En général, en premier lieu, vous regardez/lisez...

L'oeuvre dans son format d'origine, puis son adaptation
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D'abord le film, puis le livre
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D'abord le livre, puis le film
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Les adaptations ne m'intéressent pas / me déçoivent
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Cela dépend des oeuvres
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Je suis d'accord avec l'article , il y a une "mode" du conte de fée, comme il y a en a eut une sur la fantasy jeunesse (Harry Potter puis les Eragon, Spiderwick, Narnia and Cie) les vampires (le prédécesseur "Buffy" puis Underworld, True Blood, Twilght, Vampire Diaries...), les légendes arthuriennes (d'abord Kaamelott, puis Merlin, Camelot)...Avec une tendance, semble t-il, tout va plus vite !!! Il suffit non plus de quelques années, mais de quelques mois pour que des projets similaires se montent...

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Je reprends ce passage d'une brève de Merwin sur les audiences de Grimm :
Bref, comme on l’a vu également avec Once Upon a Time, la mode des contes de fées semble bien prendre auprès du public. Deadline s’amuse d’ailleurs à signaler que c’était un genre très populaire aux États-Unis durant la Grande Dépression. Déduisez-en ce que vous voulez…

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Sur le conseil avisé de Gwendal, je viens donc reposer ici une question que j'ai lancée sur un des (multiples) forums dédiés au Trône de Fer et à son succès, lequel dépasse de beaucoup les frontières de son lectorat habituel, aussi vaste soit-il, grâce à la série diffusée par HBO . Et c'est bien l'objet de mon questionnement.La question englobe évidemment d'autres succès cinématographiques tirés d'oeuvres littéraires (Le Seigneur des Anneaux, Harry Potter, A la croisée des mondes, etc.) en rapport avec le genre qui nous intéresse.Actuellement, l'adaptation cinématographique d'une oeuvre littéraire dite de "fantasy" la légitimerait-elle en tant que telle, en cas de succès commercial sur les écrans ?C'est juste une question que je me pose.

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Je serais tenté de répondre oui et non (pourtant je ne suis pas normand :D). Forcément, avec les moyens de communications actuels, une adaptation réussie fait que l'oeuvre adaptée est reconnue comme un pilier du genre, même (voir surtout) par ceux qui ne l'ont pas lue :p L'adaptation de qualité, entraine ceux qui l'ont appréciée vers la lecture de l'oeuvre originale comme ça a été le cas pour GoT, pour le Sda en son temps et dans une moindre mesure (on peux discuter de la qualité de ces adaptations) pour Harry Potter et Narnia. D'où une augmentation des ventes de ces livres, une plus grande visibilité auprès du grand public (articles dans des journaux mainstream sur le phénomène par exemple). Tout cela crée une légitimité de fait. Mais bon on parle là de livres déjà très connus qui n'avaient pas forcément besoin du ciné ou de la télé pour être légitimes. Et en terme de communication on a mis le livre en avant quand on parlait de ces adaptations. Pour Stardust, Coraline, Les chroniques de SpiderwicK (des films plutôt sympathiques mais pas vraiment des succès) je n'ai pas souvenir que les livres aient été souvent cité dans la promo.Après encore faut il que l'oeuvre originale soit aussi de qualité ! Sinon les mêmes moyens de communications ont vite fait de faire passer l'info sur la nullité de la chose et le soufflé retombe aussi vite qu'il est monté. Ceci étant je n'ai pas le souvenir d'une adaptation de qualité, et ayant eu un succès commercial, basée sur un livre médiocre. Des adaptations ratées ou non commercialement rentables, qui n'ont donc pas drainées le grand public vers les livres pourtant eux de qualités, ça oui (A la croisée des mondes par exemple). Il existe aussi des adaptations nulles de livres moyens, genre Eragon ou L'épée de vérité (je signale à toutes fins utiles que j'ai lu et pas détesté les premiers tomes de ces deux séries, c'est après que cela c'est gâté :p) qui je pense n'ont pas changé grand chose dans leurs légitimités, ni dans leurs chiffres de vente. Comme quoi mon oui et non du début n'était pas si bête :D (enfin si j'ai été suffisamment clair, il se fait tard)
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk

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Je pense également comme Gwendal avec un petit bémol tout de même ! C'est que Gwendal pense que oui et non, alors que moi je serais tentée de penser un oui ferme et oui malgré tout, même et surtout si l’œuvre littéraire est médiocre. Pourquoi ?Parce que tout bonnement la réponse est dans ta question Ethan : Actuellement, l'adaptation cinématographique d'une œuvre littéraire dite de "fantasy" la légitimerait-elle en tant que telle, en cas de succès commercial sur les écrans ? Les adaptations cinématographiques ne sont certes pas, "le remède miracle" des œuvres littéraires, mais elles y contribuent fortement selon moi. Que l'on se plonge ou non par la suite dans l’œuvre est une autre histoire, car certains voir beaucoup ne vont pas jusque là et se contente du film, mais pour les autres, le film en tête, il est plus difficile d'être totalement "objectif" lors des lectures même si l'adaptation a, au moins eu le mérite, de diriger de nouveaux lecteurs sur l’œuvre. C'est donc dans ce contexte que je pense effectivement que : l'adaptation cinématographique d'une œuvre littéraire dite de "fantasy" la légitimerait en tant que telle, en cas de succès commercial sur les écrans. Et moi j'ai une petite question pour toi : Tu posais cette question parce que tu pensais que des œuvres littéraires ne méritent pas le succès commercial qu'elles ont eu en adaptation ou estimerais-tu tout simplement qu'un succès cinématographique légitimerait l’œuvre littéraire du cycle Acacia ? ;)

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Personnellement, je ne suis pas du tout d'accord, l'adaptation d'une œuvre même si c'est un succès ne légitime pas l’œuvre de base si c'est une daube.Je pense à Eragon par exemple, l'adaptation s'est pas trop mal vendu dans les salles, on en entendait parler partout, les journaux nous bassinaient avec son auteur en nous parlant de nouveau Tolkien, qui ici à changé d'avis sur Eragon après avoir vu le film ?Je pense que les journaux n'y connaissent pas grand chose d'ailleurs l'article dont le débat est partis le prouve bien, dés qu'une adaptation Fantasy marche un tant soit peu au cinéma ou à la télé, on parle de chef d’œuvre de la Fantasy, de nouveau Tolkien etcUn exemple contraire, tout ceux qui ont déjà jeté un œil sur l'adaptation de l'Epée de Vérité (et qui ne sont pas devenus aveugle par la suite) reconnaissent que c'est une daube, la série n'a pas marché mais ça n'empêche pas les livres de se vendre par palettes dans le monde et d'avoir de nombreux fans même sur ce forum.Pour moi un grand livre est un grand livre quoi qu'il arrive, on a vu des adaptations de grands livre loupés, ça n'a pas rabaissé la légitimité de l'auteur et de son livre pour autant, on à vu des adaptations de daubes êtres des succès, ça ne fait pas des livres des chefs d’œuvre... La seule légitimité que les auteurs trouvent c'est celle des journaux, les lecteurs eux (surtout ceux qui s'informent autre part que dans les JT ou les journaux nationaux, donc les Elbakiniens :D) savent à quoi s'en tenir.Si Tolkien est une référence depuis plus de 50 ans ce n'est pas grâce à l'adaptation de Peter Jackson aussi bonne soit elle et si le Trône de Fer est devenu une référence dans la Fantasy moderne, ça l'était déjà bien avant l'adaptation HBO celle ci à eu le mérite d'en faire parler en dehors des sites et journaux consacrés aux genres (et encore Martiin était quand même déjà bien reconnu en dehors) et d'attirer de nouveaux lecteurs.

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On est d'accord Rckep si on parle de légitimité dans le microcosme de la fantasy :) , ou celui des littératures de genre pour faire plus large. Le grand public c'est différent, pour beaucoup de personne c'est via les adaptations qu'elles ont connu ces oeuvres. Je suis persuadé que si tu fais un sondage en demandant quelles sont les oeuvres majeures en fantasy, tu trouveras le nom des grosses adaptations ciné ou télé en tête. Quand j'ai parlé du site à mon boulot et de la promotion de la fantasy, on m'a regardé avec de grands yeux ébahis (c'est quoi ça :huh:), j'ai cité le Sda pour aller au plus simple et j'ai vu une lueur de compréhension apparaître : Haaa oui j'ai vu les films !!! (je signale que c'était avec des instit de maternelle).Plus j'y réfléchi, plus je pense qu'en fait très souvent l'adaptation prend son indépendance assez rapidement et se libère du bouquin pour vivre sa propre vie. Pour ma fille HP c'est Daniel Radcliffe point, elle sait qu'il existe des livres (parce que je les ai à la maison) mais ça reste des films pour elle. Qui dans le grand public sait que Blade Runner (oui je sais c'est de la SF mais ça permet d'illustrer mon propos avec ce que j'ai en tête ce matin :D) est à la base un roman de Philip K Dick ? Ou que Je suis une légende est un bouquin de Matheson ? L'histoire sans fin c'est de qui ? Conan c'est un personnage de la littérature ?? :o malheureusement c'est plus souvent Schwarzy dans les têtes !Les livres qui ont bénéficié d'un retour du succès commercial de leur adaptation, c'est en général des livres très reconnus déjà, avec une base de fan importante, qui ont suivi l'affaire depuis le début, ont lancé des polémiques sur la taille des Dire wolf, l'absence ou le rajout d'une scène, qui en gros ont entretenu la pub et le lien avec le livre. Si tu n'as pas cette base là, on cite à peine l'auteur du bouquin sur l'affiche :D Je voudrais vraiment voir une adaptation télé de la roue du temps (de qualité) pour vérifier si le phénomène GoT se répète.
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Dynam a écrit :Et moi j'ai une petite question pour toi : Tu posais cette question parce que tu pensais que des œuvres littéraires ne méritent pas le succès commercial qu'elles ont eu en adaptation ou estimerais-tu tout simplement qu'un succès cinématographique légitimerait l’œuvre littéraire du cycle Acacia ? ;)
J'ai posé ma question parce qu'elle m'est venue à l'esprit et que, ben, je me suis dit : "Pourquoi pas la poser à tout le monde ici ?". Le fait est que l'avis des autres m'intéresse, et j'imagine que c'est ce qui m'a motivé. ;)Pour ce qui serait un succès supposé "indu" en filigrane de l'adaptation cinématographique d'une oeuvre littéraire, je ne vois pas pourquoi ni en quoi je pourrais me poser en arbitre des élégances. L'écrit et le filmé sont deux domaines différents. Le succès de l'un comme de l'autre est hautement subjectif, soumis parfois à l'air du temps, troisième paramètre hautement volatile (pour ne pas dire "la mode"). Du coup, je me suis dit que j'allais poser la question.Pour ce qui est de l'exemple que tu prends, non, je "n'estime pas tout simplement qu'un succès cinématographique légitimerait l'oeuvre littéraire du cycle".Parce que :Je n'ai pas à estimer dans le contexte que tu développes(voir plus haut) ; Je ne crois pas que tout soit "tout simple" (voir plus haut, encore) ;Je ne pense pas non plus qu'un "succès cinématographique puisse légitimer une oeuvre littéraire". Pour moi, une oeuvre littéraire est, point. Elle n'a pas à chercher une légitimité. Mais comme je n'ai pas la science infuse, j'ai posé la question pour avoir l'opinion d'autrui.Quant à Acacia, et pour répondre très franchement à ta question, j'ai personnellement l'impression que la trilogie tient debout toute seule. Il suffit de la lire pour se faire une idée.En VO, de préférence. ;)

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@ Ethan Iktho
Je ne pense pas non plus qu'un "succès cinématographique puisse légitimer une œuvre littéraire".
Je plussoie, mais en la démocratisant le succès lui offre une reconnaissance plus grande de la part du public.Sinon de manière générale et peut-être simpliste :- difficile quand même de réaliser une mauvaise adaptation à partir d'une bonne œuvre littéraire (SdA)(Conan 3D s'inspire du comic marvel et de film de 1981, pas de l’œuvre d'origine)- difficile quand même de réaliser une bonne adaptation à partir d'un œuvre littéraire médiocre (ex: Epée de Vérité, Eragon)

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Merci Gwendal !Tu m'as rappelé que je devais rajouter le premier tome de the hunger games à ma liste de livre à acheter... pour le lire avant qu'il ne sorte au ciné !

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La lecture de récentes brèves sur la série du trône de fer, une tentative de revisionnage de Bilbo (trop fatigué, je continuerai plus tard) me fait ressortir ce sujet.Certains ont déjà dit ici -et ailleurs- qu'une adaptation ne pouvait se contenter d'être une "mise en image", et donc le scénariste/réalisateur "doit" mettre sa marque, parce que le media "le veut/nécessite".Sans reparler d'adaptations "librement arrangées" qui ont fait de -très- bons films, je pose la question de l'intérêt d'avoir un titre original sous différents supports.*le livre*le film*la comédie musicale*la bande-dessinée*la série téléEt soyons audacieux, les films, les séries télé, les bandes dessinées...Chacun finit par donner sa propre version de l'histoire d'origine et le spectateur/lecteur fait son propre classement de ce qui reste en mémoire.Enfin, ça c'est le scenario quand le spectateur lecteur connaît aussi bien l'original que les dérivés.Mais dans le cas où la force marketing d'une adaptation s'impose, y compris pour les oeuvres célèbres et connues depuis longtemps, force est de constater que l'adaptation ciné/télé prend beaucoup de place, au point que pour beaucoup, c'est la seule version qui vaille.A contrario, une adaptation d'une oeuvre jamais éditée est une chance de promouvoir une histoire sans contestation.Mais quand je vois des adaptations de livres en cours d'écriture, avec des orientations qui tendent à diverger, voire à s'imposer à l'auteur, le parasitage mémoriel, je ne peux m'empêcher de me dire qu'il y a l'adaptation qui tue l'adaptation.Peter Pan, vu à toutes les sauces, les grands classiques (Hugo, Dumas) n'en parlons pas, Conan déjà "adapté" en livres avant de passer à la moulinette du cinema.Je suis conscient que des media différents ont des façons différentes de transmettre une histoire, et des buts différents (un film, ça coûte cher, faut être bankable).Mais à l'argument "mise en image, ça sert à rien", je dis que c'est comme une BD : ça sert pour tous ceux qui se fatiguent vite des descriptions et qui ont du mal à imaginer (dessiner une échauguette sera plus parlant que le mot, parfois ; dessiner une poterne sera plus précis que le mot, souvent).Et je crois que les super créateurs sont beaucoup plus libres dans des histoires originales (ou alors on admet dès le début "très librement inspiré de"), que prendre une histoire déjà célèbre, c'est pour rameuter financiers et spectateurs a priori.Franchement, quel challenge pour un créateur que de faire une histoire que tout le monde connaît ? Faire mieux que l'original ? Changer ce qu'il faut de l'histoire pour surprendre ? Faire mieux que les 5 précédentes versions ?Si je lis un livre avant le film, je m'attends à savoir ce qui est censé se passer, no spoiler, parce que si c'est différent, c'était la peine de donner le même titre ?Ceci est donc indépendant de savoir si un bon film est une bonne adaptation, parce que l'adaptation n'est à la portée que de celui/celle qui connaît l'original.

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Et je me réponds en ajoutant qu'un très bon livre adapté en script respectant les personnages, leurs personnalités, leurs descriptions, les enjeux de l'histoire, avec un bon réalisateur, il y a moyen de faire quelque chose de très bien.Et si un réalisateur est incapable de suivre le script, c'est comme un musicien qui ne sait pas lire sa partition : d'ailleurs l'image me plaît et parlera aux musiciens.A partir d'une musique écrite, à un certain niveau de performance, le musicien exécutant parvient à insuffler son talent pour le rendre perceptible, et deux grands musiciens jouant le même concerto, on peut reconnaître la version de chacun, et c'est toujours du Mozart, pas une réécriture (dans ce cas, on change le titre et on marque "inspirations de").Pour un autre registre, voyez le dernier album de Jenifer qui fait du France Gall, musique et parole n'ont pas bougé.

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Le soucis dans ta comparaison, c'est qu'une histoire écrite, ses personnages, ses péripéties peuvent être perçues très différemment selon les personnes. Le dernier exemple que j'ai en tête c'est pour Martyrs d'Oliver Peru où il y a une grande différence de perception entre les lecteurs du site (donc des habitués de la fantasy à priori). Au final si tu donnes le livre à adapter à deux scénaristes tu n'aura peut être pas le même rendu au final (bon certes pas au point de faire le grand écart comme avec Gimli par exemple). Alors qu'une note sur une partition restera toujours une note et les paroles itou.Mais je suis d'accord pour dire que pour certaines "adaptations" (enfin dites comme telles) ils auraient pu s'abstenir de faire référence à l'oeuvre originale tant il y a peu de rapport entre les deux.
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Si la musique n'est pas parlante, je repense à u extrait du schpountz avec Fernandel (un vieux film en noir et blanc, ne règlez pas votre poste à transistors) qui montrait, pour un quasi casting, comment "jouer" sur le texte d'un article du code pénal ; ou, plus proche de nous, l'acteur qui interprète Joffrey Baratheon (l'excellent Jack Gleeson) à la fin d'une interview sur son rôle de vilain.Regardez vers 2'40un talent d'acteurMême texte, comme pour un musicien, et ça n'a pas le même rendu (du tout). Et si l'acteur est bon, il faut aussi que la direction des acteurs soit bonne, surtout pour des personnages dont on ne sait pas toujours ce qu'on en pense.

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Je comprends bien ton propos Foradan, mais dans les mauvaises (ou moyennes) adaptations le souci n'est pas le réalisateur/directeur d'acteur mais plus souvent le scénariste qui n'a pas pu/su/voulu s'appuyer sur l'écrit d'origine pour l'adapter à un média différent. Les changements de personnalité d'un personnage d'un livre à un film, ça vient du scénariste pas du réal ;)
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Si je peux lire le livre avant le film, je le fais sans hésiter. J'ai plus de chance d'apprécier le livre quand je le lis avant l'adaptation, mais je ne sais pas toujours que c'est tiré d'un livre. Donc, de nombreuses fois je vois le film avant !J'ai alors voté : D'abord les livres puis les films et Cela dépends des œuvres :)
« Le Seigneur Ogion est un grand mage. Il te fait beaucoup d’honneur en te formant. Mais demande-toi, mon enfant, si tout ce qu’il t’a enseigné ne se résume pas finalement à écouter ton cœur. » - Tehanu, Ursula K Le Guin