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Merci pour la critique, j'aime bien le genre "capes et épées" d'habitude, alors j'irai peut-être voir celui-là de plus près... mais quand ma pile de livres à lire sera moins haute

Le meilleur Pevel pour moi!J'avais bien aimé Viktoria 91, adoré Wielstadt et Ambremer mais avec Les lames du cardinal, je trouve que Pevel vient de passer un palier. Après un début assez long (vu la taille du roman), où l'auteur nous présente les différents héros, l'histoire se lance véritablement et atteint des sommets de fun. Du Dumas survitaminé, avec des complots, des intrigues passionnantes, des persos tous plus réussis les uns que les autres, des combats, ...Et puis il y a cette fin... Hum HumLa suite?Réponse de l'auteur: " Mon éditeur l'aimerait pour octobre!".1 an donc! C'est long un an!Zedd

Vraiment ? :)Pour le moment, je trouve ça moins abouti qu'un Wielstadt. :)Notre interview arrive bientôt, j'espère !

Et la voici !:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/Not ... erre-Pevel

Et merci pour l'interview . Pas coopérant le Monsieur, il refuse de nous livrer le moindre spoiler . Quelqu'un appréciant le XVIIe comme lui ne pouvant être foncièrement mauvais, et les différents avis étant très positifs, ce sera ma prochaine lecture.

Interview très sympa.Il faudra que je lise quelque chose de lui, un jour.Sered

Merci pour l'interview. Si je comprends bien, on peut s'attendre à de nombreuses suites à ces Lames du Cardinal, s'il veut en faire toute une série.

Merci pour l'interview et la critique. Etant très fan de Pevel (et, comme Sylvaner, préférant le Paris des Merveilles à Wielstadt), et d'ailleurs de Dumas, je vais me précipiter à la médiathèque pour réclamer cette dernière oeuvre !

Concernant les jeux de rôle, je faisais allusion à ce qu'il avait pu dire à ActuSF il y a de cela plusieurs années maintenant.

Nous : Est-ce que la passerelle entre le jeu de rôle et l'écriture de roman est facile ?Pierre Pevel : Oui et non. Lorsque j'ai développé l'univers des Ombres de Wielstadt, je n'avais pas encore d'idée de l'intrigue, mais je voulais que ce soit riche, cohérent et que le roman tienne sur ses fondations. Cette partie du travail était à peu près le même que lorsque j'imaginais un univers pour un jeu. Par contre avec le roman, il y a des écueils à éviter comme par exemple donner l'impression de raconter une partie de jeu de rôle. La grande différence, c'est que dans un roman, on peut se permettre plus de choses. On a moins d'obligation comme celle d'avoir les héros toujours au centre de l'action. On peut montrer l'adversaire à l'œuvre…Nous : C'est plus de liberté ?Pierre Pevel : Oui je crois. C'est surtout une technique narrative complètement différente. Il faut se mettre dans la peau d'un scénariste de cinéma qui doit raconter une histoire conçue pour un spectateur omniscient, pouvant voir les tenants et les aboutissants de l'intrigue. Un scénariste de jeux de rôle doit se cantonner aux points de vue des héros. Dans le jeu de rôle, le joueur est acteur. Dans un roman, le lecteur est un spectateur. Son plaisir peut être de voir comment le personnage principal va résoudre une intrigue ou trouver l'assassin tout en sachant qui est le méchant de l'affaire...

Il faudra que je lui fasse passer le message, je ne voudrais pas qu'il l'ait mal pris.

Merci pour l'interview!Très intéressante comme toujours!Zedd

Merci pour l'interview !Pas de spoilers, mais quand il compare son roman au pilote d'une série, à mon avis il dit à demi-mot qu'il ne sait pas du tout ou l'épilogue nous mène ... ;-)

Merci pour cette retranscription d'interview enrichissante. J'aime bien sa comparaison entre la différence de mentalité des jeux de rôle et des romans. Je la trouve très pertinente.

Merci bien, oui !Je n'ai lu que Wielstatd. Mais la tentation est bien grande de retrouver à nouveau cette plume.En parlant de plume. Il dit ne pas improviser. Quand je vois Wielstadt, je dis chapeau, il a un cerveau bien construit pout tout prévoir d'avance (quoique d'une certaine manière ce soit obligatoire tant l'intrigue est ficelée).

J'ai enfin pu lire la critique, lue après avoir acheté et lu le livre de mon côté -une fois n'est pas coutume, et l'interview. Cette dernière ne manque pas d'intérêt malgré le côté un peu lapidaire parfois. Merci, donc !Pour la critique, je suis d'accord sur nombre de points (la lenteur du début par exemple) et me retrouve totalement dans l'avis de Sylvaner : style je trouve parfois un peu forcé , personnages caricaturaux, c'est forcément les plus meilleurs et on ne peut pas dire qu'ils semblent beaucoup s'entraîner pour cela, quelques guest stars amusantes pour le clin d'oeil, etc. De plus, certains fils d'intrigues étaient tout de même passablement gros, de mon point de vue : , etc. Du coup, personnellement je n'ai pas été emballée : j'ai lu en plusieurs fois, les présentations "interminables" ne m'ont pas aidée à rentrer dedans, d'autant que la plupart des personnes m'ont laissée assez de marbre : Agnès, le beau gosse, le capitaine... Où se trouve leur soupçon d'originalité ? Dans ce qui est décrit, je n'aipas trouvé de quoi leur donner de l'épaisseur ou m'inquiéter pour eux (?). Mon intérêt est monté quand j'ai cru . Bref, j'ai passé un moment sympathique mais sans enthousiasme débordant et me suis retrouvée un peu déçue de ne pas retrouver la gouaille, la folie, la fraicheur ou la course échevelée des Trois Mousquetaires de Dumas, finalement plus "magique". Peut-être attendais-je trop de ce livre, ou attendais-je "à côté" ? Car ce n'est surement pas un mauvais livre, juste que je pensais y trouver autre chose, de plus "dumasien". Mais Dumas est Dumas, et Pevel est Pevel et son Paris avec ses loges ne manque pas d'attraits -aussi jetterai-je plus qu'un oeil à l'annonce de la suite...

Lu aussi pour ma part, et ce que j'en retiens c'est de la frustration.Le livre, tout d'abord, est vraiment trop court. Une fois passé le looong moment des présentations, tout va vraiment très vite et on se retrouve à la fin avec l'impression de n'avoir eu droit qu'aux hors-d'oeuvres. Les personnages sont assez caricaturaux, malheureusement peu développés, La Fargue est très peu présent, Saint-Lucq relève quand même le niveau.L'intrigue se révèle au final assez simple, et bien moins complexe que ce qui pouvait être présagé.Enfin, les très nombreuses indications historiques sur Paris, ses rues et bâtiments m'ont frustrés au possible, car n'habitant pas Paris je n'avais vraiment aucune idée de ce à quoi cela faisait référence, et me donnait vraiment l'impression de passer à côté de quelque chose.Ce livre se ressent donc comme une longue introduction à une future série (tout comme l'explique d'ailleurs Pevel dans son interview). J'ai toutefois apprécié ma lecture malgré ces nombreux bémols, et j'espère que les tomes suivants seront plus consistants et plus ambitieux.

J'ai lu ce livre il y a qques semaines et j'ai adoré. J'aime bien cette vision des . Et puis cette compagnie de brisquards est très sympathique.Bon il est vrai que les présentations des différents personnages sont un peu longues et parfois répétitives mais au moins, on a l'impression de les connaître depuis un petit moment.J'aime bien l'écriture de Pevel, l'histoire qu'il a imaginé ...par contre, c'est pas bien du tout de faire une fin comme celle-ci, l'attente pour lire la suite est insoutenable

Heureusement que la fantasy française a un Pierre Pevel !Et pourtant, j'ai eu peur, après disons les 50 premières pages. Je ne m'étais toujours pas fait à ces changements de points de vue en plein chapitre, à ces rencontres/rebondissements qui s'enchaînaient trop bien... Et rien que la première phrase. Elle a failli me faire sortir directement du roman !Mais j'ai retrouvé ensuite tout ce que j'avais adoré dans Wielstadt, avec encore plus de questions sans réponse en tête, si c'est possible. Je suis le seul à ?

Perrin a écrit :J'avoue que j'aurais volontiers préféré une quatrième aventure de Kantz, mais j'ai hâte de découvrir de quoi il retourne !

en effet, je n'ai cessé d'espérer un tome 4, car il y avait matière à poursuivre l'aventure et la réflexion. Mais je suis très heureuse de savoir que Pevel coninue d'écrire et qu'on aura autre chose à se mettre sous la dent

Je viens de finir ce volume picaresque de Pierre Pevel, et le passage de l'austère Allemagne au flamboyant temps des mousquetaires a bien illsutré la capacité d'adaptation de Pierre Pevel. L'ambiance de l'époque est ainsi très bien retranscrite avec ses avantages mais aussi ses nombreux défauts- et notamment des descriptions de Paris aussi instructives que réalistes!L'histoire se construit pas à pas avec beaucoup de brouillard au début et une éclaircie au final qui relève uen grande partie des tenants et aboutissants. Cependant, j'ai aussi été déçu de la "simplicité" de l'itnrigue qui promettait quelque chose de plus compelxe et de plus tordu. Au final, les buts poursuivis par la Griffe Noire n'ont pas été complètmeent expliqués. Je pense, au vu de certains éléments en suspens, que'une suite va bientôt boir le jour, y compris au regard de la dernière phrase du roman.Les héros sont haut en couleur et bien réussis dans leurs caractères respectifs. Certes, ils sont stéréotypés avec de nombreux exemples dans la littérature, mais cette exagération est en me^me temps le propre de l'époque de Richelieu où les "gasconades" sont légions.Bravo pour le résultat accompli, en espérant un novueua volume prochainement.

Grande nouvelle ! :arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/706 ... AngleterreEt sympathique petite exclu pour nous.