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largement mieux que les couv des éditions du rocher ! Quand j'ai montré le tome 4 à la biblio en ralant parce que c'était en jeunesse on m'a dit que la couv était trompeuse ! Allez hop terminé le rose gentil du soleil couchant ! Au moins là on est quand même prévenu que c'est pas une gentille bluette fantasy ! 
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Oui faut sauter dessus, c'est excellent. Et en cette période de folie Trône de Fer, je comprends pas qu'une saga finalement pas si éloignée de l’œuvre de Martin ne fasse pas plus parler d'elle.Les Monarchies Divines, c'est un gros coup de cœur perso. Énormément de scènes sont encore ancrées dans mon esprit alors que ma lecture remonte déjà à un paquet d'année.Jamais lu. Mais ce serait une occasion de le faire.
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Aaaah ? Je note, alors, je note. Les couvertures sont sympas, la critique du site aussi... Je sens que je vais me laisser tenter !Merwin Tonnel a écrit :Et en cette période de folie Trône de Fer, je comprends pas qu'une saga finalement pas si éloignée de l’œuvre de Martin ne fasse pas plus parler d'elle.
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Ah ben voilà qui fait passer cette saga à la première place de mes futurs achats. Allez! Plus que quelques semaines à attendre...Oui faut sauter dessus, c'est excellent. Et en cette période de folie Trône de Fer, je comprends pas qu'une saga finalement pas si éloignée de l’œuvre de Martin ne fasse pas plus parler d'elle.Les Monarchies Divines, c'est un gros coup de cœur perso. Énormément de scènes sont encore ancrées dans mon esprit alors que ma lecture remonte déjà à un paquet d'année.
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Attention, comme l'a dit Gillossen, cette nouvelle édition française ne comprend pas la fin remaniée de la nouvelle édition VO. Il s'agit d'une simple réédition non augmentée.Sinon, Les Monarchies Divines, c'est aussi les meilleures batailles que j'ai pu lire en fantasy. Ultra prenantes, superbement claires et bien écrites, avec de très bons enjeux. Du niveau de Bernard Cornwell, si ce n'est mieux.Anarion a écrit :La version définitive du tome 5 me donne envie de me le procurer, moi qui avait adoré ce cycle.
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Ahlala... Après le fameux "point Goodkind", il faudrait inventer son opposé, le "point trône de fer"! 
Ce phénomène qui fait qu'on compare un peu tout au trône de fer, et qu'en général cette comparaison amène plus de gens à s'intéresser à l'oeuvre ainsi comparée...En ce qui concerne les Monarchies Divines, cette série a selon moi autant de points communs avec le trône de fer qu'avec les oeuvres de David Gemmel, à savoir le ton et les personnages adultes, et la dure réalité. En revanche, c'est beaucoup moins "politique" qu'un trône de Fer, tout en étant bien moins "bourrin" qu'un Gemmel : les principaux sujets traités sont l'intolérance religieuse, l'exploration d'un Continent mystérieux, quelques secrets horrifiques et puis... la guerre entre deux civilisations, avec son lot d'atrocités et de moments de bravoure.J'ai également adoré le traitement que Paul kearney a réservé à ses personnages : ils sont pratiquement tous extrêmement profonds (plus que dans la plupart des cycles de fantasy que je connais, ce qui inclut le trône de fer, point trône de fer! 
), avec un vécu préalable et des "nuances de gris" qui les rendent au final extrêmement humains, avec les beautés et faiblesses que cela implique.Bref, ici pas d'extrêmes du genre "bon et vertueux" ou "crapule finie arriviste, retorse, perverse, fourbe et traîtresse", mais bien des être humains, adultes, avec leur propre sens moral, leurs doutes, leurs espoirs, leurs sentiments, et qui confrontés à la dure adversité réagiront avant tout en humains, et pas en caricatures archétypales.Les monarchies divines restent pour moi un énorme coup de coeur, partagé par les amis à qui j'avais fait découvrir cette série à l'époque (ils ne lisaient pas de fantasy, mais ça n'en a pas empêché une de me reprocher de ne pas lui avoir prêté le tome 2 deux jours à peine après que je lui aie prêté le tome 1, et un autre ami de commander en avance les tomes qui n'étaient pas encore sortis à l'époque...), avec des scènes intense qui m'ont marqué comme peu d'autres séries (y compris le ... hum! 
;)) ont su le faire.Un coup de maître, qui fait partie de mes oeuvres préférées!Ps : tant qu'à faire, je précise par rapport au commentaire de Karine des chats que je n'ai pas eu la même impression qu'elle, sans doute parce que j'ai acheté le livre en librairie dans la collection "points", qui proposait à l'époque des couvertures nettement plus adaptées que celles du grand format. Du coup, je n'ai pas eu ce sentiment choqué que tu as connu lorsque tu as découvert cette série dans la section "jeunesse" de ta bibliothèque (ce qui était tout à fait inadapté, je suis entièrement d'accord avec toi!)Quant à La guerre, décrite avec une rare justesse, sans fard ni complaisance, ce qui ne convient évidemment pas à un public jeune, je suis bien d'accord avec toi!
Ce phénomène qui fait qu'on compare un peu tout au trône de fer, et qu'en général cette comparaison amène plus de gens à s'intéresser à l'oeuvre ainsi comparée...En ce qui concerne les Monarchies Divines, cette série a selon moi autant de points communs avec le trône de fer qu'avec les oeuvres de David Gemmel, à savoir le ton et les personnages adultes, et la dure réalité. En revanche, c'est beaucoup moins "politique" qu'un trône de Fer, tout en étant bien moins "bourrin" qu'un Gemmel : les principaux sujets traités sont l'intolérance religieuse, l'exploration d'un Continent mystérieux, quelques secrets horrifiques et puis... la guerre entre deux civilisations, avec son lot d'atrocités et de moments de bravoure.J'ai également adoré le traitement que Paul kearney a réservé à ses personnages : ils sont pratiquement tous extrêmement profonds (plus que dans la plupart des cycles de fantasy que je connais, ce qui inclut le trône de fer, point trône de fer! ), avec un vécu préalable et des "nuances de gris" qui les rendent au final extrêmement humains, avec les beautés et faiblesses que cela implique.Bref, ici pas d'extrêmes du genre "bon et vertueux" ou "crapule finie arriviste, retorse, perverse, fourbe et traîtresse", mais bien des être humains, adultes, avec leur propre sens moral, leurs doutes, leurs espoirs, leurs sentiments, et qui confrontés à la dure adversité réagiront avant tout en humains, et pas en caricatures archétypales.Les monarchies divines restent pour moi un énorme coup de coeur, partagé par les amis à qui j'avais fait découvrir cette série à l'époque (ils ne lisaient pas de fantasy, mais ça n'en a pas empêché une de me reprocher de ne pas lui avoir prêté le tome 2 deux jours à peine après que je lui aie prêté le tome 1, et un autre ami de commander en avance les tomes qui n'étaient pas encore sortis à l'époque...), avec des scènes intense qui m'ont marqué comme peu d'autres séries (y compris le ... hum! ;)) ont su le faire.Un coup de maître, qui fait partie de mes oeuvres préférées!Ps : tant qu'à faire, je précise par rapport au commentaire de Karine des chats que je n'ai pas eu la même impression qu'elle, sans doute parce que j'ai acheté le livre en librairie dans la collection "points", qui proposait à l'époque des couvertures nettement plus adaptées que celles du grand format. Du coup, je n'ai pas eu ce sentiment choqué que tu as connu lorsque tu as découvert cette série dans la section "jeunesse" de ta bibliothèque (ce qui était tout à fait inadapté, je suis entièrement d'accord avec toi!)Quant à ► Afficher le texte
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Je suis moins fan de ces couvertures que celles de chez "Points". Mais comme Merwin ou Aion ce cycle m'avait fait forte impression à l'époque notamment avec son ton "réaliste" et sans concession. Les scènes de bataille ou maritimes tout autant que les personnages m'avaient bien interpellés. D'ailleurs, en y repensant, c'est l’œuvre qui m'a ouvert à une autre vision de la Fantasy.... s'ensuivirent les lectures du Trône du Fer et de La Compagnie Noire. Sûr que j'y replongerais un jour...
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Grrrrr ! Je te hais ! Ma pal enfle enfle...Aion a écrit :J'ai également adoré le traitement que Paul kearney a réservé à ses personnages : ils sont pratiquement tous extrêmement profonds (plus que dans la plupart des cycles de fantasy que je connais, ce qui inclut le trône de fer, point trône de fer!
