Elbakin.net

Et il semblerait que Le Codex de Riva sort également en format poche par la même occasion
(Ce volume mythique trouvable à des prix complètement farfelus le la toile... Heureusement que je me suis procurée mon exemplaire à bas prix chez un bouquiniste )

Chouette, mes exemplaires de la Belgariade commencent un peu à tomber en ruine !
Et excellente nouvelle pour le Codex de Riva ! Je l'ai lu il y a longtemps, emprunté à la bibliothèque, mais je serais curieuse d'y jeter à nouveau un oeil.

C'est... vraiment pas génial (pour ne pas dire moche à mon goût )
Je garde mes éditions illustrées par Marc Simonetti, du coup, merci

Ahah, ça m'aura donné l'occasion de découvrir que la Belgariade avait été illustrée non seulement par Marc Simonetti, mais aussi par Didier Graffet, ce que j'ignorais totalement dans un cas comme dans l'autre. Pour ma part j'avais les mémorables couvertures de Siudmak, mais mes poches sont tombés en ruine depuis belle lurette. (la plupart dès la première lecture d'ailleurs)

Cela dit, pas bien sûre de me laisser tenter par cette nouvelle version. C'est un super souvenir de lecture d'adolescence, mais les relire maintenant risquerait peut-être d'écorner plus qu'un peu l'image fraîche et sympathique que j'en garde.

Magnifique !
Quel dommage que la mention "Pocket" gâche complètement la couverture...
C'est une édition qui serait vraiment sublime en collector GF comme ça

Même si je conserve précieusement mon édition grand format du Codex, je me prendrais la version poche dont la couverture claque pas mal

Très joli, j'aime ce style de couverture un peu précieux !

Je n'avais pas acheté le livre à l'époque, pas le budget pour un grand format, mais là même si je suis passée à autre chose depuis, j'ai bien envie de me le prendre

J'hésite vraiment à relire la Belgariade avec cette nouvelle édition : ça reste un bon souvenir de lecture d'adolescent, mais ai-je vraiment envie de risquer de perdre ce souvenir si d'aventure la lecture ne m'emballe plus ?

Après j'ai relu la trilogie Dragonlance d'origine, lue déjà à la même époque que la Belgariade, et ça n'a altéré ni mon plaisir de lecture ni mon souvenir, donc bon...

Gilthanas a écrit :J'hésite vraiment à relire la Belgariade avec cette nouvelle édition : ça reste un bon souvenir de lecture d'adolescent, mais ai-je vraiment envie de risquer de perdre ce souvenir si d'aventure la lecture ne m'emballe plus ?

Après j'ai relu la trilogie Dragonlance d'origine, lue déjà à la même époque que la Belgariade, et ça n'a altéré ni mon plaisir de lecture ni mon souvenir, donc bon...

Honnêtement Gilthanas je le tenterait pas si j'étais toi.

J'avais conseillé la Belgariade à ma copine qui souhaitait se remettre à la lecture de la fantasy après des années sans lectures et elle a vraiment trouvé ça "nul", je suis même pas sûr qu'elle ait fini le 2ème tome. Je suis comme toi j'en ai un bon souvenir en tant qu'adolescent mais en tant qu'adulte je pense que ça va vraiment piquer, l'histoire, l'écriture et les clichés vont abîmer l'image que tu en as.

Et il y a tellement d'autres sagas à lire

Gilthanas a écrit :J'hésite vraiment à relire la Belgariade avec cette nouvelle édition : ça reste un bon souvenir de lecture d'adolescent, mais ai-je vraiment envie de risquer de perdre ce souvenir si d'aventure la lecture ne m'emballe plus ?

Après j'ai relu la trilogie Dragonlance d'origine, lue déjà à la même époque que la Belgariade, et ça n'a altéré ni mon plaisir de lecture ni mon souvenir, donc bon...

Je me fais l'avocat du diable, parce que je relis régulièrement la Belgariade ET la Mallorée Il faut vraiment garder en tête que c'est de la fantasy à la papa, que tous les poncifs et clichés possibles y sont trouvables et que tous les dénouements d'intrigues se voient à des kilomètres.

Mais c'est un vrai plaisir régressif pour moi

la fantasy à la papa

La base !!

Il y a déjà 10 ans j’avais trouvé La Belgariade tellement nulle que j’avais été incapable d’aller plus loin que 2 ou 3 tomes.

Je ne suis pas bien certain qu’Eddings vieillisse très bien pour ma part ????

Ahhh les "soupirs à fendre l'âaaame." C'est tout ce qu'il me reste de la Belgariade.

Ahhh les "soupirs à fendre l'âaaame." C'est tout ce qu'il me reste de la Belgariade.

Aaah de mon côté c'est "Mais pourquoi moi ??"
Répété en long, en large et en travers...

elise a écrit :Aaah de mon côté c'est "Mais pourquoi moi ??" tonguebig_smile
Répété en long, en large et en travers...

Pour les relire aussi de temps en temps, je trouve assez drôle que ce qui marque la majorité des gens soit ce type de phrase alors qu'en vrai ce n'est pas dit tant que ça et que Garion est quand même très trèèèèèès loin de l'auto-apitoiement du pleurnichard de l'Assassin Royal.

Après, effectivement, on parle d'un récit fantasy léger, humoristique, qui a plus ou moins créé par mal de ce qu'on appelle aujourd'hui des clichés. Je trouve dommage que ces ouvrages soient à ce point dénigrés alors qu'ils gardent toujours une saveur particulière à la lecture et qu'on reste malgré tout dans une aventure épique plutôt bien menée, en comparaison de certains récits récents d'une fadeur terrible...

Ah oui, on est vraiment loin de Fitz l'emo ! Garion se pose des questions, tâtonne, mais prend ses responsabilités et tente quelques décisions parfois douteuses - mais au moins il essaie. Il y a de belles scènes tout au long de cette saga qui m'ont marquée, et les différents personnages ont tous la classe quand même

Je trouve la comparaison difficile avec Fitz parce qu’on est pas du tout sur les mêmes types de récit. Chez Hobb y a quand même un côté introspectif très poussé alors que chez Eddings c’est surtout la quête qui est importante.

Et où Hobb prend le temps de développer son personnage principal, quitte à en faire un whinny boy, ce côté là m’a vraiment paru très superficiel dès le départ chez Eddings. Je pense que si aujourd’hui Eddings vieillit si mal (outre l’affaire de l’enfant qu’il a gardé enfermé pendant 1 an chez lui) c’est surtout à cause de ses personnages qui manquent d’une certaine épaisseur et réagissent plus comme des avatars d’un jeu de rôle, plutôt que comme de vrais êtres humains.