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Franchement, être à 60 km de chez soit, pour moi ce n'est pas un défaut. Il y'a une solution toute simple : déménager. Moi par exemple je travail à...430 km de "chez moi". Mais sinon c'est quoi la propoertion d eposte qui sont encore proposé au concours : 2000 inscrit pour 10 postes? c'était à peu près ça que je m'étais informé il y' a 6/7 ans environ. C'était au final plus simple de passer un Capes de documentaliste pour bosser dans un bahut (c eque j en'ai pas fait puisque le monde de l'éducation national ne m'attire pas).

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Attention, là tu parles pour l'Etat ;) La territoriale, c'est différent. J'ai passé un concours l'année dernière qui s'étendait sur ma région et une région limitrophe. Au départ, il y avait 12 postes internes et 12 postes externes, pour environ 300 candidats. Puis, on est passé à 24 postes de chaque côté. Au final, en externe, nous étions (je crois) 35 ou 36 reçus... et entre temps, d'autres collectivités avaient fait savoir qu'elles embaucheraient donc à priori, il y a eu de la place pour tout le monde. Mais là aussi, ce n'est pas comme pour l'Etat, obtenir un concours ne signifie pas avoir un poste. Dans l'Etat on t'en attribue un, dans la territoriale, tu as juste gagné le droit de commencer à enchaîner les entretiens d'embauche.Maintenant, c'est certain, les places sont chères, mais ce n'est pas impossible:).

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Oui je sais que c'est différent, le concours territorial ne donne qu'un droit à postuler...300 candidat pour une 30aine de postes, ça reste faisable en effet. Un jour je me renseignerais des possibilités de passerelles et de concours interne entre le fonction publique d'état et la territoriale. Je crois que mon administration va m'achever un jour où l'autre.

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Euh... moi, mon boulot, c'est démembreur.Je sais pas pourquoi, mais je sens que ça va être mal vu. En règle générale, c'est comme ça : les gens voient les choses genre primaire. Tu tranches ou t'es tranché. Je comprends, faut bien expliquer à l'autre en face où est sa place, dans ce monde de dingues, hein, mais du coup ma profession est assez mal vue. Et ça me chagrine un peu, j'avoue.Voilà. J'ai dit la vraie vérité de ma vie à tout plein de gens que je connais pas. Et ça m'a fait du bien, et puis en même temps ça me glace le sang. C'est bizarre, non ?Enfin, bon, je vais pas vous ennuyer plus longtemps. Vous devez avoir plein de trucs intéressants à faire, alors que moi, hein, démembrer, c'est pas le pied... (enfin si, mais ça c'est une blague nullasse que tout le monde connaît - EXCUSEZ-MOI).Bon, alors à bientôt peut-être, hein ?Gentiment à vous,'Than.PS : si je peux aider quelqu'un pour des conseils, rapport à un démembrement, ça sera avec plaisir.

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almaarea a écrit :Je me demandais justement l'autre jour quelle formations/études il fallait faire pour se lancer dans la belle profession de démembreur :)
Tu cherches à te reconvertir après ton passage "Cacasse cul-nu" ?

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C'est surtout que le diplôme peut bien servir avec le public auaquel j'ai affaire :mrgreen:(Et cacasse cul-nu ce n'est pas une profession mais une vocation, une manière de vivre et de concevoir les choses totalement novatrices !)

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Euu lol démembreur c'est quoi exactement ?Genre tu vois un type dans la rue et tu dis : "hey mec viens la ! Mon blaze c'est Joe le boucher du Bronx et je vais te démembrer ! Muhahaha *rire sadique*" :p :ph34r:

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@ Almaarea : Pour ce boulot, j'ai suivi un cursus un peu particulier, enfin je crois. C'est plutôt un truc qu'on finit par faire un peu par hasard, au fil des rencontres, si vous voulez. Pour moi, ça a commencé quand j'ai eu mon DSU. J'étais hyper content et, forcément, j'ai été hyper déçu. Mais très vite j'ai compris le pourquoi du comment de tout ça, et j'ai bien pigé que c'était hyper simple, quand on réfléchit un peu. Alors je me suis juré qu'on ne m'y reprendrait plus...(Bon, d'accord, cette phrase-là, je l'ai piquée quelque part).N'empêche : c'est là que tout a commencé. Je me suis dit : "Et si je ferais différemment ?". J'étais très content de l'idée, même si je ne savais pas du tout ce que je pouvais faire, et encore moins comment je pourrais le faire différemment, mais bref, ça me bottait hyper. Alors j'en ai parlé à mon meilleur pote, et je lui ai dit : "Eh, tu sais quoi ? Et si je ferais différemment ?".Il m'a répondu : "Ta formulation est incorrecte. On ne s'exprime pas de la sorte."En entendant ça, j'ai vu tout rouge avec des éclairs violets et de jolies loupiotes très brillantes qui filaient partout à l'intérieur de mon crâne, même les yeux fermés, et c'était très bizarre. J'en ai eu la cervelle toute marboulée, je vous dis pas. Bref.d'un coup tout a été clair, et je lui ai dit, à ce péteux avec ses grandes phrases :- Tu me traites pas de "Formule à Fion", Tu me dis pas que je suis incorrect , Tu me traites pas d' "ex-primé", Et tu m'accuses pas d'être "de la sorte".Eh, ça l'a laissé baba.C'était bien la preuve qu'il avait abusé dans l'excès.Alors je l'ai démembré.Donc, Almaarea, je ne connais pas ton parcours, mais si toi aussi tu as obtenu un DSU et que tu as ce genre d'ami, tu peux faire démembreuse, si c'est un truc qui te tente.@ Turim : Tu vois, c'est pas compliqué.PS : Mon meilleur copain, il disait souvent "lol" aussi, et il a jamais su m'expliquer pourquoi. Dingue, non ?Bon, faut que je vous quitte, j'ai mes Pampers à changer.Gentiment à vous,'Than

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Moi je suis à la fois ex et futur étudiant, en plein carrefour comme on dit :pJ'ai fait trois ans de fac histoire/anglais/informatique (terminé mes crédits en histoire, validé la moitié en anglais, et rien en informatique). Il me reste théoriquement 2ans d'études pour valider mon bachelor en Suisse. Là j'ai arrété l'été passé et j'effectue deux ans sabbatiques pour essayer de réorienter vers une formation universitaire d'éducateur (un an pour la procédure longue et un an pour économiser de quoi payer les trois ans d'études suivants).Au cas où ça ne fonctionne pas je retourne vers l'enseignement, avec (ou sans) un passage à la fac suivant la motivation. :)Gillo la fac d'histoire en France n'est pas couplée à d'autres fac il me semble? C quoi ta période de prédilection (médiéviste,moderniste,contemporain)?

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Du temps où j'étais en fac d'histoire à Rennes, tu avais un enseignement "majeur", l'histoire donc, et un enseignement "mineur" où là tu avais le choix entre géographie et AES (économie, soociologie voire même du droit administratif), plus des options. N'étant pas du tout attiré par l'enseignement, j'avais opté pour la mineur AES, pas si évident que ça d'ailleurs. C'était une bonne formation pour tenter des concours administratifs généraux. Je crois qu'il est aussi possible de fair e2 cursus en même temps, c'est ce qu'avait fait la soeur d'une ex, elle faisait une fac d'anglais et en même temps une d'espagnol (ou italie, me souvient plus). Je ne sais pas si on peut faire la même chose avec l'histoire.

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Ah ok, Chez nous l'histoire est rattachée à la fac de Lettres qui regroupes toutes les sciences humaines. il y a deux branches majeures (souvent rattachées aux sciences humaines mais certains font une deuxième majeure rattachée à une autre fac) et une mineure (exclusivement sciences humaines).

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oui en histoire tu peux faire double cursus tant que c'est avec une fac rattachée donc les sciences humaines comme l'a dit duarcan. Après j'ai quité la fac d'histoire il y a deux trois ans donc ça a pu changer!

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Je vais faire tâche dans cet univers littéraire, mais je suis pour ma part technicien de maintenance/installation dans les émetteurs TNT et FM. Donc beaucoup de boulot en ce moment, passage de la TV au tout numérique oblige...Mais là, tout de suite, je suis en vacances pour deux semaines, et je profite (enfin j'essaie, entre tapisserie à refaire, jardinage et autres joyeusetés, je ne me repose pas autant que je le souhaiterais...) !

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Je te rassure, Lorhkhan, nous ne sommes pas tou(te)s issu(e)s d'un univers littéraire, ou qui se proclamerait comme tel. Nous sommes simplement fondu(e)s d'un GENRE particulier de la littérature. En dehors de nos différences, c'est ce qui nous rassemble.Et sur ce site, même dans ce forum, c'est le seul paramètre qui compte. Enfin, il me semble.Pour ma part et hormis mon activité sporadique de démembreur, non reconnue par la Sécurité Sociale, je me contente de traduire des bouquins.

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Sérieux, t'es traducteur? c'est un métier que j'rêverais de faire mais la formation coûte trop cher... et bonjour l'examen d'entrée...Comment tu en es arrivé là?

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Bijour !Je poste ça ici parce que je me dis que c'est pas la peine de recréer un topic, mais je suis curieuse... Tout le monde j'imagine a des projets pour l'avenir, à plus ou moins long terme, et je me demandais s'il y en avait parmi vous qui ont des projets liés à cette passion de la fantasy ? Comme devenir écrivain, dessinateur, traducteur (je crois qu'il y en a déjà), réalisateur, etc... Ou comme ce monsieur qui a ouvert son café littéraire http://www.nicematin.com/article/cultur ... ntre-villePerso j'en ai des tas (de projets), j'aime bien imaginer des trucs, mais l'un d'eux ressemble pourquoi à ce que ce monsieur a fait, et un autre serait plutôt dans l'esprit ouvrir une ferme auberge ou un truc dans le genre (rien à voir avec la fantasy I know). Enfin dans tous les cas, j'ai beau aimé mon job actuel, je me vois pas faire ça toute ma vie. Et vous ?

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Etrange, je pensais avoir répondu à ce topic mais il semblerait que non en fait.Je suis donc Conseiller d'insertion et de probation dans la "vraie vie". C'est à dire que je suit une sorte de "travailleur social" en milieu pénitentiaire, mon travail, grosso modo, consiste à aider les détenus à se réinsérer et à lutter contre la récidive. J'interviens donc aupèrs d'un public un peu particulier à vraie dire. Un boulot plutôt intéressant, malgré l'indigence en moyen de l'administration pénitentiaire. Je suis en poste en Essonne, à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis, une véritable usine pénitentiaire!