Posté : mer. 12 janv. 2011 21:10
Et pourtant, je ne croit pas qu'un quelconque contrat (moral ou juridique) existe en l'artiste et nous (mais bon c'est mon point de vueverseb a écrit :Dis donc GRR Martin soulève les passions ! ;-)Moi je trouve qu'il y a un peu du vrai dans ce que vous dites tous les deux :Juridiquement, c'est évident. Vous ne pourrez pas trainer un auteur sous prétexe qu'il n'a pas fini votre oeuvre préférée ( même aux USA, pays des procés bizarres, vous ne gagneriez pas) ;-). Par contre, je parlerai plutôt d'une sorte de contrat moral.Acheter un livre n'engage par l'écrivain à finir ce qu'il a commencéIl peut mais ça s'en ressent sur le travail...;-). Mais je vois où tu veux en venir : l'inspiration, les idées ne se commandent pas ou ne se décretent pas. Si l'auteur est frappé par la malédiction de la page blanche, il ne pourra rien y faire hormis s'il veut bacler son boulot et mettre n'importe quoi. Martin n'est pas de ceux là je pense. Il a surtout eu du mal à réorganiser ses romans.Aprés il est vrai que les nombreux retards, faux espoirs et compagnie ont légitimement un peu fait monter l'exaspération...un artiste ne travaille pas "sur commande

