Lu le troisième tome ce week-end.Je suis toujours aussi enthousiaste sur cette série. L'univers reste des plus plaisants et les personnages attachants, bien que rarement surprenants
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(Tharkay le baroudeur au grand coeur se repère à cent kilomètres, un peu comme les espions/traîtres des tomes précédents).
Le voyage initial change un peu la donne, avec quelques moments sympathiques (la rencontre avec les dragons sauvages). Le passage à la cour ottomane pêche un peu par sa comparaison avec le tome 2 à la cour de Chine,
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si ce n'est le passage avec Lien
Dieu merci, le moment est relativement court.Et là, nous voilà en Prusse. Que du bonheur ! La Prusse, en 1806. Iena, Auerstadt : deux batailles, et la Prusse n'existe plus. Pour les amateurs de l'épopée napoléonienne, c'est du caviar.
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Et, pour la première fois depuis le début de la série, l'engagement de Téméraire et Laurence ne fait pas miraculeusement pencher la balance du côté de la perfide Albion, ce qui est hautement appréciable !
Le génie militaire de la Grande Armée, le décalage entre des officiers encore d'Ancien Régime qui ne jurent que par la gloire passée de Frédéric Le Grand et des maréchaux issus de la Révolution, avec moins de standing mais plus compétents, tout ceci est un pur régal.
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Et que dire de l'association entre Napoléon et Lien ! Le petit passage où ces deux derniers apparaissent ensemble est un beau cadeau, que j'ai lu et relu (petit clin d'oeil à Aviendha qui m'en avait parlé).
Il me tarde donc de découvrir la suite
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et les raisons de l'absence des Corps dans la bataille.
En un mot :
vive l'Empereur ! 