21
Disons que j'ai même pas encore téléchargé les fichiers sources du podcast, donc de là à parler de montage voire de mise en ligne... :pC'est un peu la folie au boulot, donc je tablerais quand même plutôt sur quelque chose en août ou vraiment à la toute fin de juillet. Désolé pour l'attente.

30
Sahiqa a écrit :Pile au moment où j'arrive au bout des autres, c'est parfait !Merci :D
Pareil pour moi, ça tombe pile au bon moment ! J'ai hâte de l'écouter :D

31
Premier commentaire : Witch : Shadowrun, la partie fantasy n'est absolument pas du cyberpunk. Shadowrun mélange deux genres a la manière d'une compote poire.... tomate (beurk). Le cyberpunk d'un côté et la fantasy de l'autre.Le cyberpunk c'est la partie hyper-connecté opposant les hacker aux corporation (des groupes industrielles à la puissance financière tellement importante, qu'ils contrôlent + ou - le monde, avec ce que ça implique d'abus...) Le cyberpunk se veut très critique sur le monde capitaliste et l'avenir qui pourrait bien nous attendre...A part ça ce que je n'aime pas dans le steampunk est justement son premier critère de définition selon l'invité du podcast : L'esthétisme.... dont je me fous royalement.

33
Bon podcast comme d'habitude :)La définition des genres semblent être un problème récurrent, comme pour le podcast sur la fantasy urbaine. De manière générale, je pense que l'on peut distinguer des genres littéraires en fonction de la façon dont les oeuvres divisent le lectorat, plutôt que suivre la démarche inverse qui serait de rechercher des critères de démarcation en analysant le contenu des oeuvres sans se poser de questions sur le goût des lecteurs. Si on procède ainsi, on risque de ne pas pouvoir expliquer pourquoi un certain point commun est plus pertinent que n'importe quel autre point commun arbitraire comme "le héros porte des lunettes". En particulier, j'ai du mal à croire qu'en fantasy, le lieu physique de l'action, une ville par exemple, fasse une différence dans l'appréciation des lecteurs, et donc soit un critère de démarcation d'un genre (dans cet exemple: la fantasy urbaine), même si le contenu des oeuvres pourrait faire apparaître une distinction urbain/rural.Bref la question n'est pas : quels sont les points communs entre toutes les oeuvres de steam-punk ? mais: qu'est-ce que j'aime dans le steam-punk ?Autre exemple: si les lecteurs de steam-punk sont à 80% des lecteurs de fantasy et à 40% des lecteurs de SF, c'est probablement qu'il y a plus de points communs (pertinents) entre les oeuvres de steam-punk et les oeuvres de fantasy qu'entre celles de SF. Bien sûr je n'ai pas de statistiques, mais on peut s'en rendre compte sur les forums. Pour moi le steam-punk "classique" est l'expression d'une nostalgie du moment où la science était encore compréhensible. Cette époque où la science était belle, simple et toute puissante; avec de l'éther, des ordinateurs faits d'engrenages, des dirigeables etc... Le steam-punk s'est arrêté à la mécanique newtonienne. J'y vois un point commun avec la fantasy qui cultive aussi une certaine forme de nostalgie* d'un rapport simple au monde.En BD:- La Bulle De Bertold (peut-être la BD dont parlait Witch ?)- Le régulateur- La Licorne- Deus- Pest (par certains aspects)En roman:"L’âge des lumières" de Ian R. MacLEODJe n'y mettrais ni Agone ni Abyme personnellement.*nostalgie n'est pas le mot le plus approprié, mais je n'ai pas trouvé mieux sur le moment.

34
Très bon podcast, ,j'ai bien aimé cette définition du Steampunk plus comme concept esthétique que comme genre littéraire. Et je ne connaissais pas le diesel punk, merci !J'ai trouvé une autre BD Steampunk : Fée et tendre automate.Par contre, vous n'avez pas mentionné les mangas, et il y a pas mal qui s'inspirent du genre, notamment Fullmetal Alchemist et City hall.

35
Je viens de le ré-écouter (j'aime bien écouter les podcasts quand je fais mon ménage, sauf qu'en l’occurrence j'avais rien suivi à la première écoute^^). Bref, encore un excellent podcast, vous avez bien répondu à la question que je me posais (steampunk en tant que genre, ou non). Par contre, tout comme Alana, je suis un peu surprise que vous n'ayez pas parlé de Fullmetal, du coup. Vivement dimanche le prochain ! :lol: Encore merci pour votre travail^^

36
Encore un podcast très intéressant ! Moi qui n'y connaissait rien au steampunk, j'ai appris beaucoup de choses. Même si ce n'est a priori pas un genre et une esthétique qui m'attirent particulièrement, le podcast m'a quand même donné envie de lire quelques ouvrages pour me faire ma propre idée. J'ailleurs appris que j'avais lu du steampunk sans le savoir avec Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire et (peut-être) A la Croisée des Mondes. Raison de plus pour vouloir découvrir un peu plus cet univers :)

37
Ah tiens, vous n'avez pas parlé du film qui a réuni Orlando Bloom et Luke Evans avant Bilbo, les 3 Musketeers avec des bateaux volants :mrgreen:Et Sucker Punch, c'est très bien d'abord, et ça va au-delà des mini jupettes des actrices.

39
Vraiment bien le podcast ! Le steampunk je tourne autour depuis pas mal de temps : ca me fascine comme esthétisme mais comme souligné dans le podcast, il semble y avoir pas mal de romans "coquilles vides".J'ai en tout cas pour ma part d'excellents souvenirs des Voies d'Anubis et en BD des Gentlemens extraordinaires.Le parallèle est amusant avec le cyberpunk car le côté punk du steam est en réalité généralement comme un miroir inversé, au "no future" du cyber répond l'enthousiasme en la science et en l'avenir du XIXe. Mais peut-être certaines oeuvres sont-elles (ou pourraient-elles) entièrement steam et no future ? Ecryme (pas lu) ? L'intérêt en serait-il moindre ?Le steampunk a quand même plus de profondeur qu'un simple esthétisme, la preuve en ait que si l'on s'amuse a répéter la recette du steampunk (un rétrofuturisme basé sur d'autres énergies), la mayonnaise prends difficilement (dieselpunk...).Au fond ne s'agit-il pas de prolonger indéfiniment la magie de Jules Vernes ?P.S: le formica punk, j'adoooore !

40
Encore un podcast qu'il était bien ! En plus, il est livré en plein été, alors que la plupart de ses petits camarades se la coulent douce jusqu'à la rentrée. B)Sinon, je confirme que le cirque du Soleil a adopté un ton pur steampunk pour son dernier spectacle, Kurios. Je l'ai vu à Québec et il est juste magnifique. Les costumes, les accessoires et le soucis du détail dans la composition des personnages et du décor sont à tomber. Le tout servi par une mise en scène que je vous raconte même pas comment qu'elle déchire. Bref, je le conseille aux amateurs de steampunk qui apprécient un minimum les arts du cirque : il y a de quoi s'en mettre plein les yeux.