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En fait comme Taraise :Izareyael a écrit :Pas trop eu le temps de repasser dans le sujet, désolée...Une autre citation pour permettre à Councilman de donner sa réponse
Taraise a écrit :Je ne sais pas du tout à quel livre les citations se rapportent mais ouah j'adore le style !! Que l'on trouve rapidement s'il vous plait, les citations me donnent très envie de lire le bouquin !
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Toujours pas de bonne réponse pour le moment, voici donc comme promis un nouvel extrait, tiré d'une autre nouvelle du recueil :
Comme le proposaient Ramaloce et Yksin, l'auteur est français (mais pas ceux que vous avez cités).Miss Liddell parle pendant son sommeil, des suites de mots incompréhensibles : péringue, doux terrial, bateauforme, chlorimène. Je me lève pour vérifier que tout va bien. Le dernier sourire du chat, le dernier de la journée, flotte tranquillement au-dessus de son lit.
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Navrée pour ceux et celles qui cherchent encore, et bravo à Owing (puis-je t'appeler Owing ?) pour avoir trouvé le titre de ce livre rétroposthume de Fabrice Colinowingketinketink a écrit :Comme des fantômes?
(en effet, Comme des fantômes est un recueil posthume paru avant la mort de l'auteur)Les deux premières citations étaient extraites de "L'Homme dont la mort était une forêt", la troisième d'"Arnarstapi".Page de pub : Fabrice Colin sera d'ailleurs présent les prochains jours au Printemps du Livre de Grenoble, avec une rencontre publique demain jeudi à 18h et une séance de dédicace vendredi après-midi.Maintenant, question subsidiaire dans le Chaudron : devinez quelle association bien connue sera également présente à Grenoble ce week-end avec un stand sous le chapiteau du festival...Plus de renseignements ici, le programme complet est disponible là.A ton tour, Owing 4899
@Izareyael. Je vais te faire une réponse de Duchesse, owingketinketink oblige... On ne m'appelle pas. ;)Tu peux me donner du owing, du m'âme ketink, du miss tinketink, à ta fantaisie... :DImpossible de remettre la main sur un livre que j'avais en tête et qui, peut-être, aurait donné lieu à une big gamberge. Qu'en ai-je fait? Qu'en a fait mon chat? Vous vous en moquez? OK, alors, ce sera...
Le corps de Caracole n'avait été ni bougé ni dérangé. A l'exception de la douleur sur son visage, il avait encore l'apparence déconcertante de quelqu'un qui s'est endormi au soleil.
