Druss a écrit :La fast-trad avec laquelle j'ai regardé l'épisode utilisait une solution assez élégante : "Personne au-dehors". Il y a sûrement moyen de faire mieux pour une traduction pro, mais c'est une piste intéressante.
Par curiosité, pourquoi s'infliger une fast-trad alors que les sous-titres officiels (pour OCS) sont dispo dès le lundi matin ? Je viens de jeter un œil sur ce qu'ils proposaient (je regarde avec les sous-titres anglais) et c'est donc "Qu'ils n'aillent pas au-dehors ! Pas au dehors".Sinon, le budget par épisode est en augmentation à chaque saison, donc j'ai du mal à croire que les morts sont là pour des raisons budgétaires. C'est surtout un bon élagage des personnages secondaires pour avoir une fin de série très resserrée sur les personnages principaux. Vu le rythme de cette saison, ça me semble la bonne solution. On aura les bouquins pour une histoire plus étendue qui s'attarde sur les détails.Sinon, ça doit sûrement être mon épisode préféré de la saison pour le moment, et pas seulement pour la fin. Je l'ai trouvé bien structuré, il arrive à prendre son temps à chaque scène, sans sauter de manière épileptique d'un personnage à l'autre.
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J'ai bien aimé le Kingsmoot, même si l'écriture en elle-même est pas exceptionnelle. C'est pas renversant, surtout que l'assemblée est pas énorme, mais j'adore la photographie de la scène et les implications du départ de Yara/Théon sont intéressantes.
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Et puis les sacrifices de personnages innocents et simples d'esprit, ça a toujours marché sur moi.
SPOILER MALAZEENS SUR REAPER'S GALE► Afficher le texte
Beak fait saigner mon cœur rien qu'à voir son nom.
[/Fin du spoiler sans rapport avec l'épisode.]
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Alors forcément ce jeune garçon qui se roule par terre sans comprendre sa douleur et ce grand gaillard affolé face à une armée zombie qui fait tout pour sauver Bran, ça m'a mis KO comme il faut. J'ai bien chialé avant d'aller me coucher.
Content que la série puisse toujours asséner des coups comme ça même à sa sixième saison (ma dernière grosse claque étant Hardhome, c'était pas si lointain). Regarder cette saison d'une traite doit être sacrément difficile émotionnellement parlant.

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Concernant le côté voyage dans le temps, l'impact reste quand même très léger. Vu qu'on est dans le paradoxe de l'écrivain, ça n'implique pas de modification du présent, juste une forme de retcon ou d'explication d'évènements du passé à partir d'évènements du présent. D'ailleurs, pas sûr que Bran en fasse beaucoup plus que ça. On avait vu dans la scène de la Tour de la Joie qu'il pouvait se faire entendre, mais c'était peut-être juste une mise en place pour expliquer la scène de Hodor. Pas forcément plus.