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patrickgigi76 a écrit : jeu. 9 janv. 2025 06:18 Et qu’un nouvel arrivant prenne sa place en racontant n’importe quoi

patrickgigi76 a écrit : jeu. 9 janv. 2025 06:18

Tybalt a écrit : mar. 5 nov. 2024 00:04 C'est encore pire que ça, à en juger par un communiqué de Vincent Ferré paru sur le site du collectif Pour Tolkien hier. Outre de multiples erreurs, Vincent Ferré dénonce une invisibilisation systématique de son travail au service des éditions Christian Bourgois pendant vingt ans, et mentionne une procédure judiciaire en cours car l'éditeur lui doit le paiement de plusieurs années de travail. Bref, à lire Ferré, l'éditeur de Tolkien en France a viré le principal spécialiste français de cet auteur après avoir profité largement de son travail pendant vingt ans, et maintenant un employé arrivé l'an dernier et qui n'a clairement pas le niveau dans ce domaine raconte des bêtises *et* réécrit tout en lui déniant sa place dans l'histoire éditoriale de Tolkien en France

Franchement, c’est révoltant. Si Vincent Ferré dit vrai, on parle d’un vrai mépris pour tout ce qu’il a apporté aux éditions Christian Bourgois et à l’héritage de Tolkien en France. Vingt ans de boulot et il est viré comme ça, en plus sans être payé pour des années de travail ? C’est dingue.

c’est la passerelle entre le regard et les mots, un outil qui redonne clarté et précision aux textes les plus fins. Elle capte la lumière, amplifie les détails et révèle chaque lettre avec netteté, transformant la lecture en une expérience fluide et confortable. Qu’elle soit tenue à la main, posée sur un support ou équipée d’un éclairage, elle accompagne ceux qui recherchent du confort visuel, que ce soit pour déchiffrer un vieux manuscrit, explorer une carte détaillée ou simplement apprécier un livre sans effort. Petite, discrète, mais essentielle, elle fait le lien entre le monde visible et celui de la connaissance.

Et qu’un nouvel arrivant prenne sa place en racontant n’importe quoi, tout en réécrivant son travail… ça me dépasse. À force de jouer avec leur crédibilité, l’éditeur risque de le payer cher.