Posté : ven. 9 août 2013 13:31
Message de la modérationMilieuterrien a pris un carton rouge virtuel, la réponse tardera, merci de laisser le cochon tranquille. (fan de maître Cappello Gwendal ?)
Ok pas de problèmeForadan a écrit :Message de la modérationMilieuterrien a pris un carton rouge virtuel, la réponse tardera, merci de laisser le cochon tranquille. (fan de maître Cappello Gwendal ?)
J'ai reconnu la référence, alors on se calme sur mes artères à moi qui vont très bienGwendal a écrit :Ok pas de problèmeForadan a écrit :Message de la modérationMilieuterrien a pris un carton rouge virtuel, la réponse tardera, merci de laisser le cochon tranquille. (fan de maître Cappello Gwendal ?)Et oui pour maître Capello, ce qui en dit long sur l'age de mes artères
C'est n'importe quoi, on se demande bien d'où est sorti cet « exemple ». Au lieu de débiter des absurdités, lit la conférence de Tolkien (et pas uniquement les commentaires à son sujet), puis vient donner ton avis sur ce que tu en comprends.Milieuterrien a écrit :3) Pour Tolkien, les liens entre Arda (monde 'secondaire') et le monde réel ('primaire') sont soit des représentations fidèles.. soit des allégories.Ce qui fait que lorsque la correspondance avec le monde réel n'est pas assurée, l'issue de secours, c'est l'allégorie : par exemple, les orques sont une allégorie de déchéance.
Cf. supra. Bis repetita non placent.Milieuterrien a écrit :Ce qui est un peu dommage c'est que dans ces cas-là, Tolkien semble avoir oublié de se souvenir que les ruptures de cohérence de Lewis Carroll pouvaient AUSSI avoir à voir avec des 'allégories', et que le monde de Lewis Carroll n'était évidemment pas dépourvu de liens avec le monde réel.
Pour Tolkien, les histoires sont avant tout des histoires et doivent être appréciées en fonction de ce qu'elles sont intrinsèquement et pas des éventuelles informations externes qu'elles peuvent apporter. C'est même l'argument principal de sa conférence sur Beowulf — un autre texte qu'on pourrait accuser d'escapisme, vu qu'il n'y a ni Grendel ni dragon dans le monde réel. S'il n'y a que l'allégorie qui t'intéresse, effectivement, c'est compréhensible que tu sois insensible aux arguments et aux histoires élaborés par Tolkien.Quant à Morgoth, à Gandalf et au Balrog, c'est un fort mauvais exemple : dans une perspective chrétienne, Morgoth est évidemment Satan, tandis que Gandalf et le Balrog peuvent clairement évoquer St. Michel et le dragon.Pour le reste, les objections ont déjà été faites par d'autres.Milieuterrien a écrit :Pour dire les choses en une seule image : Morgoth=Morgoth est une proposition logiquement exacte, mais qui n'établit aucunement l'existence d'un Morgoth dans le monde réel. Dans un monde fictif les relations peuvent être en apparence parfaitement conformes aux modalités usuelles de la logique du monde réel : 'Gandalf tue le Balrog donc le Balrog est mort et ne réapparaît plus dans les âges suivants', est chronologiquement cohérent, mais cette propriété ne donne à cette assertion rigoureusement aucune validité cognitive dès lors que dans le monde réel n'existent ni Gandalf ni Balrog.
Les échanges sont donc interrompus et ce sujet sera sans doute bientôt transféré puisqu'il concerne la fantasy en globalité et non spécifiquement Tolkien (et il sera sans doute le doublon d'autres et anciennes suite de message sur ce vieux thème de la fuite du réel).Foradan a écrit: Message de la modérationMilieuterrien a pris un carton rouge virtuel, la réponse tardera, merci de laisser le cochon tranquille. (fan de maître Cappello Gwendal ?)