Posté : mar. 26 avr. 2011 15:55
http://youtu.be/qSCWZyA-AKQTiens, Sony se lance dans les tablettes... 

DigiTimes Systems a écrit :Quanta Computer aurait en effet reçu une commande de la part d'Amazon pour la production d'environ 700 000 unités de tabletes munies de la technologie d'écrans FFS développée par Hitachi et utiliées par l'iPad par exemple...Lien vers DigiTimes
clubic a écrit :Amazon se lancerait sur le marché des tablettes pour contrer le manque de vente de liseuses Kindle en dehors du marché US. Lien vers Clubic
gdgt.com a écrit :Amazon prévoirait surement d'utiliser Android pour le pilotage de la tablette.Lien vers le blog gdgt.com
ebouqin.fr a écrit :Amazon réfléchirait, aussi, à fournir gracieusement une liseuse dans le cadre d'un abonnement annuel ou de l'achat d'un forfait de livres électroniques. Ceci serait, en effet, bien venu et permettrait un meilleur décollage du média.Cela commencerait avec les clients Premium d'Amazon qui recevraient un Kindle gratuitement.Lien vers ebouqin.fr
clubic a écrit :Livre numérique : le prix unique devrait s'appliquer aux éditeurs étrangers:Depuis plusieurs semaines, députés et sénateurs opposaient leur vision de la protection de l'édition française. Réunis en commission mixte paritaire (7 députés, 7 sénateurs), ils ont finalement décidé de soumettre les plateformes étrangères (Amazon, Apple…) à un prix minimum.Lien sur Clubic
Je sais que les supports et les marchés sont différents mais comme on a vu que cette déclaration s'est retrouvée erronée dans le cas de la musique, du cinéma, du jeu vidéo ou de la télé, je ne serai pas aussi péremptoire.Rappelons quand même par la même occasion que pirater les ouvrages peut mener à la mort de l'édition...
Le mode de consommation n'est absolument pas le même, et pas de masse et rapide pour les e-books, contrairement au disque ou au cinéma. J'entends par là de durée de consommation de 1 à 2 H.Et ce qui est erroné pour les domaines que tu cites, c'est de dire que chaque téléchargement correspond à un achat non réalisé. Cependant, l'industrie du disque et du cinéma souffrent tout de même des téléchargements illégaux, et le nier ou le minimiser est juste bon pour la conscience.Sur un forum comme le notre, par exemple,, où beaucoup de gens lisent et achètent des ouvrages, passer au téléchargement illégal me semble dommageable pour les éditeurs.Enfin, si je souhaitais faire ce rappel, c'est aussi parce que la brève pourrait être considérée comme de la pub pour (pardon, peut-être juste une incitation à utiliser) un site, logo à l'appui. Est-ce que cela a bien sa place dans notre "ligne éditoriale"Merwin Tonnel a écrit :Je sais que les supports et les marchés sont différents mais comme on a vu que cette déclaration s'est retrouvée erronée dans le cas de la musique, du cinéma, du jeu vidéo ou de la télé, je ne serai pas aussi péremptoire.Rappelons quand même par la même occasion que pirater les ouvrages peut mener à la mort de l'édition...
Euh, du moment que le site est nommé dans la brève, je ne vois pas trop ce que l'emploi du logo change (sachant que le site source l'utilise aussi dans sa news).Publivore a écrit :Enfin, si je souhaitais faire ce rappel, c'est aussi parce que la brève pourrait être considérée comme de la pub pour (pardon, peut-être juste une incitation à utiliser) un site, logo à l'appui. Est-ce que cela a bien sa place dans notre "ligne éditoriale"?
Comme je l'indique, l'impression (uniquement perso sans doute) de pub pour ce site. Bien plus que par la seule mention de son nom...Gillossen a écrit :Euh, du moment que le site est nommé dans la brève, je ne vois pas trop ce que l'emploi du logo change (sachant que le site source l'utilise aussi dans sa news).
Celui qui a piraté le n° 10 : a besoin de s'améliorer (ce qui est louable) mais n'est pas prêt à payer pour ça ... Je crois qu'on peut oublier le restau et les fleursGillossen a écrit :Mon dieu, quelle liste...
Loin de moi l'idée de lancer le débat sur le piratage des livres numériques (je crois qu'il y a un sujet sur ça d'ailleurs), mais c'était juste pour dire que même si les marchés sont très différents (on est d'accord là dessus) on ne sait pas encore trop ce qui pourra sortir comme modèle économique d'une banalisation des téléchargements illégaux de livres comme on a vu pour les films et la musique. Et, comme pour les films et la musique, ça peut ne pas être forcément mauvais. Par exemple, les fréquentations des salles de cinéma n'ont jamais été aussi bonnes, des modèles de musique gratuite solides voient maintenant le jour, Netflix et Hulu marchent bien, des développeurs indépendants de jeux vidéos arrivent à se faire entendre et connaître (le compte en banque de Notch, le créateur de Minecraft, le prouve), etc. et tout ça grâce à la vague numérique du piratage pratiqué sur le mode découverte, bouche à oreille, etc... Je ne dis pas que tout est bon et qu'il faut pirater à tout va parce que c'est gratos et que ça fera changer les choses et je ne dis pas que tous les pirates ont une âme de révolutionnaire. Je dis juste que dire "piratage = mort du média piraté" c'est beaucoup trop réducteur pour un phénomène beaucoup plus profond que ça.Le mode de consommation n'est absolument pas le même, et pas de masse et rapide pour les e-books, contrairement au disque ou au cinéma. J'entends par là de durée de consommation de 1 à 2 H.Et ce qui est erroné pour les domaines que tu cites, c'est de dire que chaque téléchargement correspond à un achat non réalisé. Cependant, l'industrie du disque et du cinéma souffrent tout de même des téléchargements illégaux, et le nier ou le minimiser est juste bon pour la conscience.
Ah, ben, si tu le trouves, c'est là que j'aurais voulu poster cette brève.Merwin Tonnel a écrit :Loin de moi l'idée de lancer le débat sur le piratage des livres numériques (je crois qu'il y a un sujet sur ça d'ailleurs)
Nariel a écrit :T'façon, il avait été prouvé que souvent, les gens qui téléchargent les livres les achètent aprèsC'est un peu genre "je veux pas acheter ce livre pour rien alors je jette un oeil"(il me semble >_