Bonsoir.Je retiens plusieurs trucs. 1/ Cela sert de fulminer gentiment. Viendez les gens. Mais uniquement pour dire du bien de Mc Killip

S'agit de donner envie aux éditeurs de publier tout Mc Killip. Ouais, parce qu'il n'y a pas qu'Erikson d'abord. 2/ Lisbei je t'aime.3/ Lisbei confirme ce que je ne pouvais que subodorer. Chez Mc Killip tout est bon. Je n'ai lu (
Cygne commandé) que
Les fantômes d'Ombria mais quelque chose me dit que Mc Killip ça ne peut pas être cochon. --> Réflexion nulle. En substance, elle est de ces auteurs si envoûtants que le lecteur ne peut que souhaiter retrouver son univers. Au point de la relire. Lisbei dixit :
je l'ai beaucoup relu
4/ J'ai tort d'être une grosse feignasse côté lecture en anglais. Je le sais bien. Lisbei n'est pas une feignasse, elle :
j'ai tout aimé, tant et si bien que je me suis décidée à lire en VO. Ce n'est pas l'auteur le plus facile à lire en anglais que je connaisse, mais ça vaut largement l'effort.
5/ Lisbei à propos d'éventuelles préquelles ou suites dans l'univers d'Ombria :
je n'aimerais pas du tout lire autre chose dans le même univers. Pour moi une bonne part de son charme vient de son mystère
D'accord avec toi, Lisbei, puisque je fais partie de ces lecteurs qui aiment que l'œuvre résiste, que l'auteur ne dise pas tout. D'accord aussi à cause de ce que sont parfois les suites ou préquelles : un produit commercial destiné aux fans qui mordraient si ils n'avaient leur dose, œuvre à la qualité très relative - entendre : qui ne vaut que pour les réf. à l'œuvre première. Exemple, oui, je balance :
Le prince bâtard : prélude à L'assassin royal que je suis en train de lire. 1ere partie achevée. Bof. La fan que je suis se traite d'andouille.Je me suis mal exprimée. Je n'ai laissé parler que l'affect : je deviens nostalgique à partir de la 50eme page avant la fin. Genre : non, pas déjà, je veux pas. Lorsque j'évoquais la possibilité de suites ou préquelles, j'aurais dû en profiter pour souligner le fait que l'univers est si riche que l'œuvre ne l'épuise pas. De mon point de vue, il n'y a pas d'insuffisances que viendrait pallier -façon repentir- une suite ou préquelle.