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Gilthanas a écrit :
Witch a écrit :Breaking news : c'est un podcast où le Point Goodkind n'a pas été atteint ^_^
Tout se perd ma bonne dame... :(
T'inquiète on a quand même trouvé le moyen de lancer des réactions hautement épidermiques chez certains :P :daz:

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Bon, j'ai commencé l'écoute du podcast. En même temps, je surfe sur le site du Bélial. Je regarde la revue Bifrost, je clique sur la spéciale Asimov et je tombe là-dessus. Première réaction : encore des gens qui n'ont absolument rien pigé au numérique. Voir à côté de l'édition numérique le mot épuisé, mais rien que pour ça ils devraient disparaître. :dragon:Qu'ils disent, plus disponibles et expliquent que c'est à cause de l'histoire de droits numériques, ok. Encore que bon... Mais ils pourraient l'expliquer clairement. Parce que là, ça fait vraiment j'ai rien pigé au numérique. :rolleyes:C'est dommage parce que à côté de ça, ils essaient, ils testent (le cas où le lecteur fixe lui-même le prix). Et ce sont des passionnés. Après, faut bien voir que le Bélial, c'est plus SF que Fantasy.

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Podcast fini. Comme quoi, les jours fériés, ça sert vraiment à quelque chose :DToujours aussi intéressant. L'idée d'avoir des éditeurs est vraiment une excellente idée. Olivier Girard sait également bien parler. C'est différent comme disait Witch (comprendre différent de Stéphane Marsan, hein Witch ;)), mais le gars est un passionné et est également passionnant. Durant ma période uniquement SF, il est vrai que j'étais plus Galaxies que Bifrost (deux revues lancées la même année d'ailleurs. Ah 96...), un peu trop vachard à mon goût. Si ils abandonnent un peu ce côté dézingueurs du dimanche, ça pourrait devenir un peu plus sympa. Pour le numérique, ils ont beau avoir lancé le truc, je les sens à la traîne comparé à Bragelonne. On est là dans deux optiques très différentes. Déjà, le Bélial, leur fond de commerce, c'est la SF (et même plus particulièrement au début la hard-science)là où Bragelonne c'est la Fantasy. On sent que par la force des choses, aucun éditeur dans les littératures de l'imaginaire ne peut se spécialiser que dans un seul sous-genre. Cette dominante SF se retrouve lors du début de l'entretien où Olivier peine à entrer dans le sujet je trouve. Si j'avais su à l'avance quel éditeur c'était, j'aurais pu cibler quelques questions en particulier sur le plan numérique même si on sent que pour le coup Olivier n'est certainement pas la personne à interroger sur le sujet.Quoi qu'il en soit, vivement un nouveau podcast d'éditeur. :applau:

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Gillossen a écrit :Du coup, ton emportement est vachement crédible si tu n'as pas écouté le podcast en entier. ;)
Bah chais pas, j'ai pas l'impression qu'il en ait parlé. Bon après, j'ai dû rater 5-10 minutes du podcast entre le téléphone et madame qui me sollicitait. Mais enfin, même expliqué, mettre épuisé à côté de numérique, ça se pose là. ;)

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Juste vite fait comme ça et parce que moi pour le coup je m'y connais assez peu mais il n'est pas possible que ce soit un pb de droits ? Et hop je file au Salon Fantastique pour parler avec des gens IRL ;)

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Pas plus de réactions ? Ca sent le long week-end. ;)Les commentaires sur le site du Bélial sont plus rigolos.
1h12 d'écoute - on est des copains on s'amuse bienStop -Avec Shepard j'aurais essayé de vendre L'éternité et après aux auditeurs d'Elbakin - ça passe ou ça casse - mais leurs vendre Griaule (c'est fait ou ne sera jamais fait)Nicolas Fructus - grand illustrateur - j'ai pas vu les mêmes illustrationsJe crois qu'au Bélial' et (Bifrost) vous devriez sérieusement regardez de plus prés vos illustrations.Podcast vivement déconseillé.Mais continuer a vous amuser et a rigoler.
J'ai zappé le précédent message du même gars qui vous "accuse" d'être tous bourrés. :mrgreen:

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@Gilthanas : je comptais bien que tu le fasses ;)
Avec Shepard j'aurais essayé de vendre L'éternité et après aux auditeurs d'Elbakin - ça passe ou ça casse - mais leurs vendre Griaule (c'est fait ou ne sera jamais fait)
Voilà quelqu'un qui suit bien Elbakin.net : Griaule on a attendu ce podcast pour s'y intéresser bien-sûr :rolleyes:

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Viens d'écouter le podcast d'une oreille et 1/2 et les 1ers trucs qui me viennent à l'esprit sont :Pendant le podcast : oh, oh, il est bavard cet homme là. Oh, oh, il est pas seulement passionné cet homme là ; il est passionnant. Oh, oh, même Witch a dû mal à en placer une. Oh, oh, j'ai tout une culture à refaire et puis yèèsse des auteurs que je connais (des vieux), youpi quelqu'un qui connait "les cahiers de l'Herne". Sauf que chez moi, Lautréamont a pris toute la place ; alors, Lovecraft... Mais je peux comprendre.Et puis après le podcast, je me dis : ce type, il est authentique, il cultive l'authentique et aussitôt je pense aux fleurs de l'authentique, les plus belles en somme. Et ça donne quelque chose comme "Il veut planter de l'authentique. De l'authentique partout. Qu'est-ce que c'est? Ça doit être une plante qui pousse dans les livres. [...]".Merci pour ce podcast.

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Les podcasts avec les éditeurs sont toujours aussi passionnants, et Olivier Girard est le gars - vu de ma toute petite fenetre - qui a poussé Thierry Di Rollo à écrire de la fantasy et à écrire du space opera, bref à s'ouvrir à autre chose... Cette capacité à souffler à ses auteurs de nouvelles pistes d'écritures est à mes yeux ĺ'une des grandes qualités d'un vrai éditeur.

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Podcast 32 écouté.On ressent la bonne ambiance, c'est toujours un plaisir de vous écouter.Olivier Gérard a l'air très sympathique mais, à mon humble avis, il a manqué un petit quelque chose.Ce qui suit se veut une remarque constructive dans un but d'amélioration (toujours de mon point de vue).Je m'explique. Il y a de nombreux moments où il répond : "il y a beaucoup de truc, je ne peux pas en citer qu'un, il y a des tonnes de choses, j'aime tous les livres que je publie etc."Ouai, sauf que moi, à part Lucius Shepard, son Dragon Griaule, et Bifrost, je n'ai pas retenu les autres blockbusters fantasy du Bélial. Il en a peut-être cité, mais je ne m'en souviens plus.C'est d'autant plus dommage que le monsieur Olivier donne l'impression d'être une encyclopédie de SF et Fantasy.Il parle beaucoup de sa maison d'édition, sa création, son fonctionnement : donc de technique. Mais il oublie, toujours à mon humble avis, de se concentrer sur le principal : les livres qu'il publie. J'ai envie de comprendre, de vivre sa découverte d'une œuvre en particulier et donc de partager sa passion.Ok, il l'a fait pour L. Shepard, mais sur presque 2 heures de podcast, j'aurais préféré un peu plus de fantasy et un peu moins de technique.Orbit et Bragelonne avait réussi ce paris : parler de leur société et des livres. Pour le Bélial, il a réussi à me faire acheter le dernier Bifrost, c'est déjà pas mal :)Mais j'aurais voulu entendre sa passion des livres en particulier et non pas en général.Les journalistes podcasters ont essayé d'orienter la discussion avec des questions pertinentes, mais Olivier Gérard s'est laissé déborder par trop d'information ("je ne peux en choisir qu'un").Dans ce cas, relancez, titillez, chatouillez, poussez-le, travaillez-le, faites-lui avouer son opinion ... mais toujours dans la bonne humeur. (il suffit d'écouter Elkabbach sur Europe 1 pour comprendre ce qu'est la torture journalistique :P)Bref : plus d'interactions : coupez la parole, orientez et découvrez le scoop.Une fois que vous avez le scoop, redite-le pour qu'on comprenne que c'est un scoop, redite les titres, les dates de sortie etc.Le Podcast Elbakin est devenu au fil des numéros une excellente tribune.Quand un écrivain passe au 20h, il ne va pas dire : "je travaille sur mon roman qui sort dans 2 mois", il va en faire la promotion à fond.Ben là c'est pareil : la BD fantasy de Nicolas Fructus qui sort en 2014 : lâchez-vous, cherchez/donnez plus d'info (le dessin, le style, l'histoire, la genèse ... bref du bon gros scoop à développer)A ce propos, j'ai bien l'envie de l'entendre à votre micro ce Nicolas Fructus à l'occasion de la sortie du premier tome de sa série ... et pourquoi pas en duo avec Marc Simonetti. Ça serait marrant de les confronter s'ils s'entendent bien : un débat d'illustrateur.Comme il l'a dit, il n'est pas un bon commercial. J'ai envie de lui répondre. Ce n’est pas ce qui est important : ce qu'on veut c'est partager ta passion (ouais, je le tutoie et j'le connais pas). Parle-moi des livres que tu publies, pourquoi, comment, les couv' que tu choisis, ce que tu apprécies.Et le commercial, ben on s'en fout, vu que t'es un passionné, on va te suivre et on va les acheter tes bouquins.Je ne dis pas que c'est facile, être un bon orateur/journaliste/podcasteur n'est pas aisé, trouver le bon équilibre dans les temps de parole est ardu, mais par ce message, je me suis essayé à la critique constructive.A part cette analyse alambiquée, je me suis bien marré lors du podcast et les 2 heures sont passés trop vite :)[J'suis prêt pour le prochain]

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[J'suis prêt pour le prochain]
Tu ne vas pas être déçu :sifflote:Sinon, encore un bon podcast. C'est toujours intéressant de connaitre la genèse d'une maison d'édition qu'on apprécie, ses hauts et ses bas. C'est vrai que ça parle peu de Fantasy, mais ça permet de découvrir de nouveaux horizons justement, ce qui n'est jamais mauvais.En tout cas, je songe à un abonnement à Bifrost maintenant, c'est malin !

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@Eolan effectivement c'est constructif.Encore une fois je ne répondrais que pour moi (et j'espère que vous avez remarqué que pour les podcasts éditeurs nous nous partageons les questions à l'invité donc les autres seront peut-être amenés à répondre différemment :) ) mais ce que je déteste dans les interviews radios et télé en général c'est que finalement on n'entend pas vraiment la voix de celui qui est invité mais uniquement les questions et les interruptions du journaliste. Alors pour commencer je ne suis pas journaliste. Si 32 numéros commencent à nous donner une certaine aisance et je l'espère une meilleure fluidité, je ne me sens pas dans cette "orientation" professionnelle. Les questions en rafale ambiance interrogatoire, le journaliste plus important que l'invité, le passage sur le grill à la Bourdin ou à la Elkabbach très peu pour moi.Mais l'écrivain au 20 h ? C'est ça que vous avez envie d'entendre durant un podcast ? Un truc tourné vers la vente justement ? De l'interview mitraillette ? :blink:J'avais tendance à interrompre mes petits camarades dans les précédents podcasts, :rouge: j'essaie de faire un peu plus attention quand nous discutons sans invité. J'espère y parvenir et avoir ainsi mis en pratique de précédentes critiques constructives ;) mais là le ton journalistique, je crois pas que je vais savoir :/