Posté : ven. 13 févr. 2009 21:22
Oui, c'était bien amené dans le premier opus, désormais, c'est l'extérieur du Monde Connu qui va concentrer l'attention, de manière certainement plus apparente.
Mode HS ON : Ça dépend lequel quand même. Un bon brie de Melun bien fait, et je pense que certains de tes shakras risquent de se refermer !Gillossen a écrit :Le brie, le brie... C'est tout de même un peu fade !
C'est amusant de le sentir aussi enthousiaste. Espérons qu'il ne soit pas déçu par l'accueil des frenchies.Yes, I just got my plane ticket for the Imaginales conference in Epinal, France. I know I mentioned that I was going a few weeks back, but now I know I'm going. If only I knew who was really going to be there with me...But I guess they'll update the website soon, and, hey, what's it matter? I'm going to France! As an author!This blue guy is gonna be there too, apparently.
J'ai fini La Guerre du Mein il n'y a pas longtemps et je suis tout à fait d'accord avec Altan. J'ai beaucoup aimé suivre le destin de Meena ou de Dariel. J'aurai apprécié d'en savoir plus sur le Lothan Aklun, mais je suppose que ce sera pour la suite. C'est intéressant de voir la lutte qui est menée entre les idéaux d'un homme et ce qu'il peut réellement faire quand il est au pouvoir (mains liées par les traditions et les intérêts commerciaux). L'originalité d'Acacia par rapport aux trafics d'esclave et de drogue est une autre des raisons qui m'ont poussé à lire ce livre.Un bon cru. J'ai un seul petit bémol à relever : il y a des coquilles au niveau du texte français (fautes d'orthographe, 3 "t" dans un mot...).Altan a écrit :Le roman tient bien la longueur, avec des passages qui tiennent vraiment en haleine. Au fond, il n’y a pas tant que ça d’« empreintes fantasy » dans le sens magique, mais le monde dépeint est profondément fantasy, peut être même un peu trop bien construit. Je sais, c’est ambigu, mais j’ai du mal à exprimer la sensation que j’ai ressenti en le lisant. La première partie n’est pas une étape facile à réaliser, mais Durham réussi vraiment bien : comment résister à ces quatre enfants et au destin d’un père qui n’a jamais vraiment voulu de sa position?