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Merci pour ce podcast !Je ne connaissais pas trop de le steampunk et je me suis rendue compte que c'était quelque chose qui me pourrait me plaire. J'ai beaucoup aimé la Nef des fous et ses automates, et enfant j'avais été fascinée par le design de l''aléthiomètre.... Bref, merci pour les idées de lectures ! ( comme si j'en avais pas assez avec les critiques :rolleyes: )

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BonjourMerci pour cet excellent podcast, sur un genre qu'on connaît trop peu; pas mal de références, certaines que je connaissais déjà comme les romans de Mathieu Gaborit, d'autres non, et donc à découvrir.Encore bravo... continuez comme ça !

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Bonjour, j'arrive pas a trouver mais c'était quoi la référence de witch à 1:03:35 avec des dragons sous terre et je sais quoi : banone quelquechose.. ?Chouette podcast en tout cas, bravo !!!

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Ah, j'avais fait une liste des références mais j'ai l'impression qu'elle a été squizzée à la mise en ligne. J'essaie de vous retrouver ça quand j'ai un peu de temps (ce qui est rare en ce moment).

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Premier podcast écouté : ce fut un moment très agréable et instructif.Juste afin d'apporter une toute petite contribution, il me semble que la BD dont vous parlez dans laquelle des poupées à vapeur s'activent est Hauteville-House de Duval, Gioux et Quet.L'histoire de cette BD entre totalement dans l'un des nombreux contextes possibles du Steam-Punk : " 1864. En marge de ses conquêtes et de l'histoire officielle, l'empereur Napoléon III utilise son armée et ses services secrets pour des missions visant à étudier des phénomènes qui relèvent de la métaphysique, des sciences occultes, des légendes populaires.Son but : obtenir la séprématie sur ses principaux rivaux : les Anglais et les Prussiens.A Guernesey, dans les profondeurs de Hauteville House, la demeure de Victor Hugo en exil, une poignée de soldats républicains tentent de contrer les projets impériaux"

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Ben dites donc ça fait vraiment plaisir tous ces retours :applau: :coeur: merci à vous tous Pour le fait que Shadowrun soit ou pas cyberpunk, Wikipédia a l'air plutôt d'accord avec moi mais j'ai peut-être pas été précise (ou trop) Me réécoute pas alors je sais plus c'que j'ai dit :lol:Comptez pas sur moi pour citer des mangas, j'en lis pas :)Et en y réfléchissant si quelqu'un retrouve le nom d'une bd où les personnages découvrent qu'ils vivent sous une voute qui représente le ciel ça m'arrangerait.

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Witch a écrit :Et en y réfléchissant si quelqu'un retrouve le nom d'une bd où les personnages découvrent qu'ils vivent sous une voute qui représente le ciel ça m'arrangerait.
Se pourrait-il que ce soit cela ?

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Qwarrock a écrit :Premier commentaire : Witch : Shadowrun, la partie fantasy n'est absolument pas du cyberpunk. Shadowrun mélange deux genres a la manière d'une compote poire.... tomate (beurk). Le cyberpunk d'un côté et la fantasy de l'autre.
Witch a écrit :Pour le fait que Shadowrun soit ou pas cyberpunk, Wikipédia a l'air plutôt d'accord avec moi mais j'ai peut-être pas été précise (ou trop)
Ah mais Qwarrock ne dit pas que Shadowrun n'est pas cyberpunk. Il dit - et je suis d'accord avec lui - que les mutants, la magie et tout ça ne sont pas des éléments qui sont cyberpunk. Si le jeu est cyberpunk, c'est pour d'autres éléments : tout le côté technologique (et surtout le côté "do it yourself" à ce niveau-là), réseau informatique, bio-techno, etc.Je pense d'ailleurs que le cyberpunk doit être un des seuls genres "punk" qui ait une vraie existence, en plus du steampunk. Le dieselpunk, la gaslamp fantasy et tout ces sous-genres me semblent plus artificiels et dérivés de ces deux courants plus "politiques" et reprennent leurs esthétiques avec quelques petits ajustements sans forcément proposer quelque chose de neuf.

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Un extrait d'une interview de Nicolas Le Breton (auteur des Âmes envolées, aux Moutons électriques) concernant le Steampunk :
Actusf : Comment considérez-vous le steampunk, en tant que genre ?Nicolas Le Breton : Un génial machin multiforme, déjanté et sans queue ni tête, semblerait-il de prime abord. Mais qui dit, au fond, tellement de choses sur notre époque. Nous sommes enfants d’un monde multipolaire, multi-identitaire (n’en déplaise aux abrutis et aux fanatiques). Nous sommes une génération qui a devant ses yeux un accès au passé humain jamais vu jusque là, disposant d’une amplitude de voyages impensable quelques générations auparavant, si l’on y songe. Chaque seconde qui passe est un choix de vie, entre plusieurs identités sociales qui doivent cohabiter, nous tiraillent et pourtant rendent notre vie si riche et intéressante. Il n’y a plus une morale simple et unique, mais des morales diverses qui s’opposent irréductiblement, se chevauchent ou s’ignorent royalement. Une intuition qu’a eu justement Michael Moorcock, dans Seigneur des Airs, une roman proto-steampunk des années 1980. Le steampunk, tel que je le perçois du moins, c’est un pied de nez à tout cela. Mi-ironique, mi-sérieux. Vos certitudes, je les uchronise ! Je les rétrofuturise ! On ne changera peut-être pas le monde, mais on peut le renverser par la pensée, et l’imaginaire. Quant à la littérature, de même, le steampunk est un fourre-tout. Mais d’abord, qu’est-ce qui empêcherait de mêler dans un même roman une intrigue policière et une aventure d’explorateur ? De l’horreur lovecraftienne et des romances décalées ? Tout le monde connaît ces genres séparément, leurs codes, leurs limites, désormais. L’époque appelle le mixeur ! C’est cela qui est génial avec le steampunk… on peut tout mêler ! Faire du papier mâché avec les étiquettes, et tout faire flamber. Le tout étant de le faire avec une certaine hmm… élégance ? Jetons le mot ! Pour moi, le steampunk, c’est une synthèse moqueuse, et pourtant diablement profonde, significative, voilà.