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Hello l'équipe, long time depuis que je ne suis repassé ici, même si j'écoute toujours l'émission que j'apprécie toujours autant ! 
Par contre je me rends compte qu'il faudrait que je la reprenne depuis le début parce que je perds régulièrement le souvenir des conseils qui sont donnés (un bouquin Procrastination qui récapitulerait tout ce que vous dites depuis le premier épisode ça serait topitop, mais je dis ça comme ça hein !
)
Et à ce propos, je n'ai plus souvenir si à un moment vous avez abordé au détour d'une émission les éventuels objectifs d'écriture journaliers ? Avez vous besoin de vous fixer un objectif de signe avec espace, sans espace, mots, paragraphes ou pages par jour ? Et si oui, quelle "unité de mesure" trouvez-vous la plus pertinente ?
Je vous pose la question parce que je réécoute en ce moment l'ensemble des Writing Excuses de Sanderson et dans la saison 2 (qui date tout de même de 2008, quand on y pense, une éternité !) Brandon dit qu'il a un objectif journalier de 10 pages à écrire par jour et que son compteur moyen par livre est d'environ 250 000 mots.
Pare ailleurs, dans les dernières vidéos de ses récents cours de Creative Writing au BYU, Sanderson dit qu'il impose à ses élèves qu'ils lui rendent des romans d'un minimum de 35 000 mots, si j'ai bien compris. Il me manque par contre le temps qu'il alloue pour le rendu des écrits. Ce qui est sûr c'est qu'il est l'unique professeur à imposer autant de mots à ses élèves. Perso, je trouve ça intéressant, même si on retombe encore dans le "just write", finalement le conseil le plus utile quand il s'agit d'écriture
Voilà voilà, au plaisir de vous lire/écouter !
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Par contre je me rends compte qu'il faudrait que je la reprenne depuis le début parce que je perds régulièrement le souvenir des conseils qui sont donnés (un bouquin Procrastination qui récapitulerait tout ce que vous dites depuis le premier épisode ça serait topitop, mais je dis ça comme ça hein !

Et à ce propos, je n'ai plus souvenir si à un moment vous avez abordé au détour d'une émission les éventuels objectifs d'écriture journaliers ? Avez vous besoin de vous fixer un objectif de signe avec espace, sans espace, mots, paragraphes ou pages par jour ? Et si oui, quelle "unité de mesure" trouvez-vous la plus pertinente ?
Je vous pose la question parce que je réécoute en ce moment l'ensemble des Writing Excuses de Sanderson et dans la saison 2 (qui date tout de même de 2008, quand on y pense, une éternité !) Brandon dit qu'il a un objectif journalier de 10 pages à écrire par jour et que son compteur moyen par livre est d'environ 250 000 mots.
Pare ailleurs, dans les dernières vidéos de ses récents cours de Creative Writing au BYU, Sanderson dit qu'il impose à ses élèves qu'ils lui rendent des romans d'un minimum de 35 000 mots, si j'ai bien compris. Il me manque par contre le temps qu'il alloue pour le rendu des écrits. Ce qui est sûr c'est qu'il est l'unique professeur à imposer autant de mots à ses élèves. Perso, je trouve ça intéressant, même si on retombe encore dans le "just write", finalement le conseil le plus utile quand il s'agit d'écriture

Voilà voilà, au plaisir de vous lire/écouter !

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Guigz a écrit :Et à ce propos, je n'ai plus souvenir si à un moment vous avez abordé au détour d'une émission les éventuels objectifs d'écriture journaliers ? Avez vous besoin de vous fixer un objectif de signe avec espace, sans espace, mots, paragraphes ou pages par jour ? Et si oui, quelle "unité de mesure" trouvez-vous la plus pertinente ?
Oups, désolée, je découvre ce post seulement maintenant !
Personnellement je m'impose un nombre de pages quotidien assez strict en traduction mais moins en écriture. À l'époque où je me suis essayée au roman, je m'étais fixé cinq feuillets de 1500 signes minimum par jour, ce qui n'est pas énorme, mais tous les jours. Assez souvent, l'impulsion était donnée et je continuais sur ma lancée jusqu'à 10, 15 ou plus selon l'envie. D'expérience, se fixer un nombre trop contraignant peut être décourageant.
Sur les nouvelles, j'ai toujours été plus souple puisqu'elles sont plus courtes à écrire. Et l'an dernier, j'ai écrit une sorte d'essai très personnel pour lequel je ne me suis fixé aucune contrainte, d'autant que je n'avais pas de deadline, et qui au final s'est écrit tout seul sur plusieurs mois pour devenir un de mes livres les plus longs. Mais je ne pense pas que je l'aurais écrit aussi facilement à mes débuts, et je trouve la non-fiction étonnamment plus facile à écrire que la fiction, ce qui a forcément joué
Sur ce point je crois qu'il n'existe réellement aucun conseil universel et que c'est à chacun de tâtonner pour trouver ce qui correspond le mieux à son fonctionnement spécifique.
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Guigz a écrit :Et à ce propos, je n'ai plus souvenir si à un moment vous avez abordé au détour d'une émission les éventuels objectifs d'écriture journaliers ? Avez vous besoin de vous fixer un objectif de signe avec espace, sans espace, mots, paragraphes ou pages par jour ? Et si oui, quelle "unité de mesure" trouvez-vous la plus pertinente ?
Pareil, désolé, je n'ai pas suivi le fil de près !
Pour ma part je fonctionne en signes espaces comprises (soit le texte "brut"), et je me tiens à une moyenne de 10 000 signes journaliers. J'ai constaté qu'avec mon rythme, c'est suffisamment exigeant pour me pousser à éviter le perfectionnisme (qui est contreproductif au premier jet) tout en étant raisonnablement atteignable de façon régulière si je ne papillonne pas.