l’île était plus petite que ne le pensait son collègue et donc difficilement habitable.

AOÛT 2005:Atlantis-Cyprus (suite)Robert Sarmast vient d'annoncer la préparation d'une deuxième expédition dans les eaux de Chypre. TMC, une société de production de Hollywood en fera un documentaire. Il a également obtenu l'appui de l'Organisation du tourisme de Chypre."Hollywood" plus "le ministère du tourisme" ? O.K. ! On peut parier qu'il va trouver ..."quelque chose" ! On est même sûr !

Goldberry,samedi 06 août 2005, 11:39 a écrit :"Hollywood" plus "le ministère du tourisme" ? O.K. ! On peut parier qu'il va trouver ..."quelque chose" ! On est même sûr !

Goldberry,samedi 06 août 2005, 11:39 a écrit :"Hollywood" plus "le ministère du tourisme" ? O.K. ! On peut parier qu'il va trouver ..."quelque chose" ! On est même sûr !

Information complémentaire du 7/08/05: Il ne manquait plus que ça ! Qu'un Américain d'origine Iranienne ("I am an Iranian American born in Iran") aille explorer les fonds marins dans une zone aussi sensible dans le contexte international ne pouvait que susciter bien des interrogations. A Chypre, aussi, la rumeur va bon train, sous-entendant espionnage industriel, recherche de pétrole pour le compte d'une société pétrolière américaine sous couvert d'expédition scientifique, etc... Rumeur démentie par l'intéressé, évidemment: "I am not a spy, I really am looking for Atlantis." a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. No comment !...

Sur les traces du déluge bibliqueCharles CôtéLa PresseDétroit d'HudsonLes eaux de la mer du Labrador ont beau être étrangement calmes en surface, un appareil perfectionné à bord du brise-glace Amundsen a détecté à 2000 mètres de profondeur ce qui pourrait être la trace d'un cataclysme aux proportions bibliques.«C'est comme s'il y avait une route de gravier de 50 km de largeur au fond de la mer», affirme John Hughes Clarke, professeur de géologie à l'Université du Nouveau-Brunswick. «C'est tout à fait compatible avec un écoulement d'eau soudain et très important, un écoulement catastrophique.»Comment un jet d'eau de 50 km de largeur a-t-il pu se former? Les scientifiques savent déjà qu'à la fin de la dernière période glaciaire, beaucoup d'eau douce a coulé dans la mer.Mais cela ne s'est pas fait de façon progressive et uniforme. Il y a eu plusieurs déversements, appelés «événements de Heinrich», au cours desquels tant d'eau froide s'est déversée dans la mer que la Terre a temporairement arrêté de se réchauffer. Le plus récent de ces événements date d'il y a 10 000 ans.Cependant, on ignore si ces déversements ont eu lieu en quelques dizaines d'années ou durant une période plus courte, voire en moins d'un an.M. Hughes Clarke a fait installer à bord de l'Amundsen un appareil qui permet de faire la cartographie en trois dimensions du fond de la mer, sur une largeur d'environ 4 km.Pendant plus de 24 heures, l'Amundsen a fait des allers-retours dans l'embouchure du détroit d'Hudson, un peu comme on tondrait une pelouse, ce qui a permis d'observer le fond de l'eau sur une largeur totale de 17 km.L'appareil, un sonar multifaisceaux, est capable de donner non seulement la forme du fond de la mer, mais aussi sa texture. Et si partout ailleurs le fond est plutôt boueux et mou, devant le détroit d'Hudson, il est dur comme du gravier compacté.Selon M. Hughes Clarke, le glacier qui recouvrait la plus grande partie de l'Amérique du Nord il y a 10 000 ans a pu emprisonner l'eau de fonte sous son poids jusqu'à ce qu'il recule ou qu'il se fende. «À ce moment, l'eau a subi une pression formidable sous une épaisseur de 5 km de glace. Cette eau ne demandait qu'à sortir.»Selon des calculs effectués par d'autres scientifiques, les événements de Heinrich ont libéré suffisamment d'eau pour faire monter le niveau de la mer de deux ou trois mètres.«S'il y a eu écoulement soudain, ce pourrait être la source des récits bibliques du déluge ou encore de légendes comme l'Atlantide, dit M. Hughes Clarke. Si le niveau monte graduellement, on a le temps de déménager. Mais trois mètres d'un coup, c'est catastrophique. Pensez seulement aux conséquences si ça se produisait aujourd'hui pour des pays comme le Bangladesh.»En théorie, des événements de Heinrich pourraient se produire de nouveau, dit-il. «Ce que nous étudions dans le détroit d'Hudson pourrait se passer avec le Groenland s'il se formait un lac sous la calotte glaciaire.»Les cataclysmes sous-marins sont la spécialité de M. Hughes Clarke depuis 20 ans. Sa thèse de doctorat portait sur un glissement de terrain sous-marin provoqué en 1929 par un tremblement de terre dans les Maritimes. À l'époque, toutes les lignes télégraphiques transatlantiques avaient été coupées par l'écoulement de vase qui avait parcouru 1600 km sous l'eau.Le sonar multifaisceaux est une technologie héritée de la guerre froide qui sert de plus en plus dans des usages civils, mais il est encore rare d'en trouver à bord de brise-glaces comme l'Amundsen. L'équipement à bord vaut 2,7 millions de dollars, en plus des logiciels conçus par M. Hughes Clarke.Le sonar doit notamment permettre de préciser où s'arrête le territoire canadien. Le gouvernement fédéral a alloué 19 millions à ce travail. Certaines zones sont aussi examinées de plus près afin de savoir s'il est possible d'y installer des plateformes de forage pétrolier.Mais, remarque M. Hughes Clarke, la recherche des traces du déluge biblique et l'élucidation des mystères de l'Atlantide suscitent la plus grande curiosité. «Nous allons revenir ici deux autres journées en octobre pour étendre la zone d'étude, dit-il. Nous aurons alors peut-être des indices encore plus forts.»

L'Atlantide retrouvée?Les bas-fonds du détroit de Gibraltar recèlent une île engloutie il y a 12 000 ans par un tsunamiPauline GravelÉdition du samedi 20 et du dimanche 21 août 2005 Mots clés : Grande-Bretagne (pays), Science, atlantideAurait-on découvert où se situait l'Atlantide? Peut-être... Même si spéculations et bobards ont sans cesse couru à propos de cette cité légendaire, des scientifiques purs et durs, notamment des géologues, tentent néanmoins de résoudre l'énigme. Une étude détaillée des bas-fonds du détroit de Gibraltar a justement mis en évidence une ancienne île couverte de sédiments, indiquant qu'elle aurait vraisemblablement été engloutie il y a 12 000 ans par un tsunami semblable à celui ayant dévasté l'océan Indien, le 26 décembre 2004. Étrangement, le lieu, la date et l'hypothétique raz-de-marée concordent avec le récit que le philosophe grec Platon a fait, il y a 2000 ans, de la disparition de cette ville mythique.

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Tsunami clue to 'Atlantis' found A submerged island that could be the source of the Atlantis myth was hit by a large earthquake and tsunami 12,000 years ago, a geologist has discovered. Spartel Island now lies 60m under the sea in the Straits of Gibraltar, but some think it once lay above water. The finding adds weight to a hypothesis that the island could have inspired the legend recounted by the philosopher Plato more than 2,000 years ago. Evidence comes from a seafloor survey published in the journal Geology. Marc-André Gutscher of the University of Western Brittany in Plouzané, France, found a coarse-grained sedimentary deposit that is 50-120cm thick and could have been left behind after a tsunami. Shaken sediments Dr Gutscher said that the destruction described by Plato is consistent with a great earthquake and tsunami similar to the one that devastated the city of Lisbon in Portugal in 1755, generating waves with heights of up to 10m. The thick "turbidite" deposit results from sediments that have been shaken up by underwater geological upheavals. It was found to date to around 12,000 years ago - roughly the age indicated by Plato for the destruction of Atlantis, Dr Gutscher reports in Geology. Spartel Island, in the Gulf of Cadiz, was proposed as a candidate for the origin of the Atlantis legend in 2001 by French geologist Jacques Collina-Girard. It is "in front of the Pillars of Hercules", or the Straits of Gibraltar, as Plato described. The philosopher said the fabled island civilisation had been destroyed in a single day and night, disappearing below the sea. Sedimentary records reveal that events like the 1755 Lisbon earthquake occur every 1,500 to 2,000 years in the Gulf of Cadiz. But the mapping of the island carried out by Dr Gutscher failed to turn up any manmade structures and also showed that the island was much smaller than previously believed. This could make it less likely that the island was inhabited by a civilisation.

Je pense qu'une civilisation laisse au moins les traces d'une ville.

Book DescriptionThousands of books have already been written on Atlantis since its reality was first disclosed by the great philosopher Plato, some two and a half millennia ago. Hence, one may well wonder whether a new book on the subject is really needed. Can anything new actually be said about Atlantis? The answer is a most categorical yes. After all, the riddle of Atlantis has never been satisfactorily solved so far. The present book is an attempt by a reputed scientist, to scientifically compare and refute – perhaps for the first time ever – the various existing theories on Atlantis’ location and reality. The author also expounds his own theory which definitively locates Atlantis in Indonesia. In his research, Prof. Santos marries the most recent results and techniques of Modern Science to the sacred and folk lore of all the peoples of the world, knitting humanity together in a solution to the riddle of Atlantis that neatly ties together the vast scientific and traditional evidence which was always there but never before seen by other researchers. The reader, whether a scientist with an open mind or a lay person, is led to conclude that Plato could well have been telling the truth, after all, since the information provided by the great philosopher is so uncannily confirmed by the recent scientific finds of all sorts.About the AuthorProf. Arysio Nunes Santos, the author of the present book, has published numerous other books and articles on Science and Engineering, as well as on arcane subjects such as Mythology, Symbolism, Alchemy, the Holy Grail, Comparative Religion, etc.. A professional nuclear physicist and geologist with a Ph. D. in Nuclear Physics and a Free-Docency in Physical-Chemistry, Prof. Santos has dedicated himself intensely to a close study of Plato’s texts and the problem of Atlantis.

Publisher: Atlantis Publications