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Un message intéressant (en anglais) de l'auteur sur son blog en réponse à la question : si le moteur à explosion a décollé vers 1900, est-ce que cela veut dire que le steampunk ne peut pas dépasser cette date fatidique ?:arrow: http://gailcarriger.livejournal.com/188689.html
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Très intéressant son message effectivement.Oui Gillo, je fais partie des lecteu...trices (à barbe
). J'ai fini le livre il y a peu et si je n'avais pas posté ici c'est que globalement j'étais d'accord avec ta critique. Ce tome est pour moi en dessous du premier, l'effet de surprise en moins sans doute. J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans et mon intérêt c'est éveillé réellement vers la moitié du livre. Certes l'affection que j'ai pour Alexia reste intacte, l'univers de miss Carriger me plait toujours autant, mais certaines facilités dans le récit mon un peu gênées, des rebondissements peu surprenant pour certains, quelques personnages secondaires dispensables (placés là pour la caution "comique" semble t-il, en tout cas dans l'état actuel de l'histoire). Comme tu le dis, le final semble un peu artificiellement placé là, cette idée aurait pu venir dans le tome suivant. Une chose qui me gêne aux entournures, c'est le manque de cohérence, parfois, d'Alexia, qui accepte et fait siens les dictats de la bonne société malgré qu'elle en fasse les frais régulièrement et Ce que disait Fabien Lyraud dans le sujet sur la bit-lit s'applique ici pour le coup, un retour au pulp. Avec son personnage central atypique, un récit pleins de rebondissements, avec de l'exotisme et un cliffhanger pour couronner le tout :)En tout les cas je continuerai à suivre les péripéties de Miss Tarabotti avec grand plaisir car grâce à elle (et à Mercy Thompson), j'ai mon quota d'aventures comme je les aime.

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Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk
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A copier/coller peut-être en sujet steampunk pour plus de retours ?Luigi Brosse a écrit :Un message intéressant (en anglais) de l'auteur sur son blog en réponse à la question : si le moteur à explosion a décollé vers 1900, est-ce que cela veut dire que le steampunk ne peut pas dépasser cette date fatidique ?:arrow: http://gailcarriger.livejournal.com/188689.html

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Lu le 2ème tome dont j'attendais sans doute trop. Je l'ai déjà signalé : la 2ème couverture m'avait déçue.Après lecture, nom d'un Dodo *, elle me déçoit plus encore. La maison d'édition n'aurait-elle pas un problème avec ses orbites oculaires. Le plus gros souci venant, ça m'en a tout l'air
de l'adjectif.Car, enfin, voire menfin! il me semble que :1/ une certaine ombrelle a un rôle conséquent à jouer dans l'intrigue et, ce, en plusieurs occasions. Cette ombrelle ne protège pas que du soleil... Protectorat et protection. Je n'ai pas eu ma ra-tion d'ombrelle or Alexia est toute ombrelle. :blink:Je le dis parce que a) c'est vrai b) j'ai envie c) c'est rapport au suspense : celui du book et celui que j'instaure, pour une révélation
ultérieure, avec une maestria -à définir.2/ une ombre plane sur le royaume -que dis-je, l'Empire.
C'est là que je commence à tenter de vous embrumer avec une théorie fumante comme il m'en vient nuitamment : l'ombrelle est un sabre laser et Alexia un jedaï égaré dans une histoire comme seuls les sujets de Sa majesté savent et peuvent en produire : loufdingue. Ouf, Carriger n'est pas britannique... Sérieusement, on a eu chaud... Revenons à la bonne vieille thématique : l'ombre = l'ennemi.Or, donc, la seule chose qui plane à l'image , c'est le zeppelin et le brouillard que l'équipe artistique a en grande esteam. Normal, me direz-vous ; même plus, cohérent : après tout le titre le proclame : sans forme... Une ombre sans forme quoi. Faut suivre. :ko:Et comment qu'il fait il donc le malheureux photoshopeur pour "figurer" une ombre sans forme qui plane de surcroît. :tetemur:Il donne dans la métaphore artistique (doublement pléonastique) ou pas? Vouiiiiii. Steampunk, on lui a dit. Alors, il nimbe de fog.C'est fou comme c'est flou, bref on est dans les limbes ou zone du grand flou. Spiritu-mysticotruc, ça serait carrément bien joué le coup des limbes. Alors? Ben non. Parce que Photoshop, il a pas la fonction "limbe". PIs, d'abord en art, ils appellent ça l'estompe. Ok, Léonard seulement faudrait voir à trouver moyen de pas trop nous enfumer à coup de sfumato. 3/Parce que il n'y a pas de sfumato sans feu et en l'occurence sans ire. Rapport au fait qu'il faudrait pas prendre le chaland pour un enfant du bon Dieu voire un canard sauvage même si Alexia se pavane en bleu canard. Faut pas. <_<Zeppelin exit, lunettes d'aérostier exit, qu'est-ce qu'elle a de steampunk la couverture? Si au moins, les lunettes avaient dévoré le visage du modèle. Que l'humour inhérent à l'écriture trouve ici une traduction conforme à l'absence de coquetterie ou sens de l'élégance du personnage. Derniers détails relatifs aux accessoires, le chapeau haut de forme c'est la marque quasi identitaire d'un autre personne féminin et enfin le chapeau qui tutoie le ridicule c'est l'apanage d'un troisième personnage féminin : Ivy. La 1ère couv. c'était Alexia. La 2ème c'est un mannequin qui prend la pose. Un mannequin avec une frange. :(4/ Enfin, et revenons un chouïa en arrière histoire que la démonstration colle au sujet : "sans forme". :pToute ombre a une forme et vice-versa. C'est physique. Je savais bien que chez Orbit, ils avaient un problème oculaire... 5/ apparaissent de nouveaux personnages qui ont tout à voir avec la bit-litt.... et la notion d'ombre telle qu'on la trouvait notamment chez les grecs anciens et au hasard Homère et au hasard l'Odyssée -mais on oublie le zeppelin.Car, après tout, ici aussi, il est question de grands voyages et même du grand voyage. Car, ici comme là, le rôle des ombres est de révéler et de guider dans toute cette purée de poix d'intrigue.Bientôt 4 heures du mat. Owing quitte ton orbite, atterrit dans ton pageot**. Tu reviendras un jour ou sera-ce une nuit jacter de ce 2ème tome, de l'importance de l'ombrelle, de la valeur du suffixe (si, je vais oser), de la steampunkisation mon orbite oculaire, etc... *copyright Aléthia.
** Dans la vraie vie, Owing, Ketinketink, etc... C'est pas mon vrai nom. Petite crise -que le psy et moi espèrons passagère- de schizophrénie.




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Une interview sympa de l'auteure sur le site d'Orbit http://www.orbitbooks.fr/articles/inter ... er-0002201
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk
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Pas de nouveaux lecteurs avec le premier en poche ?:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/173 ... l-Carriger
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Je viens de terminer le premier tome, Soulless, et je fais partie de ceux qui vont en donner une critique positive !J'ai bien conscience que ce n'est pas le bouquin du siècle, mais je me suis beaucoup amusée avec cette lecture. Je suis une grande fan de ce style tout en tournures de phrases polies et en métaphores fleuries. J'aime l'idée que loups-garous, vampires et fantômes fassent partie de la société. J'aime les héroïnes fortes en gueule et à moitié italiennes. J'aime que, pour une fois, (overdose de Deborah Harkness...).J'ai bien conscience que le scénario en lui-même est un peu léger (c'est pas du Conan Doyle, hein), mais que voulez-vous, je suis facile à conquérir en matière de bouquins. Si ça me divertit, je dis banco. Et là, j'ai été plus que divertie. Je lirai la suite sans faute.
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Tu verras au niveau du scénario ça s'étoffe un peu par la suite et les personnages gagnent en profondeur. Le plaisir c'est renouvelé pour moi à chaque tome, j'espère qu'il en sera de même pour toi.Saffron a écrit :J'ai bien conscience que le scénario en lui-même est un peu léger (c'est pas du Conan Doyle, hein), mais que voulez-vous, je suis facile à conquérir en matière de bouquins. Si ça me divertit, je dis banco. Et là, j'ai été plus que divertie. Je lirai la suite sans faute.
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk
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J'ai vraiment beaucoup aimé la série aussi ! Entre deux livres de fantasy sérieuse (à la Martin...) j'aime bien lire des choses un peu légères de temps en temps.... Le Protectorat de l'Ombrelle me fait le même effet que lire de la Chick litt entre deux Goncours : le plaisir de lire quelque chose qui ne se prends pas au sérieux : du pur divertissement (attention, je préfère Martin à Houellebeck, c'était pour le plaisir de la comparaison !).Les chapeaux de Miss Hisselpenny, les ombrelles d'Alexia, les gillets de lord Macon.... un brin d'humour so english et de thé... le tout avec une intrigue sympathique et un bon cliffhanger entre deux romans... tout ce que j'aime !