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Si le roman est à l'image de sa couverture...

Tiens, j'ai reçu les Bragelonne du mois ce matin, donc critique tout bientôt... Ce sera sûrement le premier que je vais lire de cette fournée de rentrée !

Acheté il y a tout juste une demi heure, ce Dragon des Arcanes.Juste lu ce qui fait office de prologue pour l'moment et ça commence bien. ^^Par contre pour l'moment j'cri à l'injustice pour deux trucs :Ensuite le deuxième c'est un méchant spoil que j'ai eu en lisant la description du bouquin par l'éditeur, sur amazon.fr. Et c'est donc là où j'veux en venir, dans le cas où mes deux phrases spoils s'avèrent vraie une fois que j'aurai finis le bouquin.Bref, première réaction à chaud concernant ces treize premières pages : ça bouge bien, il y a de l'action, des surprises et tout ce qui fait un bon roman de cape et d'épée Je m'en vais poursuivre la lecture et tenter de rapidement finir le bouquin

La critique arrive demain, mais en attendant, c'est amusant de découvrir... la VA, avec un extrait dans la langue de Shakespeare ! http://fantasyhotlist.blogspot.com/2010 ... inals.htmlTraduction de Tom Clegg.

Bon, finalement, la critique est arrivée... aujourd'hui. :arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/cycle/le ... canes-1823

Bien aimé aussi, et j'avoue avoir moins vu les liens avec le monde pevelien de Wielstadt et ses persos qu'avec Maître Dumas... mais ça doit tenir au fait que je suis davantage familière avec l'oeuvre de ce cher Alexandre...

Ah, non, je n'ai pas vu de lien direct, c'est pour ça que je dis qu'on ne peut pas vraiment les comparer pied à pied. Mais, après, "sentimentalement" parlant, j'ai préféré les aventures de Kantz.

Je l'ai terminé aujourd'hui et je n'ai vraiment pas été déçue, même si la fin est plutôt abrupte.P. Pevel a su encore une fois donner vie à ce Paris du XIIème, plein de duels, de complots et de dragons. Comme le souligne la critique de Gillossen, on sent qu'il s'est fait plaisir à restituer cette part historique, à emmener le lecteur dans son univers, et on y prend plaisir aussi. Le roman démarre au quart de tour et ne faiblit pas, il laisse à peine le temps de souffler jusqu'à l'apothéose finale. J'aime particulièrement cette ampleur qu'il a su donner à l'intrigue et l'avoir vue "éclore" au cours de ces trois tomes. Les scènes d'action, aussi, très nerveuses, presque millimétrées, sont un vrai régal. L'émotion est aussi au rendez-vous, juste ce qu'il faut. Bref, quasi sans faute! Finalement, seule la fin m'a un peu gênée mais c'est peut-être parce que j'aurais bien aimé que l'histoire continue. ;)Pour moi, c'est une trilogie magistrale qui marquera durablement la scène de la Fantasy française. Et internationale.

Bah j'suis un peu comme Gillossen. C'est du tout bon, les lames ; mais Kantz a ma préférence.En fait j'me dis qu'il aurait été excellent qu'on ait Kantz à la place de La Fargue pour diriger les lames Hop, avec une p'tite Liliana version jeune femme à la place d'Agnès aussi et un Seelgen en adversaire politique de Richelieu, et.... ouah j'm'emporte .Et aussi, plutôt que trois tomes, quand je lis la trilogie des lames, j'me dis que ça aurait aussi pu faire un magnifique pavé d'un seul tome. Je pense que comme ça on aurait moins l'impression que certains persos semblent mis de côté.Cependant là où avec Wielsadt j'avais l'impression qu'il y avait matière à encore exploiter le monde (du genre une ellipse de quelques années pour faire grandir certains persos aussi bien physiquement que psychologiquement, politiquement, etc.), bah pour les lames, j'trouve la trilogie assez (très ?) complète. Bon, OK, il reste des mystères, mais des mystères pas obligés d'êtres révélés, je trouve. Ça a une part de charme une œuvre qui garde encore certains mystères laissés libre à l'appréciation et, surtout, à l'imagination des lecteurs ;)Bref, très bonne trilogie que ces Lames du Cardinal. Le seul reproche que j'y trouve, c'est la gestion des lames. Peut être que s'il y en avait, disons deux de moins (pas touche à Saint-Lucq, par contre ), les autres auraient été encore mieux exploitées.

Oui, c'est ça : un casting varié, mais pas totalement développé, ou en tout cas pas autant qu'on aurait pu l'espérer au départ.

ca a m'air bien..en plus contrairement a wielstadt on peut trouver les bouquins !!c qd meme grave qu'en france on puisse pas trouver la premiere trilogie..et apres les editeurs francais diront qu'ils soutiennent la creation francaise.si ca leur coute trop cher la reimpression, pourquoi ne pas vendre en ligne au format ebook les livres qu'ils ne veulent pas rééditer en papier (genre via la fnac...) ?j'espere que bragelonnes y pensera car presses pocket a sorti la premier trilogie en poche en 2004 et depuis pas de reedition :-(

En avril 2011 un intégral Wielstadt devrait sortir, enfin normalement.

ca serait cool !! avec un peut de chances a 10euros ? ;-)j'ai fini al trilogie des orcs ct pas mal du tout :-)

En effet, ça se trouve, mais à des prix effarants !!

j'ai eu de la chance, j'ai trouvé les trois tomes d'occas à des prix raisonnables. Soit moitié moins cher, soit pas plus du prix neuf.@ damrod: les intégrales à 10€ c'était chez Bragelonne uniquement, pour leurs 10ans. La trilogie de Wielstadt n'est pas éditée par Bragelonne, donc il y a peu de chances de l'avoir à 10€

L'intégrale c'est chez pocket donc le prix devrait être entre 10 et 12 €.

10-12euros ? ok ca ira...bon ils se magnent ou pas ? ;-)c vrai ct fleuve noir la premiere edition grand format non?

Oups ouais Stupidboy, j'avais aucune idée du prix d'une intégrale chez Pocket en fait >

Euh, si vous voulez parler de Wielstadt, il y a un sujet pour ça. ;)Et j'imagine que le prix d'une intégrale varie de toute façon par rapport à la taille du texte.

Une très bonne lecture de mon côté, qui allie le dynamisme du roman de cape et d'épée à l'ambiance fantastique d'un XVIIème revisité avec brio. Une conclusion très satisfaisante en elle même.Au final il s'agit d'une excellente trilogie, qui n'aura à mon sens comme défaut (relatif) que son traitement des personnages, qui sont somme toute relativement secondaires par rapport à l'action. Peu de place laissée à l'introspection, aux tourments psychologiques, c'est l'efficacité et le plaisir de prendre part à une aventure qui prime.