Re: Les nombreux Docteur Who
Posté : dim. 8 oct. 2023 09:41
J'ai enfin mis la main sur La Révolution des Daleks et sur la saison 13 (Flux) en DVD ! Je vais pouvoir rattraper mon retard.
Hier soir, c'était donc La Révolution des Daleks. L'intrigue est très classique, avec une certaine ironie vis-à-vis des fantasmes sécuritaires britanniques, mais sans le grain de folie ou le côté mordant qui permettrait à l'épisode de se distinguer des précédents qui ont déjà abordé le même thème. Notons tout de même des Daleks toujours aussi affreux et réjouissants et quelques scènes "frisson" très pulp et "doctor-esques" — on reconnaît tout de même mieux l'esprit de la série que dans certains autres scénarios précédents de Chibnall.
Bizarrement, ce sont les relations entre les personnages qui m'ont le plus intéressé : l'apparition de Jack Harkness, ses échanges avec la "famille" du Docteur, les destins des différents personnages qui la composent et qui, sans être mes Compagnons préférés, sont tout de même sympathiques.
Le Docteur apparaît une nouvelle fois en retrait dans cet épisode, cette fois avec de meilleures raisons puisqu'elle sort d'épreuves particulièrement difficiles. Mais ça manque un peu de maîtrise ; je ne sais pas si c'est le scénario, ou l'interprétation des Whittaker, ou les deux. Ça fait bizarre d'avoir un Docteur qui n'est pas toujours débordant d'énergie et dix fois supérieur à n'importe quelle situation. En soi, c'est un développement intéressant, mais c'est sans doute arrivé trop brusquement par rapport aux Docteurs précédents, qui étaient tous dans l'intensité (y compris le War Doctor, qui était défaitiste, mélancolique et dépressif... mais de façon intense
)
Comme ça faisait beaucoup trop longtemps que je n'avais plus regardé Doctor Who, cet épisode marque tout de même des retrouvailles réconfortantes. J'ai hâte de regarder la suite (et d'enchaîner avec les bandes-annonces pleines de divulgâchis que j'essaie d'éviter depuis des mois !).
Hier soir, c'était donc La Révolution des Daleks. L'intrigue est très classique, avec une certaine ironie vis-à-vis des fantasmes sécuritaires britanniques, mais sans le grain de folie ou le côté mordant qui permettrait à l'épisode de se distinguer des précédents qui ont déjà abordé le même thème. Notons tout de même des Daleks toujours aussi affreux et réjouissants et quelques scènes "frisson" très pulp et "doctor-esques" — on reconnaît tout de même mieux l'esprit de la série que dans certains autres scénarios précédents de Chibnall.
Bizarrement, ce sont les relations entre les personnages qui m'ont le plus intéressé : l'apparition de Jack Harkness, ses échanges avec la "famille" du Docteur, les destins des différents personnages qui la composent et qui, sans être mes Compagnons préférés, sont tout de même sympathiques.
Le Docteur apparaît une nouvelle fois en retrait dans cet épisode, cette fois avec de meilleures raisons puisqu'elle sort d'épreuves particulièrement difficiles. Mais ça manque un peu de maîtrise ; je ne sais pas si c'est le scénario, ou l'interprétation des Whittaker, ou les deux. Ça fait bizarre d'avoir un Docteur qui n'est pas toujours débordant d'énergie et dix fois supérieur à n'importe quelle situation. En soi, c'est un développement intéressant, mais c'est sans doute arrivé trop brusquement par rapport aux Docteurs précédents, qui étaient tous dans l'intensité (y compris le War Doctor, qui était défaitiste, mélancolique et dépressif... mais de façon intense

Comme ça faisait beaucoup trop longtemps que je n'avais plus regardé Doctor Who, cet épisode marque tout de même des retrouvailles réconfortantes. J'ai hâte de regarder la suite (et d'enchaîner avec les bandes-annonces pleines de divulgâchis que j'essaie d'éviter depuis des mois !).