Repris depuis l'interview des imaginales et ceci :Ys a écrit :Excellente interview, toujours passionnant de lire cet auteur!!! :)Par contre, quelqu'un a compris à quoi il fait allusion:"je me suis dit, pour rééquilibrer, il faut qu’il y ait autant de fond derrière les elfes que derrières les sociétés humaines. Et cela m’a demandé beaucoup de travail parce que j’ai dû cacher des choses. Il y a un critique qui l’a vu. Il y a quelque chose qui est présent, caché dans le roman."
sur ce forum (message du 21 aout 2009)Je poste mes idées en spoilersQuant à Bourg-Preux… Eh bien, quitte à me montrer déceptif, je ne déflorerai pas le texte en dévoilant mes intentions, mais c'est le chapitre où j'ai le plus travaillé (parfois, une journée entière sur un ou deux paragraphes) pour y glisser quelque chose que j'ai voulu délibérément invisible. Dans un sens, c'est une très grosse ficelle… Et je craignais beaucoup que les lecteurs la découvrent ; auquel cas, je crois d'ailleurs que je passerais pour un fat indécrottable ! Mais jusqu'à présent, je pense avoir réussi mon coup, et j'en suis vraiment heureux. (Et fier comme un gamin qui a fait une blague idiote ! ) Quoiqu'il en soit, il y a bien quelque chose de caché dans ce chapitre (et dans le suivant aussi, d'ailleurs). D'une certaine manière, tu tournes autour quand tu parles de la présence de la vacance plus que de l'enchantement, et de l'impuissance de l'harmonie à changer l'homme. Mais c'est dit de façon élevée et élogieuse, alors que le procédé que j'ai mobilisé pour le suggérer est un vrai tour de bonneteau…
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