


Praise the sun. Today our blacksmiths return to the world of Seven Deadly Sins / Nanatsu no Taizai to make Lord Escanor’s Divine Axe Rhitta
Pour moi, l'un ne va pas sans l'autre.Pour moi, c'est la construction du premier segment qui donne l'accélération/intensité du second. Par exemple, le personnage d'Escanor est mis en valeur surtout par la mise en place fait sur certains personnages avant.Pour ce qui est du rythme calqué sur la première série, c'est un peu dû au fait que la série animé adapte un manga en prépublication qui fait redescendre la pression après une résolution d'arc. C'est un peu mécanique mais c'est dû à une véritable sérialisation.Gillossen a écrit :C'est assez étrange cette dichotomie. Bon, en revanche, c'est fou comme certains trucs sont ultra-bateau et dans le même temps, l'auteur crée un perso comme Escanor, qui a vraiment une présence de fou.
Difficile de gérer un groupe de personnage assez important et de rendre leur développement intéressant en combinant leur popularité respective et les choix de l'auteur dans son scénario.Pour moi, l'arc de Ban a eu le mérite de développer Jericho mais c'est vrai que c'est du déjà vu et cela prend trop de temps. Pour moi, Ban est le moins intéressant des Péchés Capitaux. C'est le plus classique, en fait.L'arc de diane permet de la développer par rapport à son statut dans sa tribu des géants et non plus uniquement sur ses rapports avec les autres Péchés Capitaux. Après, l'idée de comment elle y atterri est pas forcement la meilleure mais c'est clairement la plus facile a justifiée.Personnellement, je ressens Seven deadly sins comme une série qui se base sur des classiques (qu'on est sensé pas avoir vu 15 fois vu le public cible) mais qui fait quand même l'effort permanent de construire sur le long terme. Un peu comme si l'arc prochain plante ses graines dans l'arc actuel.Je trouve que le tout aurait pu être mieux géré !
Je suis d'accord. En fait, une fois qu'on estPersonnellement, je ressens Seven deadly sins comme une série qui se base sur des classiques (qu'on est sensé pas avoir vu 15 fois vu le public cible) mais qui fait quand même l'effort permanent de construire sur le long terme.
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