Malheureusement, j'avais lu la quatrième de couverture, aussi ce côté historique m'a permis de trouver un autre angle d'approche afin d'apprécier ce livre.
La Forêt Sombre est différent, les 100/150 premières pages ont plus d'une fois failli me faire abandonner la lecture, trop hermétiques sans que je ne sache vraiment dire en quoi. Sauf que c'est bien écrit et (surtout) bien traduit, alors par automatisme, il est facile de continuer, de s'accrocher. Passé ce premier cap, le roman ne perd pas de son étrangeté mais l'utilise différemment. Une certaine poésie se dégage de certains passages, tantôt de façon brut, naïve, tantôt avec un langage scientifique qui donne une saveur étrange à cette science.
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L'explication du titre arrive tard, extrêmement tard et est juste indescriptible : la mise en scène dans l'écriture, la tension accumulée avec tous les événements, tout ceci nous noie presque dans quelque chose de trop grand non pas pour nous perdre mais pour nous faire comprendre et oui, on comprend.
C'est donc second tome encore plus étrange que le premier, sans concession, extrême de bien des façons dans ses propos, dans les sentiments de ses personnages et dans ses références aussi
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