1682
Cette série exercera toujours pour moi une attraction morbide ^^Je me suis arreté au Chainfire mais je poursuivrais surement, comme toi, un jour mon chemin masochiste.Bien que je trouve que d'un point de vue analytique cet auteur devient intéressant en incarnant le bas de l'echelle. (ce cinquième tome, même des années après, juste l'évoquer me donne envie de faire un autodafé).

1687
Si on lit la réponse de Terry Goodkind, on voit qu'il est surtout déçu du fait que la couverture ne ressemble en rien à son histoire/ses personnages, mais s'en prendre à l'illustrateur de la sorte alors que ce n'est pas sa faute, c'est vraiment dégueulasse et irrespectueux.

1688
Gillossen a écrit :https://twitter.com/deharme/status/967636173626757120Alors oui, oui, il faut séparer l'homme de l'oeuvre, tout ça tout ça, mais si vous pensiez encore que Terry Goodkind était quelqu'un de mature, de professionnel et/ou proche des "valeurs de l'âme humaine" qu'il défend soi-disant, voilà, voilà. Je n'ai jamais vu un auteur se comporter ainsi. C'est fou.
Quand je vois qu'il n'y a eu aucun échange entre l'auteur et l'illustrateur auparavant, je dis que soit :- Terry Goodkind est de mauvaise foi- Terry Goodkind manque de professionnalisme et ne veut pas communiquer quand c'est le moment de le faire.Parce qu'étant éditeur j'essaie d'avoir le maximum de dialogue entre auteur et illustrateur. Je trouve ça totalement normal.

1689
Wouach.C'est tout à fait son droit de ne pas aimer la couverture.Mais dénigrer l'illustrateur et jeter en pâture son travail de cette manière, c'est violent, irrespectueux et mesquin.Je n'avais jamais eu l'intention de lire Goodkind avant. Bah, là, il vient de s'assurer que ça ne sera absolument pas le cas, jamais, et pour toujours. :P

1690
C'est la première fois que je vois un auteur se comporter de manière aussi ridicule. Comme Gillo, j'essaye de voir l'oeuvre en dehors de Goodkind mais c'est de plus en plus difficile.

1691
Bon déjà à la base cette attitude est minable mais venant de Goodkind... l'histoire de la poutre et de l'oeil il connait ? Qu'il aille apprendre à faire des livres intéressants avant de la ramener. Une des plus escroquerie de l'imaginaire.

1695
Je crois qu'on a la catchphrase qui ornera les futures publications de Terry :"When I finally find a bit of time to disconnect from work and read, I have better things to read than Terry Goodkind.”Period.

1697
Guigz a écrit :Je crois qu'on a la catchphrase qui ornera les futures publications de Terry :"When I finally find a bit of time to disconnect from work and read, I have better things to read than Terry Goodkind.”
Naaan, mais là je crois que le prochain slogan sur bandeau rouge sera "a touché le fond mais creuse encore." :sifflote:

1699
J'ai du mal à voir quelque chose de sexiste dans cette couverture - les attributs féminins de la demoiselle ne sont pas mis en avant, elle a une attitude forte et dominante, où est le problème à part peut-être, pour vraiment chipoter quelque part (et encore c'est vraiment pour chercher la petite bête), les minuscules talons des bottes (qui ne font pas des kilomètres de haut, n'en déplaise à Goodkind) ?J'ai déjà trouvé particulièrement nauséabonde sa façon de se moquer de la couverture - il peut ne pas aimer, mais dans ce cas, qu'il règle ça avec son éditeur au lieu d'étaler son mépris sur la place publique.Je n'ai jamais ouvert un seul de ses livres, et ce genre de nouvelles ne m'en donne pas particulièrement l'envie.
Memento mori

1700
Oui, à part les talons même si dans le genre ça reste soft (ils ne sont pas tellement plus hauts que sur des bottes de cowboys), je ne vois pas ce qu'il y a de sexiste dans la couverture, on est quand même pas dans le cliché du personnage féminin en string de cotte de maille dans la toundra.Et effectivement, même si la couverture avait été hideuse, du genre de celles que l'on poste dans le sujet des "couvertures si particulières", il aurait dû régler ça en interne au lieu d'appeler ses lecteurs à s'en moquer avec lui, et ses excuses ne tiennent pas la route. Et accuser la représentation du personnage d'être sexiste quand on voit comment ses personnages féminins sont traitées, entre les viols, les tentatives de viols ou même quand il veut écrire une scène épique avec son héroïne, la faire chevaucher complètement à poil, c'est cocasse.