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Posté : sam. 7 juil. 2012 17:36
par Favrielle
je viens de commencer et j'avoue que j'ai un doute : vais-je continuer, persévérer ou lire autre chose ?Le début est très évanescent, je trouve. Il y a quelque chose d'impersonnel et d'insaisissable. Je me demande quand ça commence, tout en ayant peur que que ce soit comme ça pendant tout le livre.Pour le moment, j'ai une impression de vide. :huh:

Posté : lun. 30 juil. 2012 13:45
par Gillossen
http://nsa30.casimages.com/img/2012/07/30/12073002041521720.jpg
Couverture définitive. ;)

Posté : lun. 30 juil. 2012 14:30
par John Doe
J'aime bien cette couverture.:)je ne crois pas avoir vu le résumé, que voici (une partie que j'ai mise en spoiler, même si c'est la présentation officielle):
Le monde de Bankgreen...Brankgreen, la mauve et noire...
► Afficher le texte
Et puis il n'y a pas de mal à se faire du bien ::sifflote::D
Avec «Elbrön», Thierry Di Rollo clôt donc le dyptique ouvert par «Bankgreen», livrant à travers ces deux romans une fresque épique novatrice et sans équivalent, une oeuvre appelée à faire date et qui, à vrai dire, l'a déjà fait, en témoigne le Prix Elbakin 2011 qui a salué «Bankgreen» comme le meilleur roman de fantasy de l'année...

Posté : lun. 30 juil. 2012 18:42
par Ramaloce
La sortie est toujours prévue pour Septembre ? chouette couverture !et Merci John Doe pour le résumé :)

Posté : lun. 30 juil. 2012 19:05
par Luigi Brosse
Très jolie (et résumé alléchant).

Posté : lun. 30 juil. 2012 21:42
par John Doe
La sortie est toujours prévue pour Septembre ?
Oui, pour le 20 septembre.

Posté : lun. 30 juil. 2012 22:35
par Ramaloce
Merci !je me disais bien que le style de la couv m'était familier, c'est Elian Black'mor au pinceau ^_^

Posté : jeu. 16 août 2012 14:24
par Ansset
Sur le forum du Belial, Thierry di Rollo a indiqué que: A propos d'Elbrön, il est peut-être utile de préciser que le second livre du dyptique clôt l'histoire en expliquant cette dernière de manière exhaustive. Bien sûr, parce qu'on ne se refait pas, deux ou trois points de détail restent dans les zones d'ombre du mystère, mais rien qui concerne la compréhension in fine de Bankgreen.

Posté : mer. 29 août 2012 14:18
par Gillossen
http://nsa30.casimages.com/img/2012/08/29/120829023905678768.jpg
2011, mais c'est pas grave. ;)

Posté : mer. 29 août 2012 14:34
par Witch
Ce n'était pas qu'une convention Fantasy, alors c'est normal qu'en SF ils s’emmêlent les crayons avec les voyages dans le temps :D

Posté : lun. 3 sept. 2012 14:26
par Atanaheim
4e de couverture d'Elbrön :
La quatrième de couverture : « Tous ceux qui peuplent Bankgreen ne sont rien sans elle, mais Bankgreen demeure tout sans eux. Bankgreen est souveraine... » Mordred, le dernier des varaniers, lui qui connaissait la fin de tous, a finalement rencontré la sienne. Arfans et Digtères se sont entretués dans un carnage insensé. Seuls demeurent les Shores, anciens esclaves qui appréhendent leur liberté nouvelle. Mais pour combien de temps ? Car au loin, par-delà le temps blanc, se dresse une silhouette de cendre tordue, un arbre mort aux contours mâchés dénué de visage. Une silhouette qui approche, et qui bientôt se double, se triple, se mue en multitude portée par la haine. Qui pourra faire face à semblable horde ? Personne. À moins, peut-être, que les restes d’une armure abandonnée et éparpillée retrouvent leur possesseur. Un guerrier. Un mercenaire. Dont tous disaient qu’il ne pouvait mourir... Thierry Di Rollo a publié de nombreux romans et nouvelles — pour l’essentiel au Bélial’, mais également chez Denoël ou dans la « Série Noire » des éditions Gallimard. Il signe avec Bankgreen / Elbrön sa première incursion en fantasy, créant de fait l’un des univers épiques les plus novateurs du domaine, ambition saluée par le Prix Elbakin 2011 du meilleur roman de l’année pour le volet initial du diptyque. « Raconter ce qui pourrait parfois s’enfuir et se cacher dans les méandres de l’irracontable, la chose n’est pas aisée, assurément. Comment tenter l’aventure narrative, d’une manière adaptée à ce monde hors normes qu’elle raconte et traverse et parcourt, ce monde et ses occupants ? Comment ? Raconter à travers la somme de tous ces écueils prévisibles dressés sur le chemin... Thierry Di Rollo l’a fait et y est parvenu avec une rare force évocatrice — avec ce qui fait qu’on entre dans ce monde à sa suite sans plus pouvoir s’éloigner de ses pas. » PIERRE PELOT, extrait de la préface de Bankgreen.
Je rappelle aux plus impatients qu'ils peuvent télécharger le prologue du roman sur le site du Bélial ;)

Posté : lun. 3 sept. 2012 18:21
par Lorhkan
Ayant adoré Bankgren, celui-là il sera mien ! :)

Posté : lun. 3 sept. 2012 19:16
par Ramaloce
J'ai lu cet été la nouvelle "L'éclaireur" (Bifrost 65), et je rappelle (parce que cela a déjà été dit plus haut), que c'est une excellente transition pour Elbrön, puisqu'elle explique un eu ce que veut dire "Elbrön" !La nouvelle est dans l'esprit de Bankgreen , et m'a permis de patienter jusqu'à la parution du prochain tome :)

Posté : lun. 24 sept. 2012 10:58
par Publivore
Pour lire Bankgreen, il m'aura fallu de la persévérance.Je me suis tout d'abord demandé, comme Favrielle, si je n'allais pas laisser tomber au bout d'une cinquantaine de pages : morts à tous les coins de chapitre, souvent pour des raisons guère compréhensives, personnage principal antipathique au possible et surtout, surtout, invention de termes pour désigner des éléments connus, afin de faire couleur locale (ex : Nève pour la neige, qui ne m'a franchement, mais alors franchement pas convaincu... A l'opposé, l'idée des sentinelles m'a ravi !). Et puis, au fil de pages, s'est installée une véritable envie de voir où tout cela menait. J'ai d'abord pris ça pour l'équivalent d'une fascination morbide, mais avec le recul, c'est plutôt l'écriture de Thierry di Rollo qui m'a accroché, même si elle est assez âpre. Je suis rarement fan des concepts fumeux, des paragraphes sybillins (en tout cas pour moi et mon esprit rationnel), mais lorsque c'est le cas dans Bankgreen, cela m'a plus laissé l'impression d'une poésie, un rien ésotérique, souvent désabusée et noire, mais vraiment plaisante. Avec le défilement des pages vient également l'apprentissage et la compréhension (?) du fonctionnement des divers peuples et espèces habitants sur Bankgreen. Leur nombre et leur comportement "bizarre" (dans le sens de psychologie de groupe) ont été un handicap pour moi au départ, mais en refermant le livre, tout me semblait clair et logique (enfin à peu près tout :P), avec l'envie de relire l'ouvrage pour mieux apprécier toute la première partie, à la lumière de ma connaissance acquise de Bankgreen...Bref (enfin presque), je suis au final conquis par cette lecture franchement particulière, et me voilà tout juste dans les temps pour la sortie du deuxième volume... Quoique, selon mes (bonnes ?) habitudes, je vais laisser passer quelques mois 1/ pour digérer complètement la lecture du premier 2/ ne pas saturer à la lecture du volume 2.pour conclure, j'aurai sans doute du mal à recommander Bankgreen, mais j'adhère au choix du jury adulte pour le prix Elbakin.net 2011 ! :)

Posté : jeu. 27 sept. 2012 15:56
par Aslan

Posté : jeu. 27 sept. 2012 18:25
par John Doe
Très belle critique pour une suite que j'attends beaucoup, merci.;)

Posté : jeu. 27 sept. 2012 20:17
par Atanaheim
Voilà acquis aujourd'hui même. Maintenant il me faut trouver le temps de le lire ;)

Posté : ven. 28 sept. 2012 09:30
par zedd
Merci pour la critique. Le livre est sur ma pile de lecture, et attend tranquillement son tour. Il faut dire que cette rentrée littéraire est assez chargée, et que le niveau est très haut. On ne va pas s'en plaindre.Zedd

Posté : lun. 1 oct. 2012 16:21
par Witch
Compte tenu de mes difficultés avec Bankgreen j'ai comme le sentiment que Elbrön ne va pas se placer au premier rang des choses que j'aurais envie de lire En lisant la chronique de Gillo, une phrase en particulier a fait écho à mon ressenti :
L’auteur étant resté campé sur ses positions de fond comme de forme, tout le monde ne partagera évidemment pas cette impression d‘“aboutissement vain”, un concept abscons, certes, antinomique, mais un concept qui imprègne néanmoins chaque ligne lue.
J'ai justement le sentiment que c'était exactement mon impression à la lecture de Bankgreen "l'aboutissement vain" le sentiment d'avoir été embarqué vers un ailleurs qui ne me touche pas, et que cette conceptialisation était tellement présente à chaque ligne qu'elle ne me laissait aucun répit, aucune porte d'entrée différente dans l'univers. Dois-je comprendre en lisant ta chronique Gillo que cette impression est un ressenti plaisant pour ceux qui ont apprécié le livre ?

Posté : lun. 1 oct. 2012 19:21
par Nigelle de Damas
Yes! j'ai réussi à me reconnecter du premier coupSaluts à tous, après une longue période sans lecture à cause d'une vue problématique, je m'y remets, avec les auteurs qui me tiennent à coeur comme T Di RolloTout d'abord, merci pour la magnifique critique - C'est tout à l'honneur du site d'oser une telle note pour ce roman complètement atypique et qui ne peut d'emblée séduire un max de lecteurs, car comme le dit Witch, ce n'est pas une lecture plaisante!(je l'avais dit ici pour Bankgreen). Le récit est pour moi "stroboscopique" pas de linéarité, mais des "flashs" - pas facile! Mais ce qui est enrichissant, c'est d'être "secoué" intellectuellement par une oeuvre qui ne correspond à rien de ce qu'on a déjà vu en fantasy - c'est un exploit en soi!Surtout avec une écriture terriblement évocatrice - Pas facile d'entrer dans l'histoire - que de doutes, de suppositions ....puis, la magie de l'écriture donne une vie propre à Bankgreen - et elle m'a émerveillée!