Elbakin.net

Il y a des signes en tout cas de ses "préférences" justement dans ce troisième épisode :
Après en creusant sur la toile, et même sans connaitre les comics, on comprend certaines choses
et donc faire le rapprochement avec le spoil

Guigz a écrit :Ben j’avais pas déduit que Stormfront était

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une néo-nazie

, même si ça paraît beaucoup plus clair maintenant.

C'est là où je te suis pas : le fait qu'elle soit
alors qu'on nous la présentait comme une super héroïne sympa qui n'a pas sa langue dans sa poche, c'est justement le cliffhanger de l'épisode 3.

En fait je me trouve un peu bête de ne pas l'avoir déduit, j'avais "juste" compris qu'elle était
à la fin de l'épisode. Je réalise ma naïveté désormais.

Merwin Tonnel a écrit :Sinon j’ai dévoré en moins d’un week-end les 2 saisons de Cobra Kai, que j’ai trouvées excellentes. On s’attache à toute la galerie de personnages, Johnny et Daniel et tête (et sauf le fils de Johnny, une pure tête à claque), et la série vient commenter très intelligemment les films de l’époque, sans verser dans la nostalgie à tout crin. Et même si la série garde un ton résolument léger, elle questionne beaucoup l’équilibre de ses deux héros qui, pour une pauvre rivalité de mâle alpha à deux balles pendant leur jeunesse, endoctrinent et arment sans vraiment s’en rendre compte des gamins pas beaucoup plus stables. La femme de Daniel est d’ailleurs un personnage très intéressant à cet égard puisque c’est elle qui fournit ce regard extérieur. La fin de la saison 2 vient bien enfoncer le clou sur le fait que ce qu’on regarde avec un œil amusé est loin d’être anodin.

Je ne suis qu'à la fin de la première saison (mais la seconde ne va pas faire long feu) et je plussoie tout à fait : la série est touchante avec sa galerie de personnages paumés qui ne comprennent pas vraiment les conséquences de ce qu'ils entreprennent. C'est assez intéressant aussi de voir que les deux héros ne se sont jamais remis de leur rivalité...


.

Je n'ai jamais vu les films Karate Kid mais la série me donne quand même l'impression de retrouver de vieux amis et parvient aussi à me tirer la petite larmichette.


J'aime aussi énormément le côté "brut" de Johnny face aux problèmes de moqueries et de harcèlement, ses propres démons qu'il n'a pas exorcisé et sa manière maladroite de vouloir faire la différence.

J'ai presque binge-watché Cobra Kaï en un week-end aussi (manque 6 épisodes) et je suis instantanément tombé amoureux !

J'ai tout de suite été touché par cette galerie de personnages, Johnny en tête, qui tente d'avancer malgré son passé tumultueux alors que celui-ci n'a de cesse de se rappeler à lui.

La série pose intelligement la question de l'héritage et de la transmission des savoir-être et de la manière d'avancer dans la vie en choisissant d'effacer tout manichéisme chez ses personnages principaux, à la différence des films.

Et je dois dire que ça marche super bien chez moi ! Hormis Game of Thrones, je me suis rarement attaché à autant de personnages en si peu de temps. C'est bien simple, on peut prendre à peu près n'importe qui dans cette série et toujours arriver à comprendre le pourquoi de ses actions.
Ce qui fait que le spectateur (en tout cas moi) n'a en général pas de parti pris durant les conflits, fait rare !

Et puis, la série est aussi un hommage aux années 80 avec sa bande son géniale qui me donne envie de m'acheter un bandeau frontal et un kimono et d'aller m'entrainer seul et pieds nus dans la forêt

Guigz a écrit :Et puis, la série est aussi un hommage aux années 80 avec sa bande son géniale qui me donne envie de m'acheter un bandeau frontal et un kimono et d'aller m'entrainer seul et pieds nus dans la forêt

Avec ton Sensei qui garde un oeil sur toi

Ca y est, j'ai fini la saison 2 de Cobra Kai. Je suis toujours admirative devant les petits moments de poésie qui parsèment les épisodes ça et là, c'est tout simple et en même temps, c'est réconfortant:

La série continue de frapper "juste" sinon avec de final :

Bon et sinon l'épisode

Vu le premier épisode de The Third Day avec Jude Law qui se retrouve sur une petite île mystérieuse à la Wicker Man...
Je crois que pour le moment, la série coche absolument TOUTES les cases attendues d'une histoire de ce genre mais c'est vachement bien fait.

The third day me tente vraiment beaucoup.

J'ai commencé Ted Lasso avec Jason Sudeikis qui joue un entraineur de football américain qui est recruté pour prendre en main une équipe de football (soccer) de premiere league.
Je n'ai vu que deux épisodes mais pour le moment, c'est assez drôle.

Pareil pour the Third Day, il me tente bien.

De mon côté je suis à la moitié de Dispatches from Elsewhere, sur Amaron Prime Video, et je n'arrive pas à déterminer si c'est très convenu ou au contraire très original. Une chose est sûre, j'accroche : on est peut être loin d'un lâcher-prise surréaliste dedans mais finalement cela convient au propos de la série : savoir trouver les touches de poésie et d'imagination qui peuplent le quotidien.
Jason Segel est juste parfait dans le rôle de l'homme ordinaire qui n'a pas grand chose à dire mais en même temps est bienveillant et positif tout en laissant de plus en plus ressortir l'enfant en lui. Ses intéractions avec Simone touchent vraiment juste et cela fait plaisir à voir.

Ca fait deux mois que j'hésite à le lancer.

Au rapport !

Terminé Young Wallander sur Netflix, bien sympa. Enfin, sympa, vu l'ambiance...
Et j'ai entamé... Ballers, la série où Dwayne Johnson joue un ancien joueur de NFL devenu conseiller financier pour sportifs.

Bon choix pour Ballers !!
j'ai vraiment bien aimé la série (moins la dernière saison).

C'est pas mal pour décompresser.
Et ça permet de découvrir John David Washington sur un mode moins sérieux que dans ses films.

J'ai aussi avalé la saison 2 de Criminal UK, avec notamment un "Raj" (Kunal Nayyar) méconnaissable.

En ce moment, Arte TV propose pendant quelques mois le visionnage de quelques séries britanniques qui datent d'il y a quelques années mais sont restées inédites en France.

Je recommande particulièrement Inside n°9, anthologie composée d'épisodes de 30 minutes dont chaque histoire se déroule dans un lieu portant le numéro 9. Un mélange d'humour noir, d'épouvante, parfois de drame social...

Stag est une mini-série en trois épisodes très sympa (humoir noir aussi) sur un enterrement de vie de garçons dans un quoi perdu d'Écosse où les convives se font assassinés les uns après les autres.

J'ai fini Dispatches from Elsewhere et je reste sur mon appréciation positive de la série. Je ne sais pas forcément qualifier le visionnage mais les épisodes font la part belle aux émotions en général et ça fait du bien. Des petites métaphores bien amenées et maîtrisées, un très beau propos et un épisode final déroutant et intéressant.
Les personnes tout autant une expérience via ce jeu auquel ils participent que nous, spectateurs, à les regarder.

Fini également la S2 de The Boys et je suis toujours autant ébahie du jeu d'acteur d'Anthony Starr/Homelander. Une deuxième saison qui se déguste, fait plaisir avec des petits caméos, arrive à ne pas s'auto parodier et garde ce ton grinçant et cynique faisant froid dans le dos. Pas la peine d'en rajouter des caisses pour faire le rapport avec l'actualité. Une série avec énormément de force et de punch, qui donne aussi toujours autant d'espace à ses personnages pour qu'ils puissent s'exprimer, ego surdémesurés ou non.

J'ai commencé The Haunting of Bly Manor, et si l'atmosphère y est un poil moins oppressante pour moi que la première saison, j'adore le jeu des acteurs (les deux enfants sont bluffants, et j'adore l'intendante )

Idem.

Commencé hier soir et même (bonnes) impressions.

J'ai vu les trois épisodes sortis pour le moment de The Right Stuff/L'étoffe des héros, la nouvelle adaptation made in Disney/National Geographic du livre qui avait donné le film du même nom dans les années 80.
On retrouve des têtes connues - "Mike" de Suits, "Nathan" de Tree Hill - mais passé le premier épisode, c'est un peu mou pour le moment, même si la série ne fait pas l'impasse sur les défauts de tel ou tel pilote.

Surtout que le film de Kaufman (d'après Tom Wolfe) était super.