Contente si le podcast aide

Pour revenir sur la question de Lÿr, de mon côté il est rare aujourd'hui que je me lance dans l'écriture ( la rédaction proprement dite) d'un roman sans avoir au moins un éditeur pressenti, voire un contrat signé ou en cours de signature ( surtout en jeunesse). Ceci, pour plusieurs raisons, notamment économiques.
L'écriture étant mon cœur de métier, je ne peux pas trop me permettre de rédiger des pavés, ou même de plus petits livres, sans avoir au moins quelques perspectives derrière. De plus, je suis en général bien meilleure quand j'ai la pression d'une deadline. Enfin, j'aime bien discuter de chaque livre assez en amont avec un éditeur.
C'est donc souvent en premier lieu sur un synopsis que je me mets d'accord avec un éditeur, ça lui donne l'idée générale du roman qu'il va recevoir au final.
Mais je connais des auteurs confirmés qui au contraire n'ont pas du tout envie de présenter une histoire à des éditeurs, ni même de leur en parler, tant que toute l'écriture du roman n'est pas achevée. Bref, encore une fois, il n'y a pas de règles

(ce qui je trouve est assez rassurant).