Ça se lit vite. J’ai déjà fini. Je peux être rapide quand je veux. ;)Comme beaucoup, je ne suis pas fanatique du format "nouvelle", mais comme il a été dit, il y a un fil rouge et une unité de lieu, donc ça passe plutôt bien.Ce qui me faisait peur davantage, c’était l’étiquette " Steampunk " et tout le côté lourdingue que moi, personnellement, j’y associe. Et là, bonne surprise, rien de trop appuyé concernant une débauche de cuivre et de tuyaux
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(à part la description de l’Asmodée),
mais je dois avouer que cette allusion
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à la coupe de l’America revue par Zemeckis
m’a bien amusé et fait rentrer dans l’univers, en dépit
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du sort tragique de son principal protagoniste.
Il y a encore d’autres clins d’œil qui relient ce monde au nôtre ou à notre imaginaire. Parfois si vite posés qu’on s’en rend à peine compte. Bref, ou l’on oublie le lieu de l’intrigue, ou l’on finit par s’y sentir chez soi. :)Il y a un petit côté "science-fiction" qui parvient à créer les points de mystère, notamment ceux qui se rapportent à la temporalité. Par contre, les automates et leurs aspirations à devenir plus humains, c’est un thème que l’on rencontre assez souvent (Westworld récemment) et ça ne m’a pas marqué plus que cela. S’il y avait un personnage que je devais retenir, ce serait sans conteste le duc Nikolaï. C’est l’image même du despote mégalo auquel rien n’échappe. Le parallèle avec Caligula est d’ailleurs bien trouvé.Comme d’autres lecteurs, j’ai constaté une amélioration de l’écriture depuis " Le Village ". Plus de trous d’air comme si, en fait, ce format convenait mieux à l’auteur.Bien sûr, j’attends son prochain roman, mais en ce qui concerne Celestopol, puisqu’un retour y a été envisagé, je suggérerais de ne rien changer à la formule. Franchement, je ne vois pas comment une grande intrigue pourrait s’y développer à l’insu de ce duc si perspicace et, puisque
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nous connaissons maintenant le sort final de cette cité…