124
Hé, oh, on ne se moque pas ! ;)Je n'ai même pas encore officiellement signé mon contrat, donc je dois avouer que je n'ai pas encore vraiment réfléchi au titre. ;) Même si a priori, j'essaierai effectivement de partir sur quelque chose en R. ;)

127
En effet, la Guerre de Sécession m'intéressant, ça doit être pas mal :)Mais c'est un dimanche, le lendemain, il y a collège, j'aurais sûrement pas le droit :|Quoique c'est mon anniversaire... :p

128
Tu peux - enfin, je suppose - toujours l'enregistrer, d'autant que c'est de l'Histoire (pour convaincre tes parents). ;)Même si l'on quitte très vite le cadre de la Civil War, on peut dire que ses problématiques, entre autres, sont elles aussi transportées sur le monde de Valdennia, et Régiment Perdu ou pas, ça doit valoir le coup d'oeil. ;)
Libération a écrit :«La Guerre de Sécession», tuniques amèresDocu. Arte diffuse dimanche le premier volet de la passionnante série historique de l’Américain Ken Burns, record d’audience aux Etats-Unis.BRUNO ICHERLa Guerre de Sécession (The Civil War) série documentaire de Ken Burns, épisode 1/9, Arte, dimanche 1er mars, à 22 h 15.«Nous étions jeunes et nos cœurs ont été touchés par le feu.» C’est sur cette citation d’Oliver Wendell Holmes, physicien et écrivain américain, que s’ouvre cette extraordinaire série documentaire consacrée à la guerre de Sécession. Diffusée en 1991 aux Etats-Unis, elle a rassemblé 45 millions d’Américains devant la chaîne PBS, un record seulement dépassé par une autre série consacrée au base-ball, autre pilier de la culture américaine, et toujours signée Ken Burns. C’est grâce ce gigantesque travail accompli sur la guerre civile que l’historien est devenu une vedette en son pays. Bonne nouvelle : depuis quelques années, il exporte désormais ses films, comme The War, fresque de plus de quatorze heures consacrée à la Seconde Guerre mondiale qui a connu un large succès en France l’année dernière, tant en DVD que lors de sa diffusion, toujours sur Arte, à la surprise générale.Récit picaresque.Evidemment, ce travail sur la guerre civile américaine ne possède pas, pour les spectateurs français, une charge émotionnelle comparable à The War. Question à la fois de proximité dans le temps et du sujet lui-même, fondateur pour les Américains, mais dont les détails sont peu connus hors de leurs frontières. Or, tandis que Barack Obama est entré de plain-pied dans un état de grâce dont le monde entier souhaite qu’il dure le plus longtemps possible, il n’est pas superflu de creuser un peu le sujet Lincoln, abondamment cité par l’actuel président américain.A l’inverse, on peut largement se dispenser de la rediffusion de la vieille fiction le Nord et le Sud (toujours sur Arte), qui eut les faveurs du public en dépit des épouvantables brushings de Patrick Swayze qui aurait pu flinguer sa carrière rien qu’en arborant ce monstrueux accroche-cœur au milieu du front. Toujours est-il que nous recommandons vivement de se plonger toutes affaires cessantes dans cette Civil War qui, dès le premier épisode, captive même les plus ignorants sur le sujet. Et nous en savons quelque chose. Les qualités de conteur de Ken Burns, sa technique très particulière de «visiter» les innombrables photos réunies, l’érudition prodigieuse et immédiatement accessible des documents produits, tout cela confère un charme irrésistible à l’entreprise.En neuf épisodes, l’historien raconte le destin des acteurs majeurs ou anonymes du conflit, la brutalité des combats fratricides et les conditions de vie d’un XIXe siècle rendu soudain, comme par magie, si proche. Avant d’entrer dans le récit picaresque, incroyablement romantique et cruel de cette guerre, Ken Burns livre sa note d’intention : «Cette guerre fut la naissance d’un pays incapable de comprendre comment le conflit ait pu avoir lieu.»En 1861, l’Amérique ne compte que 33 millions d’habitants, autant dire pas grand-chose compte tenu de l’immensité du territoire dont certaines parties sont encore à l’état sauvage. La querelle entre le Nord, qui entame sa révolution industrielle à marche forcée, et le Sud, qui tente coûte que coûte de se maintenir dans un conservatisme d’un autre âge, prend bientôt des allures d’affrontement de société. La guerre est l’aboutissement inéluctable de cette opposition que Tocqueville, en 1831, avait déjà observée et relatée : «Sur la rive gauche de l’Ohio, le travail se confond avec l’idée de l’esclavage, sur la rive droite avec celle du bien-être et des progrès. Là, il est dégradé, ici on l’honore.»Illuminé. Au cours de ce premier épisode, Burns montre la polémique sur l’esclavage qui dégénère en affrontement violent jusque dans les murs du Sénat où, en pleine séance, un abolitionniste est roué de coups de canne par un sénateur sudiste. En Virginie, John Brown, un illuminé persuadé que sa mission d’abolitionniste est guidée par Dieu lui-même, tente un coup de force en 1859 pour déclencher un soulèvement des esclaves. Personne ne se soulève et ses hommes finissent par succomber sous les balles d’un détachement de l’armée dirigé par un certain Robert Lee, le futur commandant en chef des forces sudistes. John Brown sera pendu sous les acclamations de la foule de Charles Town, au milieu de laquelle se trouve John Wilkes Booth, le futur assassin de Lincoln. C’est haletant, passionnant, impérieux et il y a huit autres épisodes de ce calibre.

129
J'ai ce truc qui traine quelque part en dvd, ça avait l'air sympa mais je n'ai pas encore eu le temps de le regarder.Dans le même ordre d'idée il y a un joli pavé signé James M. McPherson, dans la collection Bouquins, qui est le livre ultime sur ce conflit. Travail de fond énorme et une écriture agréable qui permettent de mieux comprendre ce conflit franchement mal connu par chez nous.

130
Chez Robert Laffont donc ? J'ai pu mettre la main dessus il y a quelques temps, c'est sûr que c'est un pavé mais très clair pour le coup. :)Sinon, Arte poursuit la diffusion du Nord et le Sud tous les jours en tout début de soirée. Et pour en revenir au Régiment perdu, le tome 5 s'avère bien sympa. :) Le plus court des 5, le roman est nerveux, éviter les descriptions à rallonge, propose un nouveau méchant très intéressant, et possède même un petit côté
► Afficher le texte
distrayant. :)

132
Je dois relire les corrections à la fin du mois et j'ai renvoyé la fiche de présentation du 5 hier. Je dirais donc juin, mais après, je n'ai pas demandé, je suis assez occupé comme ça. ;)

138
Scorpius a écrit :C'est génial ! :)Je me demande à quoi ressembleront les couvertures... :rolleyes:Elles devraient être légèrement différentes nan ?
Oui, légèrement différentes mais restant dans le même esprit. Je me demande d'ailleurs si ce n'est pas le même illustrateur.

140
Altan a écrit :C'est là que je vois enfin l'utilité de Milady !Nice :)
Va falloir inclure l'achat de l'intégrale de la série en grand format pour tout nouvel adhérent dans les statuts de l'association. :mrgreen: