Page 17 sur 29

Posté : jeu. 10 nov. 2011 14:11
par Gillossen

Posté : jeu. 10 nov. 2011 20:55
par John Doe
Merci pour l'info !:)

Posté : jeu. 17 nov. 2011 22:57
par claire5988
Merci beaucoup pour cette petite trouvaille!! Je vais me jeter dessus!!!!

Posté : sam. 26 nov. 2011 11:16
par Albéric
Bon je viens de finir le Guerrier Prophète, et si j'en encore du mal a trouver cela sexy parfois, c'est du lourd, du très très lourd ! :coeur:Une œuvre qui va marquer la fantasy de son empreinte et qui j'espère inspirera de nombreux auteurs à l'avenir.Pour moi un 9/10 plus que mérité. J'aurais mis un 10/10 non moins mérité sans hésiter si j'en avais fait un coup de cœur absolu...... Mais il y a 2 ou 3 trucs qui me gênent vraiment aux entournures pour lui mettre la note parfaite.Du coup je suis presque interloqué que ceux qui en ont fait un coup de cœur n'aient pas cédé à la tentation du 10/10 !C'est très sombre, très riche, très dense, très complexe, donc j'enchaîne directement avec le Chant des Sorciers tant que ma mémoire est fraîche, et un avis nettement plus détaillé viendra en temps et en heures prochainement.Une question pour les lecteurs VO :
► Afficher le texte

Posté : sam. 26 nov. 2011 14:47
par Gillossen
De mon point de vue, pas franchement (mais je n'en ai lu qu'un). :)

Posté : sam. 26 nov. 2011 17:33
par Plume
Ravie, Albéric que le livre t'ai plu :coeur:

Posté : sam. 26 nov. 2011 18:33
par Albéric
@ PlumeD'autant plus que c'est le message #303 qui m'a convaincu d'intégrer les tomes 2 & 3 dans ma PAL ! :sifflote:Par Séjénus, Gloire au Guerrier-Prophète ! :) (le livre et le personnage) ;)J'ai été très attentif en cours de lecture mais s'il y a un truc que j'ai pas vraiment pigé c'est :
► Afficher le texte
Si quelqu'un veut bien éclairer ma lanterne, je suis preneur ! :rolleyes:

Posté : sam. 26 nov. 2011 19:15
par Plume
Albéric a écrit :D'autant plus que c'est le message #303 qui m'a convaincu d'intégrer les tomes 2 & 3 dans ma PAL ! :sifflote:
J'en suis d'autant plus heureuse :p

Posté : jeu. 1 déc. 2011 15:15
par Gillossen
2) The Unholy Consult continues to grow, but more slowly than I had hoped. At the moment, things feel forced and wooden, at which point I begin obessessively rewriting. I want this book to crack like a whip, almost too much I sometimes worry. But every book I’ve written (with the exception of Disciple of the Dog) has been a melodrama like this, alternating between inspriration and desperation.
Sur le blog de l'auteur...

Posté : lun. 5 déc. 2011 20:59
par Albéric
Malgré la montée en puissance des enjeux, la confrontation de Kellhus et de Moënghus (qui laisse beaucoup de questions en suspens), le destin tragique rencontré par un grand nombre de personnages, j’ai été beaucoup moins emballé par le 3ème tome.Un petit 8,5/10 pour ce 3ème tome et un 9/10 d’ensemble pour cette 1ère trilogie de très haute qualité mais qui ne plaira pas à tous.On a beaucoup comparé les 2 Canadiens Erickson et Scott Bakker, mais en fait je vois ce dernier comme un chaînon manquant entre Erickson (l’univers sombre, touffu et foisonnant, parfois inutilement car par exemple on cite maintes et maintes fois des personnages qui n’apparaissent au cœur du récit qu’1 ou 2 fois comme Skauras le Chacal du Sud) et un autre Canadien à savoir G. G. Kay (pour le traitement psychologique de ses personnages).Les qualités : :)* Un GROS travail sur l’univers dans sa longueur, sa largeur et sa profondeur. On est initialement étourdi par la profusion de pays, de peuples, de cultures, d’écoles de magies avec chacun leur histoire millénaire et leurs intérêts divergents. Bon parfois quand Scott Bakker parle de magie, on a l’impression de suivre un cours universitaire de philo ou de maths… mais c’est par trop grave ! Par contre dès qu’on touche de près ou loin à la Consulte on navigue dans la science-fiction pour le meilleur et pour le pire (l’avenir tranchera).* L’auteur est passionné par son sujet : la Guerre Sainte est un décalque de la 1ère croisade !Inrithi = Chrétiens (INRI = Iesus Nazarenus Rex Iudaeorum = Jésus le Nazaréen, roi des Juifs), Fanims = Musulmans, Scyvendis = Mongols, Nansur = Byzantins, Mengedda = Nicée ; Carathay = désert intérieur de l’Anatolie, Carascande = Antioche, Xérash = côté levantine, Shimeh = Jérusalem… Même dans le déroulement des événements avec Croisade Vulgaire et Croisade des Grands Noms le parallèle est totalement évident. Instinctivement, j’ai écouté la BO de Kingdom of Heaven en lisant le livre avant même de faire le lien.D’ailleurs je l’ai associé par la suite à celle de The Eagle et le Cartographer de Posthumus pour essayer de ne pas trop penser au film.* Scénaristiquement, même sans la menace de la Seconde Apocalypse et de la Consulte, c’est très riche avec de nombreuses ambitions personnelles associées aux tiraillements intérieurs de personnages hauts en couleurs, les projets politiques des grandes nations, les guerres de religions, les conflits entre écoles de sorcellerie… qui ne sont tous que des pions dans la paume de la main des Dunyains qui se la jouent bene gesserit (les lecteurs de Dune me comprendront avec les plans à l’intérieur des plans).* Le personnage énigmatique de Kellhus qui à l’image du personnage de Dexter passe son temps à observer et à analyser le comportement des gens, commentant chacun des faits et gestes trahissent leurs sentiments et calculant froidement chacune de ses actions et de ses réactions pour mieux les manipuler… est fascinant bien qu’on ne puisse guère éprouver d’empathie pour lui.Les défauts : :mellow:* C’est assez sexiste (or je sais qu’il y a beaucoup d’elbakiniens/elbakiniennes sensibles au traitement des personnages féminins).Certes le monde secondaire créé par de Scott Bakker est rude, violent et cru, mais il y avait la place pour un personnage féminin qui ne soit ni incesteux, ni infanticide, ni prostituée de bas ou de haut étage…Cette place dévolue à la condition féminine n’est pas vraiment gênante en soi, mais au vu du talent de l’auteur pour dépeindre tout une galerie de personnages masculins très divers cette vision paraît un peu monolithique…C’est d’autant plus dommage que dans son modèle historique (le temps des croisades), il y a toute une série de fortes personnalités féminines qui ne relèvent pas du tout de cet esclavage sexuel.* C’est verbeux. L’auteur s’épanouit dans les réflexions psychologiques ou philosophiques qu’il maîtrise parfaitement (un doctorat universitaire sur le sujet cela aide un peu) et qu’il a placées au cœur de l’intrigue.C’est assez symptomatique qu’à chaque tome il faut attendre plus de 200 pages pour vraiment entrer dedans, d’autant plus qu’à chaque chapitre citations et paragraphes d’en-tête obligent à se concentrer avant de replonger.Le ressentiment de Cnaïur, les doutes d’Achamian, les remords d’Esmet, les manipulations de Kellhus s’étendent sur des pages et des pages… Cela approfondit magnifiquement les personnages mais c’est frustrant de se taper des chapitres entiers de pensées intimistes ou de réflexions philosophiques avant de voir les choses avancer…* C’est froid. L’auteur n’est pas toujours à l’aise dans les scènes d’action. Sa plume est très riche sinon capiteuse et il ne lui faut pas beaucoup de mot pour dépeindre richement une scène, mais c’est plus fort que lui, l’ellipse est souvent de rigueur. Ainsi tous les affrontements magiques, pourtant assez évocateurs et censément impressionnants n’arrivent pas vraiment à emballer le lecteur car ils se déroulent toujours de la même façon.De manière générale, dans la plupart des moments épiques on a l’impression de lire une chronique. On nous narre froidement les événements de l’extérieur donc on peine à trembler pour la Guerre Sainte et ses protagonistes.- un leader va défendre coûte que coûte la bannière de la Guerre Sainte contre la charge de la cavalerie d’élite ennemie… et bien non on a droit à une ellipse et quelques mots nous évoquant « une défense miraculeuse » et « une montagnes de corps » !- un groupe d’assassins inhumains traquent le héros durant de nombreux chapitres, la confrontation s’annonce sanglante…et bien non on a droit à quelques lignes suggérant rien de plus que des bruits de coups dans le noir !- les croisés sont perdus à moins d’une dernière chevauchée signifiant la victoire ou la mort…et bien non on a droit à un résumé à la 3ème personne de la charge et de la victoire desdits chevaliers sans aucune immersion dans lesdits événements…
► Afficher le texte
Les exemples sont légions… L’auteur est capable de fulgurances mais qui peinent à émerger lors des moments clés.Ainsi des personnages emblématiques nous quittent en 1 page, 1 paragraphe ou 1 ligne… :ph34r:Sans parler de Xérius Conphas, très présent dans le 1er tome qui disparaît totalement ensuiteSans parler de Saubon très présent dans le 2ème tome qui disparaît totalement dans le 3ème tome…L’auteur est-il un Dunyain pour décrire aussi froidement le destin de ses héros ?Ou ne sont-ils là que pour servir ses desseins ? (ceux de Kellhus ou ceux de l’auteur ?)C'est excellemment bien écrit, réfléchi et construit ! Un auteur pas facile d'accès mais qui assurément gagne à être connu et lu ! :)EDIT 19/12/11 : et bravo au traducteur, cela devait pas être de la tarte de bien rendre le style de l'auteur en français ! :) :) :)

Posté : mar. 6 déc. 2011 11:06
par holybout
Dans les points négatifs, j'ajouterais que justement la richesse du récit, des factions et du monde en général est un peu gâché par une impression brouillonne. Oui, y'a pleins de factions, mais dans le fond, je me suis régulièrement trouvé perdu au sein du shmilblick, même à la fin de la première trilogie.

Posté : mar. 6 déc. 2011 17:00
par Gillossen
Albéric a écrit :* C’est assez sexiste (or je sais qu’il y a beaucoup d’elbakiniens/elbakiniennes sensibles au traitement des personnages féminins).Certes le monde secondaire créé par de Scott Bakker est rude, violent et cru, mais il y avait la place pour un personnage féminin qui ne soit ni incesteux, ni infanticide, ni prostituée de bas ou de haut étage…Cette place dévolue à la condition féminine n’est pas vraiment gênante en soi, mais au vu du talent de l’auteur pour dépeindre tout une galerie de personnages masculins très divers cette vision paraît un peu monolithique…C’est d’autant plus dommage que dans son modèle historique (le temps des croisades), il y a toute une série de fortes personnalités féminines qui ne relèvent pas du tout de cet esclavage sexuel.
Extrait de l'une des interviews sur le site :
Vos personnages féminins sont vraiment forts, quelque chose de pas si habituel dans le merveilleux monde « testostéroné » de la fantasy. Etait-ce quelque chose de voulu dès le départ, ou est-ce que cela a pris corps lors de l’élaboration de votre univers ? Eh bien, je suis content que quelqu’un dans le coin soit de cet avis ! Comme vous le savez probablement, j’en ai vraiment vu de toutes les couleurs à ce sujet. C’était délibéré depuis le début. Etant donné que je ne suis pas sensible à l’idéalisation sentimentale, j’ai voulu créer un monde pré-moderne avec toute la laideur et la brutalité réelle. Et, en tant que tel, les gens ne voient pas au-delà des limitations de leur contexte, qu’ils peuvent à peine thématiser, encore moins critiquer. Alors plutôt que d’attribuer des organes génitaux féminins à un personnage masculin, j’ai voulu faire le portrait de personnages femmes que vous pouvez raisonnablement attendre dans une armée pré-moderne - des suiveuses - et chroniquer leur apparente montée vers le pouvoir via Kellhus, qui est évidemment un code secret pour la modernité.
Et j'ai toujours vu l'auteur s'en défendre en tout cas. :)

Posté : mar. 6 déc. 2011 20:04
par Albéric
@ GillossenJe sais pas si je me suis bien exprimé, c'est pas l'auteur qui est sexiste mais l'univers qu'il a créé.Alors oui, dans une campagne militaire les personnages féminins sont forcément des suiveuses... C'est donc cohérent.Mais du coup était-on obligé de faire de l'impératrice-mère du Nansurium, seul personnage féminin qui ne pratique pas le plus vieux métier du monde, un garce narcissique et incestueuse qui ne vient pas dépareiller le tableau ?Toutefois cela n'enlève rien à la forte personnalité desdits personnages féminins.@ holybout
Dans les points négatifs, j'ajouterais que justement la richesse du récit, des factions et du monde en général est un peu gâché par une impression brouillonne. Oui, y'a pleins de factions, mais dans le fond, je me suis régulièrement trouvé perdu au sein du shmilblick, même à la fin de la première trilogie.
Je l'avais dénoté d'entrée mais je ne l'avais pas suffisamment souligné.Touffu et dense oui, brouillon pas vraiment... Au final on arrive à reconstruire l'échiquier des forces en puissances, même si tous les cauchemars d'Achamian qui narrent la 1ère Apocalypse viennent encore complexifier l'univers et la façon dont il est décrit.Pas contre tous ces personnages qui sont interviennent directement ou indirectement plusieurs fois alors qu'on ne zoom jamais sur eux, leurs apparence ou leur personnalité, n'aident pas à bien visualiser qui est qui et qui fait quoi et pourquoi...

Posté : mer. 7 déc. 2011 13:50
par Gillossen
Oui, personnellement, les romans ne m'ont pas paru brouillons. Mais il est vrai qu'on ne peut pas lire 50 pages, poser le roman dans un coin et espérer le reprendre comme tant d'autres. :)

Posté : mer. 7 déc. 2011 14:06
par Albéric
C'est très dense, donc oui vaut mieux ne pas hacher la lecture en cours de tome et vaut mieux ne pas trop laisser de temps s'écouler entre les tomes sous peine de ne plus rien comprendre du tout.Car même avec une lecture continue et attentive, faut s'accrocher quand même pour tout bien calculer.Non, ce n'est pas du tout brouillon. C'est trop construit, pensé et réfléchi pour l'être.Mais c'est une œuvre définitivement assez exigeante pour le lecteur.

Posté : jeu. 8 déc. 2011 16:34
par Viram L'Elan
Bonjour à tous ! Je viens tout juste de terminer Le Prince du Néant et je dois vous avouer que Bakker a gagné depuis quelques semaines un fan de plus ! Pour ma part, j'ai trouvé la lecture bien que ardue de prime abord, très agréable par la suite, une fois que l'on a intégré les éléments essentiels. Les passages guerriers sont très bien écrits à mon avis, je trouve ça pertinent de passer à une vue d'ensemble plutôt que de suivre un ou plusieurs personnages continuellement et de compter le nombre de coup d'épée et d'ennemis occis. Certains personnages meurent en deux lignes mais après tout, la vie est ainsi, on peut être en grand héros et périr jusque car notre destrier a eu peur au mauvais moment ! La philosophie est très intéressante et est une part importante du roman, il ne pouvait vraisemblablement pas l’éclipser ou la minimiser à mon avis. Il faut la prendre comme un personnage à part entière du roman. Vis à vis des femmes, je suis d'accord, il aurait très bien pu faire en sorte d'en avoir au moins une exempt de vice, mais au final malgré leurs vices elles se révèlent être tout aussi fortes voire plus que d'autres personnages masculins. (Esmenet, Istriya, Serwë comptent bien plus pour l'histoire que Gothyelk non ?).Les défauts ? Déjà tout ce qui me semble être des qualités peut s'avérer être des défauts pour d'autres, en quête d'un livre facilement abordable, rapide et efficace (non pas modéré voire lent, et en contrepartie très très efficace). La profusion de personnages secondaires est plutôt difficile à intégrer (surtout quand ils ont des noms très proches comme Werjau et Werijen) mais d'un autre côté n'avoir que des anonymes à côté des personnages les plus important aurait rendu l'armée moins concrète. Il m'a aussi semblé que le troisième livre était effectivement un peu moins captivant surtout dans le premier tiers, surtout après la folie du Guerrier Prophète.
► Afficher le texte
@ Albéric
Inrithi = Chrétiens (INRI = Iesus Nazarenus Rex Iudaeorum = Jésus le Nazaréen, roi des Juifs), Fanims = Musulmans, Scyvendis = Mongols, Nansur = Byzantins, Mengedda = Nicée ; Carathay = désert intérieur de l’Anatolie, Carascande = Antioche, Xérash = côté levantine, Shimeh = Jérusalem… Même dans le déroulement des événements avec Croisade Vulgaire et Croisade des Grands Noms le parallèle est totalement évident.
Je me suis douté dès le début qu'il y avait un parallèle historique mais je n'aurais pas su dire quoi, merci pour ces informations !Pour conclure : cette trilogie m'a semblé presque parfaite, je lui donnerais un 9,5/10 ! Mon expérience dans la Fantasy étant moindre, peut-être suis-je biaisé, mais il me semble que c'est une œuvre incontournable, que tout le monde ne peut aimer car assez difficile malgré tout... J'en imagine déjà beaucoup se perdre dans la foison de détails, comme je me suis moi-même plusieurs fois perdu, mais j'encourage tout le monde à s'accrocher car ça en vaut vraiment la peine ! A quand la suite ?!

Posté : lun. 9 janv. 2012 21:41
par Navym
Et un up pour signaler que l'auteur nous donne encore un os à ronger.Et il s'explique là-dessus ici.EDIT : Nul besoin de dire que ça spoile grave en un sens. D''ailleurs il spoil pas mal, depuis sa dernière interview, le sieur Bakker.

Posté : sam. 14 janv. 2012 21:02
par Lews Therin
Fini cette trilogie du Prince du Néant. De bons moments de lecture dans l'ensemble (notamment le tome2 qui est vraiment de bonne facture) mais avec quand même des imperfections.J'ai notamment trouvé le dernier tome un peu lourdingue dans le style et hyper confus. La dernière bataille c'est un peu n'importe quoi : on ne sait plus quel camps taille l'autre, c'est très confus.Je suis un peu aussi déçu que la consulte ne joue pas un rôle plus grand dans ce 3ème tome. Je m'attendais à autre chose mais j'imagine que ça sera pour une seconde trilogie ?J'ai également pas trouvé très claire la conclusion concernant l'arc narratif de
► Afficher le texte
.Les personnages sont par contre sublimement mis en scène. Achamian est clairement mon chouchou notamment à la lecture des toutes dernières lignes du 3ème tome.

Posté : lun. 16 janv. 2012 12:12
par Atanaheim
L'aspect confus de cette bataille est indéniable. Cela dit je pense qu'il est volontaire. A mon avis les généraux devaient pas mal galérer à déterminer précisément ce qui se passait en bas depuis le sommet de leur colline.Poussière, tumulte, confusion, etc. Comment jugez de l'état d'esprit d'une cohorte quand on y est pas alors que le moral est un facteur de victoire crucial, etc.N'est pas Parménion qui veut :DPour te répondre sur ce que tu as mis en balise spoil, voici ce que je dirais, de mémoire, sachant que j'ai lu le livre il y a pas mal de temps :
► Afficher le texte

Posté : lun. 16 janv. 2012 18:42
par Navym
Atanaheim a écrit :
► Afficher le texte
Moi je pense que non. Tout semble se passer comme prévu, certes. Jusqu'à ce que
► Afficher le texte