Posté : ven. 10 oct. 2003 17:11
Tu as juste à rajouter les deux " Contes du Loup Blanc " toujours chez Pocket, et la nouvelle trilogie dont on parle depuis 2 pages. 

Et voilà!Further information about the creation of the Black Sword should be coming up in the forthcoming DC graphic novel I'm doing with Walter Simonson -- Elric: The Making of a Sorcerer. First 48pp book is called A Bargain in Blades. Walter has had some minor health setbacks and is a bit later on delivering it than we'd originally scheduled, but he's doing some great work. I have been talking to Chris Weitz recently about the origin of the blade, too, and we hope to explain that better in the movie version, which will be based mostly on Elric of Melnibone. Of course the 'spirit' of the sword did appear in the final book and I'm not always sure he's as evil as he says he was. Maybe evil comes from the uses mortals make of the blade ? We'll have to see. As we've discovered in recent years, Chaos is not necessarily synonymous with evil, either. I think we definitely need a little of both Law and Chaos to make the world work. No life without death. No good without evil ? On we go. Maybe the journey never ends.
la fascination pour Elric me siderera toujours
Humpf :!: replaçons nous dans le contexte : Années 70 : Tolkien à la mode, Leiber sanctifié, Howard adulé, Morcook rédacteur à New Worlds...Parmis tout ces auteurs, si stéréotype et cliché il y a, il faut plutot chercher du coté des poncifs du genre à l'époque. :? ( précisé plus bas)De plus, même si les premiers romans du genre sont stylistiquement inférieur à ce que Morcoock a pu écrire par la suite, il ne faudrait pastomber dans ces clichés que tu dénonces toi memec vrai qu'Elric est un peu un cliché ambulant ! Ouais Skinn, faisons voler en éclat le "fantasyquement correct" !
car si Elric des dragons date de 1972 et est effectivement une de ses premières oeuvre (la encore, c'est très relatif), Morcoock avait derrière lui plus de 10 ans de journalisme dans une revue importante, et avait dejà à son palmarès bon nombre d'oeuvre ( signé avec ses nombreux pseudonyme.De plus la fascination pour Elric est assez compréhensible : il s'agit avant tout , au début, d'un patchwork légèrement stéréotypé de divers récits de fantasy. (au risque de me contredire )L'exploit, à mon a vis, de Morcoock est d'avoir à travers ce colage réussi à (et c'était une première,enfin, presque) transcender l'appelation fantasy, dépasser le cadre et le contexte de son récit afin d'en extrapoler une réflexion sur l'homme.De plus, le coeur du cycle (comprendre Elric le Nécromancien, La Sorcière dormante, L'Epée noire, Strombringer) témoigne d'une maitrise extrordinnaire de l'art narratif de Morcoock (nous sommes en 1977, et 1979 il me semble).Enfin, le héros Elric est quant à lui extremement novateur, car quoi qu'on en dise, si anti-héros il y a en fantasy, c'est de lui dont il s'agit.Ce sont les premiers bouquins de moorcock, et ils sont à ce titre assez mauvais.
Tiens, on dirait moi il y a quelques semaines...Je le dit, ou pas? Allez, je me fais plaisir: Je t'avais prévenue!The Skrayling Tree , acheté en angleterre, deuxième dans ma pile.Bon, j'ai terminé The Dreamthief's daughter il y a quelques jours et mon avis pourrait tenir en un mot : EPOUSTOUFLANT J'ai beaucoup aimé le cycle d'Elric (surtout Stormbringer et les deux précédents), mais Moorcock est maintenant un niveau au-dessus dans son art : la maîtrise de la narration, la richesse de l'histoire et le fait d'y mêler des évènements de notre propre histoire tout en développant le concept du multivers ... passionnant, même si c'est parfois un peu compliqué de savoir qui est qui Bref, ce livre m'a tenue en haleine de la première à la dernière page et je commence la suite The Skrayling Tree aujourd'hui même