffat a beaucoup de détracteurs, notamment chez les fans de la première heure, mais pour moi qui suis simple amateur peu soucieux du canon, c'est son écriture qui m'a permis de garder un intérêt constant tout au long des dernières saisons. J'aime la façon dont il magnifie les enjeux sur toute une saison, ses scénarios aux accroches surprenantes et à la construction un peu différentes, etc. sans me soucier de savoir si la cohérence avec le canon est respectée.Là, j'ai l'impression qu'on va revenir à des aventures très classiques avec méchant de la semaine et ça m'intéresse beaucoup moins. A voir si les prochains épisodes vont me faire changer d'avis mais faut que je me motive à les regarder :p

Posté : ven. 9 nov. 2018 19:35
par Foradan
Merwin Tonnel a écrit :les épisodes commencent à s'entasser sur mon magnétoscope
Métaphore temporelle ou tu joues le vintage à fond ?

Posté : ven. 9 nov. 2018 20:03
par Zakath Nath
Je sais que Moffat a beaucoup de détracteurs, notamment chez les fans de la première heure
Je crois que les fans de la première heure râlent au moins depuis le départ de William Hartnell, pour certains en tout cas :P L'écriture de Moffat n'était pas sans défaut (encore que je trouve que pendant la période Capaldi, ce que l'on pouvait lui reprocher pendant l'ère Smith était pas mal gommé, la saison 8 a un côté très Davies dans sa construction par exemple), mais Davies se faisait pas mal démonter lui aussi durant son run. Showrunner de Doctor Who, c'est un peu comme être sélectionneur de l'équipe de France, pas mal de monde pense être mieux placé pour savoir comment écrire la série. Du coup, Chibnall sera-t-il le Raymond Domenech de Doctor Who :lol:?Pour cet épisode, je trouve qu'autant sur le précédent il y avait du progrès sur la gestion des différents compagnons, autant là un peu retour à la case départ (J'ai l'impression que si on ne met pas Yaz en avant au travers de sa famille, on ne sait pas trop quoi en faire), vu qu'en plus on a droit aux storylines des personnages de l'épisode. Après, c'est le premier de la saison où, même si ce n'est pas extraordinaire, j'ai l'impression qu'il y a un feeling Doctor Who, avec un cadre de SF, et un antagoniste bien grotesque comme si enfin Chibnall commençait à se lâcher un peu alors que sur les autres, j'avais le sentiment qu'il voulait rassurer tout le monde et ne s'autorisait pas le ridicule (volontaire, en tout cas), au point où j'aurais pu être devant n'importe quelle série de base. On va voir pour les suivants, vu qu'on a de nouveaux scénaristes (après si Chibnall fait autant de réécritures que RTD sur les scripts de la plupart de ses collègues, ça n'avancera pas à grand chose).

Posté : lun. 12 nov. 2018 22:09
par Shyria
J'ai bien aimé ce 6ème épisodes qui aborde son sujet de manière assez intelligente sans en faire des tonnes. En plus on donne un peu de place à Yaz qui en manquait un peu.Par contre je commence à trouvé un vrai déficit de SF dans cette saison. Clairement Chibnall est de mon point de vue plus doué pour développer des personnages humains mais par contre je trouve qu'au niveau de l'ambiance/dépaysement je reste sur ma faim pour l'instant.

Posté : mar. 13 nov. 2018 08:48
par Zakath Nath
J'ai trouvé que l'épisode 6 démarrait plutôt bien. Déjà, contrairement à ses collègues de Rosa, Vinay Patel part en racontant une histoire et en y greffant les informations historiques plutôt que de faire le contraire, ce qui est faisable mais toujours plus compliqué. Les aliens sont intrigants, il y a le contexte super tendu qui s'ajoute et la tentation d'intervenir dans le passé, aussi douloureux soit-il. Même la musique colle aux images, à défaut d'être mémorable. L'ennui, c'est que si l'idée
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est très jolie, et inattendue (même si ça fait un peu doublon avec
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, la révélation arrive beaucoup trop tôt, du coup on suit vingt minutes d'épisode où tout est extrêmement prévisible et où les personnages principaux sont bien trop passifs. Father's Day à un niveau personnel ou Fires of Pompeii pour un événement historique arrivaient à rendre beaucoup plus poignant l'impossibilité d'empêcher une tragédie, alors que le premier ne concernait que des personnages de fiction et le second dépeint un événement tellement lointain dans le temps qu'il n'a plus aucun impact sur les gens qui vivent aujourd'hui, contrairement à la Partition qui est encore fraîche. Il y a vraiment une réalisation hyper-molle (le matos n'a jamais été aussi bon et ça se ressent sur les panoramas, mais il n'y a aucune ampleur au-delà de ça, et les petits nouveaux ne sont pas à la hauteur de gens comme Rachel Talaley, Toby Haynes ou Douglas MacKinnon), le format 50 minutes n'arrange rien (dix minutes de moins et on aurait peut-être moins ressenti ce côté prévisible et la passivité de la team TARDIS). Bon, et pour la deuxième fois on nous fait le coup de ne pas mettre la musique du générique de fin habituelle pour bien faire comprendre au spectateur que ouh là là, ce n'est pas un épisode comme les autres, il faut être ému, hein, attention, sauf que je trouve ça bien plus agaçant qu'émouvant, comme pratique. Bref, il y a du mieux ici et là mais dans l'ensemble, ça reste quand même bien terne et pas du tout à la hauteur des ambitions que ça affiche.Sinon, je lis souvent que le point fort de Chibnall n'est pas l'aspect SF mais les personnages humains, je ne trouve pas que ce soit le cas. Les personnages ne sont pas désagréables mais ils n'ont rien d'extraordinaire non plus: Yaz n'existe qu'à travers sa famille, pour Ryan on sent qu'il est impulsif mais ça s'arrête là, ses problèmes familiaux et sa dyspraxie apparaissent en pointillé mais ça ne fait pas un caractère, le Docteur a quelques spécificités (le côté bricolage par exemple) mais je trouve qu'avec Five, c'est peut-être l'incarnation qui met le plus de temps à montrer qui elle est, sans être mystérieuse pour autant, Graham s'en sort bien mais c'est peut-être plus grâce à l'acteur. Le truc c'est qu'en général, les personnages se révélaient grâce à l'intrigue, sans forcément être des monstres de complexité, ou être forcément sympathiques, et là c'est un peu dur de réussir ses personnages si on ne leur fait rien faire de marquant, ou qu'on leur fait exprimer leur tourment à voix haute plutôt que de transmettre ça par l'image.

Posté : jeu. 15 nov. 2018 21:40
par Shyria
Zakath Nath a écrit :Sinon, je lis souvent que le point fort de Chibnall n'est pas l'aspect SF mais les personnages humains, je ne trouve pas que ce soit le cas. Les personnages ne sont pas désagréables mais ils n'ont rien d'extraordinaire non plus: Yaz n'existe qu'à travers sa famille, pour Ryan on sent qu'il est impulsif mais ça s'arrête là, ses problèmes familiaux et sa dyspraxie apparaissent en pointillé mais ça ne fait pas un caractère, le Docteur a quelques spécificités (le côté bricolage par exemple) mais je trouve qu'avec Five, c'est peut-être l'incarnation qui met le plus de temps à montrer qui elle est, sans être mystérieuse pour autant, Graham s'en sort bien mais c'est peut-être plus grâce à l'acteur. Le truc c'est qu'en général, les personnages se révélaient grâce à l'intrigue, sans forcément être des monstres de complexité, ou être forcément sympathiques, et là c'est un peu dur de réussir ses personnages si on ne leur fait rien faire de marquant, ou qu'on leur fait exprimer leur tourment à voix haute plutôt que de transmettre ça par l'image.
Là où je trouve Chibnall bon c'est qu'il arrive à rendre des personnages de l'épisode de la semaine intéressants et émouvants. Concernant les compagnons j'aime bien Graham et Yaz même si elle est parfois un peu trop en retrait. J'ai plus de réserve sur Ryan... Quand je dis que je le trouve bien pour poser des personnages humains cela n'inclut pas le Docteur de mon point de vue qui par définition n'est pas humain. Là je commence à avoir un peu quelques bémol car en effet je trouve cette incarnation un peu en retrait avec une forme de résignation parfois. Me manque un peu du fight spirit du Docteur.

Posté : ven. 16 nov. 2018 12:13
par Aventurine
De mon côté, je crois que ce qui me déçoit de plus en plus, c'est un vrai manque de générosité. Dans la musique, dans les personnages, dans l'histoire, dans le kitsch... J'ai l'impression que tout est trop lisse, trop subtile et que même si ça se regarde, que c'est sympa, je ne suis pas autant embarquée que les autres saisons.Pour moi Doctor Who, ce n'est pas quelque chose de joli, de lointain, qui me dit :"Viens voir par ici c'est sympathique le voyage dans le temps." Pour moi, c'est un Docteur qui me prend par la main et me dit "Cours", parce que derrière on est poursuivi par des méchants bizarres. Il me manque l'adrénaline habituelle du show, cette urgence de voyager et de vivre.Alors, j'apprécie pour le moment ce qui se passe, mais plus les épisodes avancent et plus le manque de générosité creuse un fossé. Ça me fait rester sur mon canapé, disons, ça ne m'embarque pas de force dans un voyage inattendu. Et je trouve ça dommage ! :/Après, concernant le dernier épisode en particulier, ça m'a appris plein de choses et je l'ai trouvé plutôt touchant, mais encore une fois trop lisse pour me laisser bouche bée.

Posté : ven. 16 nov. 2018 12:18
par Sardequin
Alors, j’ai mieux apprécié l’épisode d’hier ! Sans doute parce que mieux construit, avec une « véritable » conclusion et plus émouvant. Mais c’est vrai qu’il manque un peu ce qui fait le sel des saisons précédentes : la folie, l’invraisemblable, l’urgence. Comme si la nouvelle équipe de scénaristes voulait faire ses preuves en étant « sérieuse » !!! Ça manque de suspens en effet, pas assez d’adrénaline comme dit Aventurine.

Posté : lun. 19 nov. 2018 10:54
par Zakath Nath
J'ai bien aimé l'épisode 7. Même si The Tsuranga Conundum donnait déjà un peu des signes de ça, pour le coup j'ai vraiment eu l'impression de me retrouver devant un épisode de Doctor Who. Ça m'a un peu rappelé une histoire comme The Long Game où on débarque dans un univers familier mais revu à la sauce futuriste. Le point de départ est chouette et on exploite des objets du quotidien qu'on regardera d'un autre œil
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.Ryan est aussi bien employé (on se souvient de la dyspraxie et le fait qu'il est bossé dans une entreprise de ce type sert également.Bon, ce n'est pas parfait: toujours un manque d'ampleur, et une fois qu'on comprend qui a tout manigancé,
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Mais c'est sans doute le premier épisode de cette saison que je m'imagine revoir avec plaisir.

Posté : ven. 23 nov. 2018 11:38
par Sardequin
Bon, alors, cet épisode vu hier soir ? Ben, il relève le niveau par rapport aux autres ! Pour une fois le suspens va jusqu’au bout et on a enfin droit à une résolution « du problème » qui termine vraiment l’épisode ! Tout n’est pas parfait mais il y a du mieux ! Et le petit clin d’œil à un précédent Docteur est savoureux !
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Posté : lun. 26 nov. 2018 12:02
par Zakath Nath
L'épisode 8 était pas mal aussi, surtout grâce à Alan Cummings qui en fait des tonnes en Jacques Ier mais c'est assez rigolo, et le Docteur moins passive que dernièrement. Le temps est passé beaucoup plus vite également. Ça reste du sympa sans plus mais c'est quand même mieux que la première moitié de la saison (bon par contre encore une fois, Yaz a besoin de parler de ses problèmes pour être un peu étoffée sans que ce soit illustré à l'écran...)

Posté : lun. 26 nov. 2018 12:43
par Merwin Tonnel
J'ai toujours un peu de retard, mais je rattrape petit à petit. J'ai failli m'endormir devant The Tsuranga Conundrum qui doit être un des plus mauvais épisodes de Doctor Who depuis assez longtemps mais j'ai beaucoup plus accroché à Demons of the Punjab, qui arrive à mêler intelligemment E.T. et reconstitution historique en les liant par un même thème assez fort. La série arrive à avoir un vrai sens et une vraie pertinence quand elle propose des épisodes comme ça. C'était peut-être un poil long pour ce que ça voulait raconter, mais largement au-dessus du lot des autres épisodes de cette saison.

Posté : lun. 26 nov. 2018 20:38
par Lauriaen
J'ai bien aimé aussi Demons of the Punjab. Un épisode très sensible, assez bien rythmé. Un peu réservée sur la race alien, que j'ai trouvé un peu trop... trop, autant dans l'apparence que le but.Et encore plus "Kerblam !", qui était un bon épisode, bien dans l'esprit de la série, équilibré, rythmé, avec tous les membres de la "Team Tardis" bien utilisés.Par contre, je suis un peu gênée par l'attitude du Docteur à la fin, qui montre depuis le début une personnalité très empathique, très tournée vers l'humain,
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Enfin, bref, je chipote, on va interpréter comme une solution prise dans le feu de l'action. :P

Posté : mar. 27 nov. 2018 19:20
par Zakath Nath
Ah, ah, en effet! Cela dit, le Docteur a toujours eu la compassion et l'amour des autres à géométrie assez variable selon les besoins des épisodes (et pas juste d'une incarnation à l'autre). Mais ce n'est pas la première fois que son comportement présente ce type d'incohérence cette saison:
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Je trouve que ça met en relief le côté lisse de cette incarnation (presque autant que Five) parce qu'aucun compagnon ne souligne qu'elle a une attitude contradictoire ou ne la reprend vraiment sur son comportement, donc ça n'a même pas l'air d'être un défaut voulu par les scénaristes, juste de la maladresse d'écriture.Alors que rien que dans la série moderne, il y a généralement un moment où la compagne s'opposait au Docteur ou lui faisait comprendre que son attitude n'allait pas:- Rose en saison 1 dans l'épisode Dalek, par exemple, quand le Docteur est prêt à abattre le Dalek- Martha (qui pourtant était généralement trop énamourée pour être vraiment en conflit avec Ten): à la fin de l'épisode 3, elle lui fait comprendre qu'elle sait qu'il lui a menti au sujet de Gallifrey et qu'elle voudrait qu'il soit honnête avec elle- Donna en saison 4 dans l'épisode sur Pompéi qui est choquée qu'il puisse quitter Pompéi sans sauver personne et le convainc d'agir au moins à petite échelle- en saison 5 et 6 le Docteur avait déçu Amy et il doit quand même faire attention à ne pas le faire encore, Rory n'était pas béat d'admiration devant lui et souvent incisif.- Au cours de la saison 8, Clara fait bien comprendre à Twelve qu'elle n'aime pas son attitude et il se corrige suffisamment, ou prend davantage la peine de s'expliquer pour qu'elle poursuive l'aventure.- en saison 10, on avait Nardole qui essayait au moins de cadrer le Docteur et le rappeler à ses devoirs.Là, pour l'instant, je trouve qu'il n'y a pas vraiment eu de remise en cause du Docteur par ses compagnons, parce qu'il n'y a pas de prise pour le faire, c'est juste la bonne copine excentrique. Du coup, le personnage perd en mystère mais aussi de son côté un peu effrayant (qui est présent même dans les incarnations légères, donc juste vouloir faire un contraste avec Twelve ce n'est pas une raison suffisante). Son côté alien est juste soulignée par des remarques humoristiques en passant mais le personnage n'a pas de réelle étrangeté.

Posté : mar. 27 nov. 2018 19:38
par Aventurine
Je suis d'accord avec toi Zakath Nath, le nouveau Docteur manque de relief à être trop lisse. Ça manque d'erreurs de sa part, finalement ! Et elles sont là, comme le dit Lauriaen, mais ce n'est pas relevé, donc ça passe à la trappe quand même ! ^^