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https://www.telerama.fr/livre/trois-raisons-de-%28re%29lire...-bankgreen,-ou-la-french-touch-fantasy,n6100610.php
202
Un diptyque qui me faisait de l’œil depuis un moment.
Coincé entre des avis aussi bien positifs que négatifs, j'ai longtemps hésité avant de me lancer. La raison l'a finalement emporté ; fais toi ton propre avis !
J'ai craqué pour la version intégrale et je suis désormais en pleine lecture.
Ma première réaction face à ce roman par rapport à mon expérience de lecture c'est qu'il ne ressemble à aucun autre. Bankgreen appartient à l'auteur de toute sa force. Si je ne l'ai pas encore terminé, effectivement c'est un petit pavé, pour l'instant je me régale.
L'écriture, épurée et précise donne le ton mais laisse une grande place à l'imaginaire du lecteur. Visuellement, c'est très fort, comme devant un tableau qui aurait capté toute notre attention.
La thématique de la mort est présente, bel et bien récurrente, mais entre les lignes la vie ruisselle autant et plus encore. Bankgreen, de mon point de vue, c'est avant tout l'histoire d'un cycle, symbole de renouveau comme de recommencement. L'auteur appréhende une de nos plus grandes peurs, avec beaucoup de subtilité, pour mieux retourner la question : quel sens à vivre indéfiniment ? C'est clairement le tour de force qui "me saute à la gueule".
Sur Bankgreen tout a un sens, la planète et cet univers ont des secrets qui n'appartiennent qu'à eux. Accepter que des choses nous dépassent, comme pour nous signifier un peu plus encore, de lâcher prise.
C'était un petit mot avant d'y retourner, un certain Mordred me requiert.
Coincé entre des avis aussi bien positifs que négatifs, j'ai longtemps hésité avant de me lancer. La raison l'a finalement emporté ; fais toi ton propre avis !
J'ai craqué pour la version intégrale et je suis désormais en pleine lecture.

Ma première réaction face à ce roman par rapport à mon expérience de lecture c'est qu'il ne ressemble à aucun autre. Bankgreen appartient à l'auteur de toute sa force. Si je ne l'ai pas encore terminé, effectivement c'est un petit pavé, pour l'instant je me régale.
L'écriture, épurée et précise donne le ton mais laisse une grande place à l'imaginaire du lecteur. Visuellement, c'est très fort, comme devant un tableau qui aurait capté toute notre attention.
La thématique de la mort est présente, bel et bien récurrente, mais entre les lignes la vie ruisselle autant et plus encore. Bankgreen, de mon point de vue, c'est avant tout l'histoire d'un cycle, symbole de renouveau comme de recommencement. L'auteur appréhende une de nos plus grandes peurs, avec beaucoup de subtilité, pour mieux retourner la question : quel sens à vivre indéfiniment ? C'est clairement le tour de force qui "me saute à la gueule".
Sur Bankgreen tout a un sens, la planète et cet univers ont des secrets qui n'appartiennent qu'à eux. Accepter que des choses nous dépassent, comme pour nous signifier un peu plus encore, de lâcher prise.
C'était un petit mot avant d'y retourner, un certain Mordred me requiert.

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J'ai lu l'intégrale de Bankgreen ces derniers jours et c'est peu de dire que j'en ressors mitigé. Je ne comprends pas très bien ce qu'a voulu faire l'auteur avec cet univers.
Les livres sont, à mon sens, beaucoup trop verbeux et sérieux pour être du pur divertissement. De la fantasy à message alors ? Pour nous pousser à une certaine réflexion ? Si message il y a, il est purement nihiliste hormis dans les toutes dernières page d'Emmon. Rien n'a de sens, la mort frappe n'importe qui et surtout les plus faibles, ceux qui ont une once de pouvoir sont des salauds qui se trompent tout le temps. Ok...
Le Worldbuilding alors ? Un livre pour s'émerveiller devant un univers bien construit ? Je lis que beaucoup ont été conquis par Bankgreen mais ce n'est pas mon cas. Je lui reconnais quelques idées originales (notamment au niveau des races et de leurs modes de reproduction) mais, pour le reste, les éléments uniques de Bankgreen sont soit des gadgets soit des choses vues et revues mais avec un nom bizarre ou des caractéristiques légèrement différentes. C'est bien beau de dire que le ciel est mauve et noir et qu'il tombe de la nève mais, concrètement, ça apporte quoi à l'univers ?
Reste pour moi la plume de l'auteur que j'ai trouvée des plus agréables et qui m'a donné envie de lire d'autres pans de sa bibliographie.
Chacun est bien entendu libre d'avoir son propre avis sur Bankgreen et je comprends en quoi cette œuvre peut séduire mais je tiens tout de même à m'insurger contre deux réflexions que j'ai lues plusieurs fois ici ou sur des blogs.
1) Je lis que certains ont ressenti de l'empathie pour les personnages dans le roman. Bon ça pourquoi pas même si ce n'est vraiment pas mon cas. Les personnages sont toutes des victimes impuissantes et les rares personnes qui ont du pouvoir font n'importe quoi avec, voient leurs plans sur 1000 ans échouer ou provoquent leur propre mort tellement ils en ont peur. Le seul personnage qui m'a semblé un peu intéressant est Yphor, le grand rat noir à bord du Nomoron dans "Le Dernier des varaniers". Et les seuls moments où j'ai vraiment ressenti de l'émotion c'est lors de certains meurtres qui sortent de nulle part.
Ce qui ne dérange nettement plus c'est quand j'entends dire que Mordred serait charismatique et/ou cynique. Charismatique ? Vraiment ? On parle d'une armure qui parle et dont la seule fonction est de proposer aux gens de les tuer s'il estime leur mort future trop pénible... (ou parfois de les tuer sans leur demander s'ils en ont envie). Il n'est pas cynique il est psychopathe et même complètement fou dans Emmon. Le seul moment où il fait montre de la moindre empathie c'est vis-à-vis de Niobo et uniquement car il est troublé de ne pas être en mesure de prédire sa mort.
2)Un peu plus anecdotique mais j'ai lu certains décrire l'univers de Bankgreen comme étant "vaste", "immense", etc. Ca vient probablement de ce qui est dit dans le livre lui-même mais, non, Bankgreen n'est pas immense. Elle est même minuscule ou, en tout cas, on ne nous en montre qu'une toute petite partie. Les Digtères et les Arfans parviennent à lever au mieux quelques milliers de soldats dans une guerre à mort. On tourne toujours dans la même zone et même le Nomoron qui a tout l'océan pour lui ne se trouve jamais très loin de l'action. Dans les toutes dernières page le bateau entreprend un voyage "au bout du monde", voyage qui ne lui prend qu'un mois en gros.
Ce n'est absolument pas un problème en soi (j'aurais même tendance à dire que c'est un atout) mais j'ai l'impression que certains se sont faits avoir par les manipulations de l'auteur (j'ai du mal à voir ça comme une maladresse d'écriture) qui ne nous dit jamais vraiment la vérité sur Bankgreen.
Les livres sont, à mon sens, beaucoup trop verbeux et sérieux pour être du pur divertissement. De la fantasy à message alors ? Pour nous pousser à une certaine réflexion ? Si message il y a, il est purement nihiliste hormis dans les toutes dernières page d'Emmon. Rien n'a de sens, la mort frappe n'importe qui et surtout les plus faibles, ceux qui ont une once de pouvoir sont des salauds qui se trompent tout le temps. Ok...
Le Worldbuilding alors ? Un livre pour s'émerveiller devant un univers bien construit ? Je lis que beaucoup ont été conquis par Bankgreen mais ce n'est pas mon cas. Je lui reconnais quelques idées originales (notamment au niveau des races et de leurs modes de reproduction) mais, pour le reste, les éléments uniques de Bankgreen sont soit des gadgets soit des choses vues et revues mais avec un nom bizarre ou des caractéristiques légèrement différentes. C'est bien beau de dire que le ciel est mauve et noir et qu'il tombe de la nève mais, concrètement, ça apporte quoi à l'univers ?
Reste pour moi la plume de l'auteur que j'ai trouvée des plus agréables et qui m'a donné envie de lire d'autres pans de sa bibliographie.
Chacun est bien entendu libre d'avoir son propre avis sur Bankgreen et je comprends en quoi cette œuvre peut séduire mais je tiens tout de même à m'insurger contre deux réflexions que j'ai lues plusieurs fois ici ou sur des blogs.
1) Je lis que certains ont ressenti de l'empathie pour les personnages dans le roman. Bon ça pourquoi pas même si ce n'est vraiment pas mon cas. Les personnages sont toutes des victimes impuissantes et les rares personnes qui ont du pouvoir font n'importe quoi avec, voient leurs plans sur 1000 ans échouer ou provoquent leur propre mort tellement ils en ont peur. Le seul personnage qui m'a semblé un peu intéressant est Yphor, le grand rat noir à bord du Nomoron dans "Le Dernier des varaniers". Et les seuls moments où j'ai vraiment ressenti de l'émotion c'est lors de certains meurtres qui sortent de nulle part.
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Ce qui ne dérange nettement plus c'est quand j'entends dire que Mordred serait charismatique et/ou cynique. Charismatique ? Vraiment ? On parle d'une armure qui parle et dont la seule fonction est de proposer aux gens de les tuer s'il estime leur mort future trop pénible... (ou parfois de les tuer sans leur demander s'ils en ont envie). Il n'est pas cynique il est psychopathe et même complètement fou dans Emmon. Le seul moment où il fait montre de la moindre empathie c'est vis-à-vis de Niobo et uniquement car il est troublé de ne pas être en mesure de prédire sa mort.
2)Un peu plus anecdotique mais j'ai lu certains décrire l'univers de Bankgreen comme étant "vaste", "immense", etc. Ca vient probablement de ce qui est dit dans le livre lui-même mais, non, Bankgreen n'est pas immense. Elle est même minuscule ou, en tout cas, on ne nous en montre qu'une toute petite partie. Les Digtères et les Arfans parviennent à lever au mieux quelques milliers de soldats dans une guerre à mort. On tourne toujours dans la même zone et même le Nomoron qui a tout l'océan pour lui ne se trouve jamais très loin de l'action. Dans les toutes dernières page le bateau entreprend un voyage "au bout du monde", voyage qui ne lui prend qu'un mois en gros.
Ce n'est absolument pas un problème en soi (j'aurais même tendance à dire que c'est un atout) mais j'ai l'impression que certains se sont faits avoir par les manipulations de l'auteur (j'ai du mal à voir ça comme une maladresse d'écriture) qui ne nous dit jamais vraiment la vérité sur Bankgreen.
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Ce qui ne dérange nettement plus c'est quand j'entends dire que Mordred serait charismatique et/ou cynique. Charismatique ? Vraiment ?
Ben, oui, vraiment.
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Personnellement, je lui ai trouvé du charisme et j'ai également trouvé cet univers vaste (et surtout désolé), sans doute en partie parce qu'on en voit tellement et peu à la fois. Maintenant, que l’auteur nous manipule, c'est de bonne guerre.
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Bon le charisme c'est assez subjectif donc je ne vais pas me lancer dans un débat là dedans mais vaste ? Vaste par rapport à quoi ? La zone d'action au sol (je ne sais pas où vont les Runes ni où se trouve le Nomoron exactement) a l'air à peine plus grande que la Comté si on s'en tient aux indices laissés par l'auteur sur les distances et le peuplement.
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C'est toujours un peu triste d'apprendre ce genre de chose: Thierry Di Rollo a décidé d'arrêter d'écrire. Il s'explique sur son blog
Le bout du voyage
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Oh, c'est dommage ce coup d'barre.
Qu'il revienne un jour ou non à l'écriture, j'espère vraiment qu'il reprendra du poil de la bête. P'têt que détruire ses manuscrits lui fera du bien mentalement, aussi ?
'fin c'est pas parce qu'il a 60 ans que la vie s'arrête : il n'y a pas d'age pour cesser de profiter de la vie, et j'espère qu'il est bien entouré ou qu'il trouvera une voie où il se sentira épanoui.
Je me suis acheté l'intégrale Bankgreen il y a quelques semaines, et j'ai aussi récupéré quelques Bifrost avec du Di Rollo dedans, car je voulais découvrir un peu la patte de l'auteur.
Thierry, si tu nous lis, la vie continue ! (et recrute un jeune Padawan écrivain pour nous refaire une version alternative de The Last Jedi, mais avec une issue moins foutage de gueule
)
Qu'il revienne un jour ou non à l'écriture, j'espère vraiment qu'il reprendra du poil de la bête. P'têt que détruire ses manuscrits lui fera du bien mentalement, aussi ?
'fin c'est pas parce qu'il a 60 ans que la vie s'arrête : il n'y a pas d'age pour cesser de profiter de la vie, et j'espère qu'il est bien entouré ou qu'il trouvera une voie où il se sentira épanoui.
Je me suis acheté l'intégrale Bankgreen il y a quelques semaines, et j'ai aussi récupéré quelques Bifrost avec du Di Rollo dedans, car je voulais découvrir un peu la patte de l'auteur.
Thierry, si tu nous lis, la vie continue ! (et recrute un jeune Padawan écrivain pour nous refaire une version alternative de The Last Jedi, mais avec une issue moins foutage de gueule

213
C'est tellement dommage, cette lassitude et ce soupçon d'amertume. Mais je ne peux pas croire qu'il va stopper entièrement l'écriture, ça paraît impensable, surtout quand il s'y attèle depuis 30 années ! Un gros coup de blues.
Espérons qu'il se concentre sur le public qui apprécie son travail, même peu nombreux. Après, je me doute qu'avec la pression de la vente, ça ne doit pas être évident...
Espérons qu'il se concentre sur le public qui apprécie son travail, même peu nombreux. Après, je me doute qu'avec la pression de la vente, ça ne doit pas être évident...
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Sanne a écrit :C'est tellement dommage, cette lassitude et ce soupçon d'amertume. Mais je ne peux pas croire qu'il va stopper entièrement l'écriture, ça paraît impensable, surtout quand il s'y attèle depuis 30 années ! Un gros coup de blues.
Espérons qu'il se concentre sur le public qui apprécie son travail, même peu nombreux. Après, je me doute qu'avec la pression de la vente, ça ne doit pas être évident...
C'est difficile de se mettre à la place des gens. Surtout qu'on ne connait pas tout le contexte (ça peut venir d'un ensemble de problèmes).
Je pense que le mieux c'est de faire des œuvres qui plaisent à soit même. ensuite si ça touche le public tant mieux. Au moins tu n'as pas de regret à avoir ni d'amertume, les gens ont le droit de ne pas avoir les mêmes goûts que toi. C'est comme dans une relation amoureuse, la personne en face a le droit de ne plus t'aimer, même si toi tu l'aimes encore. Il faut l'accepter.
Lutter contre des choses que tu ne peux changer est contre productif. Et tant que tu ne l'accepte pas,ça en est pénible pour toi. C'est seulement à partir du moment où tu l'acceptes que ce poids s'enlève et que tu peux recommencer à avancer.
En tout cas, je lui souhaite surtout de trouver un équilibre et d'être heureux. C'est le plus important. Si il décide de reprendre l'écriture ce sera avec plaisir que je continuerai à profiter du voyage qu'il nous offre, mais là n'est pas le plus important.
Voila pour mon avis à 2 balles
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d_bruno a écrit :C'est difficile de se mettre à la place des gens. Surtout qu'on ne connait pas tout le contexte (ça peut venir d'un ensemble de problèmes).
Je pense que le mieux c'est de faire des œuvres qui plaisent à soit même. ensuite si ça touche le public tant mieux. Au moins tu n'as pas de regret à avoir ni d'amertume, les gens ont le droit de ne pas avoir les mêmes goûts que toi. C'est comme dans une relation amoureuse, la personne en face a le droit de ne plus t'aimer, même si toi tu l'aimes encore. Il faut l'accepter.
Lutter contre des choses que tu ne peux changer est contre productif. Et tant que tu ne l'accepte pas,ça en est pénible pour toi. C'est seulement à partir du moment où tu l'acceptes que ce poids s'enlève et que tu peux recommencer à avancer.
C'est vrai qu'on ne connaît pas tout, et tes réflexions sont très sages. C'est toujours triste de voir un artiste qui ne croit plus en son art.
216
J'ai terminé aujourd'hui Le dernier des varaniers. C'est une lecture incroyable, j'ai rarement lu quelque chose d'aussi puissant en fantasy.
J'ai peur d'user de trop de superlatifs pour décrire le roman aussi je dirai simplement que j'ai ressenti un grande connexion avec le style de l'auteur, avec Bankgreen. Je suis très curieux de découvrir l'auteur dans d'autres styles.
Maintenant, direction Elbrön !
J'ai peur d'user de trop de superlatifs pour décrire le roman aussi je dirai simplement que j'ai ressenti un grande connexion avec le style de l'auteur, avec Bankgreen. Je suis très curieux de découvrir l'auteur dans d'autres styles.
Maintenant, direction Elbrön !
219
Voilà, lecture de l'intégrale terminée.
Et quel voyage, quelle découverte d'un écrivain à la plume si évocatrice. Ça va m'être difficile de quitter ce monde et de passer à autre chose car c'est vraiment le genre de roman qui marque.
Bankgreen est éternelle, comme le dit l'auteur.
Du coup, afin de compenser ce manque, j'ai commandé il y a peu un autre roman de Di Rollo (Les solitudes de l'ours blanc) ainsi que le Bifrost lui étant consacré.
Et quel voyage, quelle découverte d'un écrivain à la plume si évocatrice. Ça va m'être difficile de quitter ce monde et de passer à autre chose car c'est vraiment le genre de roman qui marque.
Bankgreen est éternelle, comme le dit l'auteur.
Du coup, afin de compenser ce manque, j'ai commandé il y a peu un autre roman de Di Rollo (Les solitudes de l'ours blanc) ainsi que le Bifrost lui étant consacré.
220
Cher Tarann,
Merci de ce témoignage très touchant, qui plus est le jour de mes 61 ans (hier, donc; on reste peu de chose).
Justement, d'ailleurs, tournez-vous vers des auteurs plus jeunes, que vous pourrez suivre bien plus longtemps; et il y en a, croyez-moi, autrement talentueux et positifs que j'ai pu l'être. Moi, je suis de la vieille garde :-) J'appartiens au passé.
Et merci à mon Manu qui, une fois de plus, ne manque pas de citer Bankgreen à l'occasion d'un récent entretien. Tu es une belle personne, Manu :-)
Merci de ce témoignage très touchant, qui plus est le jour de mes 61 ans (hier, donc; on reste peu de chose).
Justement, d'ailleurs, tournez-vous vers des auteurs plus jeunes, que vous pourrez suivre bien plus longtemps; et il y en a, croyez-moi, autrement talentueux et positifs que j'ai pu l'être. Moi, je suis de la vieille garde :-) J'appartiens au passé.
Et merci à mon Manu qui, une fois de plus, ne manque pas de citer Bankgreen à l'occasion d'un récent entretien. Tu es une belle personne, Manu :-)