Elbakin.net

Hé ! Mais c'est plus rigolo quand c'est un peu développé ! ^^J'ai vu en DVD Une Vie de Chat, un film d'animation français des gars qui ont fait La Prophétie des Grenouilles et Mia et le Migou, et vraiment, j'aime beaucoup le ton de tous ces films qui ont en commun de choisir un graphisme typé dessin très marqué (par opposition à la 3D ou à du DA Disney) et aussi à une manière de parler à la fois simple mais jamais niaise. Là, on est dans un contexte d'enquête policière, avec une maman commissaire, un voleur au grand coeur et une bande de méchants digne des Tontons Flingueurs ! (La voix de Bruno Salomone dans le rôle du gentil voleur est complètement envoûtante ! )Sur les conseils de Lorhkan, j'ai regardé Source Code et c'était pas mal du tout ! Je ne dis pas que je n'ai pas vu "le truc" venir, mais vu que le sujet est vraiment de voir comment le héros gère psychologiquement sa situation c'est plutôt bien traité. Le scientifique est légèrement TROP méchant ! On peut retrouver la réflexion sur l'éthique du droit à la vie, un peu comme dans Minority Report, à savoir quand l'humain devient un outil en perdant son Être. Et le twist de la fin, même s'il sent le Happy End trop facile, ouvre en même temps une porte intéressante. Pour finir, j'avais peur du côté répétitif inhérent au sujet du film (que je tais volontairement ) mais ils s'en sortent bien et on évite la lassitude ; on est même dans une sorte d'exercice de style (à renarrer inlassablement les mêmes scènes mais en changeant un peu à chaque fois, façon Le Jour de la Marmotte) qui est plutôt bien ficelé ! ^^Donc, merci du conseil !

RicardusAlpert a écrit :Intouchables : 7/10

Salut,peux tu développer stp? pour une fois que quelqu'un ne l'encense pas...

Ravi de t'avoir donné envie de le voir, c'est un bon film !

Je plussoie Tybalt en recommandant Colorful, une œuvre magnifique, qui aborde des thèmes très durs avec beaucoup de douceur. J'ai véritablement retrouvé là mon mal-être d'ado et pourtant ce film est plein d'espoir, très positif.Et bien sûr, le premier film de l'auteur, un été avec Coo, est tout aussi beau !J'ai vu plusieurs films pour enfants dernièrement :Zarafa : jolie histoire d'un petit africain qui va suivre son amie la girafe, capturée par Hassan, un envoyé du calife qui va l'offrir au roi de France....De l'Afrique à Paris, une grande épopée avec de magnifiques décors, assez sympa et que les mômes adoreront.La Clef des Champs : pas d'histoire, juste deux enfants qui se croisent autour d'une mare et observent les créatures qui y vivent. Lent, poétique, contemplatif, ça ne va pas casser la baraque, mais j'étais été prise par le charme des images. Les auteurs ont réalisé par le passé Microcosmos et Genesis.Le chien du Tibet : dessin animé sino-japonais, où un petit garçon est forcé, à la mort de sa mère, de quitter la ville et d'aller vivre dans la plaine avec son père, qu'il ne connait pas. Il s'attache à un chien étranger à la plaine, tandis que d'horribles meurtres sèment la terreur... Costumes magnifiques des habitants des plaines tibétaine, histoire mignonne, mais des scènes de massacre feront peur aux plus jeunes. De plus, on retrouve un défaut asiatique de vouloir forcer l'émotion avec des scènes pompeuses aux effets appuyés et une musique envahissante.

Mais Zarafa ne sort qu'en février ! Tu l'as vu en avant-première ? Veiiinarde !

Scéance de ratrapage des blockbusters de l'été : Vu Captain America Sans surprise, c'est un film Marvel "de base". On a droit à toutes les étapes habituelles : génèse du héros un peu longuette, peu d'action au final, du blabla sans intérêt, une construction du récit sans surprise etc... Le héros parvient à être encore plus insipide que Thor, et le méchant est franchement nul à chier (d'ailleurs j'ai pas bien compris comment il mourrait à la fin, s'il meurt d'ailleurs). Néanmoins, le film a quand même des qualités : son contexte notamment. J'aurais cru que comme dans certains comics récent ils auraient résumer la période sur la guerre et que le film aurait été contemporain. Pas du tout, tout le film se passe en 1942-43 et c'est tant mieux! Au moins il y a tout un effort esthétique vraiment agréable, ça nous change de la bourgade ridicule de Thor. Le personnage de Captain America en lui même est plutôt intéressant, et le fait que ses capacités "surhumaine" soit finalement peu impressionnante le rend plus "crédible" et donc humain. Mais dommage que l'acteur qui le campe soit si fade. Voilà, finalement pas grand chose à en dire, c'est du blockbuster typique, divertissant, agréable à l'oeil, mais vraiment sans plus. Une question que je me pose : je me demande ce que ça va donner pour les Vengeurs car Captain America est vraiment bien moins fort qu'un Iron Man, Thor ou Hulk... mais j'oublie que les scénaristes marvel sont capable de tout.

Tybalt a écrit :Mais Zarafa ne sort qu'en février ! Tu l'as vu en avant-première ? Veiiinarde !

*mode crâneuse*Gniark !:pJe vois plein de film avant même les avant-premières, car je travaille dans un cinéma et c'est mon boulot d'aller voir les films pour enfants avant leur sortie pour décider si je les programme ou pas !!

Alors :The Lady de Luc Besson : 8,5/10Luc Besson délaisse un peu sa réalisation outrancière pour s'effacer derrière cette femme hors du commun, magistralement interprétée par Michelle Yeoh au côté du trop rare David Thewlis dans le rôle de son mari.Un film essentiel, poignant et d'une force incroyable, malgré quelques longueurs.Hara-Kiri, mort d'un samouraï de Takashi Miike : 7,5/10Un bon film, avec des thèmes assez brillamment exploités et des acteurs excellents. Mais Miike a tendance à accumuler les longueurs et filme un peu trop sagement (Effet Festival de Cannes ?).L'Ordre et la Morale de Mathieu Kassovitz : 9,25/10Aux côtés de Intouchables (dans un autre registre), pour moi LE Film français de l'année avec un Kassovitz qui bouffe l'écran et un scénario en forme d'uppercut.Tintin et le secret de la Licorne de Steven Spielberg et Peter Jackson : 4/10Croisant plusieurs tomes de Tintin, le long métrage d'animation de Spielberg et Jackson impressionne d'emblée par sa beauté plastique hallucinante et son animation splendide.Le problème majeur pourtant, c'est que si Tintin passe bien sur le papier ou sur le format court du dessin animé, il passe très mal sur le long cours et l'on s’ennuie mortellement pendant les 2 heures tandis que Tintin dit ce qu'il pense tout haut à longueur de temps... Vite vu, vite oublié.

Dans l'émission de Dahan Opération Frissons sur la chaine de Canalsat il était dit beaucoup de bien du film de Kassovitz.J'irai peut être le voir du coup.

HideawaysUn joli film très poétique, mais malheureusement sans surprise. On sait d'avance ce qui va arriver aux 2 personnages principaux.Je pense que ce qui pêche le plus dans ce film est le manque de moyens, notamment dans les scènes où s'active le pouvoir de James où les plans sur la nature donnent l'impression de sortir tout droit d'un documentaire de mauvaise qualité. Si la musique est agréable, elle est loin d'être transcendante, notamment dans les scènes d'émotion. Là encore, s'ils avaient plus d'argent, ils auraient sans doute eu une meilleure bande son moins anecdotique.A part ça, j'ai été séduite par l'idée de départ et le jeu des acteurs principaux, notamment Harry Treadaway, que je ne connaissais pas. Mais si j'ai été ravie de retrouver à l'écran Thomas Brodie-Sangster (le gosse de Love Actually, Nanny McPhee ou la Dernière Légion), j'ai trouvé dommage que, le film étant si court son rôle soit complètement baclé.Bref, si une part de moi a été enchantée, l'autre est restée sur sa faim.

Le TableauNouveau long métrage d'animation de Jean-François Laguionie, un habitué de la fantasy en animation puisqu'il a déjà réalisé Le Château des singes et L'Île de Black Mor (mais aussi plusieurs courts métrages fantastiques ou merveilleux plusieurs fois primés).La division règne parmi les personnages d'un tableau inachevé. Les Tout-peints, seuls personnages terminés du tableau, vêtus de somptueux vêtements colorés, méprisent les personnages inachevés, les Pas-finis, à qui il manque quelques finitions, et les Ruffs, de simples esquisses. Le peintre reviendra-t-il un jour terminer son tableau ? On le pensait au début, mais ce n'est plus l'opinion des Tout-peints, qui, en vertu de leur beauté, s'arrogent le pouvoir sur les autres. Poursuivis par des Tout-peints, une Pas-finie et un Ruff, accompagnés d'un Tout-peint coupable d'être en couple avec une Pas-finie, s'égarent jusque dans la forêt interdite, réputée remplie de périls mortels. Ils décident alors de tenter le tout pour le tout : sortir du tableau, et retrouver le peintre pour lui faire terminer tous les personnages. Ils découvrent alors le monde réel, puis les autres tableaux du peintre, qui forment un univers visuel riche en plaisirs et en dangers. De tableau en tableau, ils font tout pour retrouver la trace du peintre... en espérant que ce soit vraiment la solution à leur problème.J'ai beaucoup aimé ce film Il est visuellement superbe, savoureux à regarder et à écouter. Les graphismes sont placés sous le signe de la peinture expressionniste ; les tableaux sont un réjouissant festival de couleurs (et parfois un festival tout court), semé de trouvailles créatives. L'animation utilise certainement des modélisations en image de synthèse pour les personnages, mais leur rendu 2D se fond bien dans les décors et l'ensemble a un "cachet" original par rapport à ce qu'on voit habituellement ces temps-ci. La musique et les bruitages sont également très soignés. Le thème de l'histoire est un grand classique, une réflexion sur la création et sur la vie des personnages d'une création, mais l'intrigue évite les poncifs et traite ce thème connu d'une façon originale, qui donne à réfléchir et sait s'arrêter avant d'en faire trop, que ce soit dans la réflexion politique ou dans la mise en abîme. Le résultat est un fort beau film, dont on ne parle pas assez !RRR

Dark Schneider a écrit :Scéance de ratrapage des blockbusters de l'été : Vu Captain America Sans surprise, c'est un film Marvel "de base". [...] Ben non, justement.Voilà, finalement pas grand chose à en dire, c'est du blockbuster typique, divertissant, agréable à l'oeil, mais vraiment sans plus. Divertissant ? Agréable "à l'oeil" ? Y'a des fois, dans tes analyses, tu me laisses pantois, quand même.Une question que je me pose : je me demande ce que ça va donner pour les Vengeurs car Captain America est vraiment bien moins fort qu'un Iron Man, Thor ou Hulk... mais j'oublie que les scénaristes marvel sont capable de tout.

Mais tu n'as pas encore vu l'adaptation de Calimero's Uprising (125 millions de dollars, next year !), avec sa coquille frontale multi-dégravitante quand il trouve que c'est trop injuste. Là, je peux te dire que ça dépote son yucca sans les racines, et brutal. Sinon, c'est vrai : qui qu'il est le plus fort, hein, entre Iron Man, Thor ou Hulk ?Putèze, ça c'est une bonne question.Moi je dirais :Calimero.PS : Chacun/e aura remis les choses à leur place, du moins j'espère.

J'ai enfin réussi à voir The artist.C'est pas mal, mais, à force d'en entendre dire du bien, j'en attendais plus. J'ai cru un moment que cela aller tourner un peu plus au fantastique, ce qui n'aurait pas été pour me déplaire. Mais non, c'était juste un rêve.Bref, je préfère le cinéma parlant.Ce que j'ai trouvé super, c'est ... le petit chien.

Shame de Steve McQueen :Brandon est un employé de bureau à New-York. Il possède un bel appartement et sort régulièrement avec ses collègues de bureau en soirée. Chaque matin, il prend le métro et observe les autres.Brandon souffre pourtant d'une terrible addiction, l'addiction sexuelle.Croisant le chemin de sa soeur avec qui il vit une relation d'amour-haine auto-destructrice, il erre entre plan cul, pute et porno, se détruisant à petit feu, mourant chaque minute qui passe.Second film de Steve McQueen, Shame est le bijou surprise de l'année.Tout d'abord parce que Shame traite avec un brio incroyable d'un tabou sociétal presque absolu : l’addiction sexuelle. On suit Brandon dans des séances de baise toutes plus répugnantes les unes que les autres car filmées avec une distanciation froide et glaçante mais aussi en nous faisant adopter le sentiment de répugnance de Brandon pour lui-même.Ensuite, Michael Fassbender trouve ici peut-être le rôle de sa vie. Il happe l'écran, le spectateur, la lumière, tout est capté par le charisme brut de l'acteur. Tout semble commencer et finir sur les traits de son visage, comme cette jouissance en forme de souffrance et de larmes.A ses côtés, Carey Mulligan joue son exact opposé de Drive, avec une fille extravertie, tendance impulsive, dépressive et elle-aussi, autodestructrice.Mais c'est surtout par la réalisation et sa façon d'aborder l'addiction sexuelle que le film explose tout.Il s'ouvre et se ferme sur une séquence éclatée et recomposée de moments choisis de la vie de Brandon sur la sublimissime musique de Hans Zimmer pour The Thin red Line. Mais McQueen choisit de filmer New-York avec une attention toute particulière, il y emprisonne une ville qui ne dort pas mais surtout une ville où d'une part, tout se voit avec des chambres ouvertes par d'immenses vitres, mais qui, d'autre part, et c'est tout le paradoxe, vous enferme, vous ramène à la solitude primale qui ne vous lâche plus, vous envahit et s'auto-alimente. New-york apparaît tour à tour comme magnifique puis tyrannique et enfin désertique avec ces deux plans touchés par la grâce, d'un Brandon affalé contre une vitre dans une chambre d’hôtel et celui du même homme affalé contre le bitume et pleurant toute sa solitude et sa détresse à la face du monde : décors différent pour des sentiments finalement semblables.En ne tombant JAMAIS dans le voyeurisme mais en se contentant d'une caméra clinique qui dissèque les ébats mécaniques, animaux, froids et sans âme de Brandon, McQueen trouve un contrepoids à cette séquence troublante où de simples caresses avant l'acte empêchent Brandon de continuer, comme apeuré par un contact, une humanité qu'il a égaré en route dans les rues de cette immense mégalopole.Pour peaufiner la description de son personnage, McQueen nous parle de la soeur de Brandon avec laquelle il a une relation tendue, pour le moins. Honteux de son addiction, dégoûté par lui-même, il s’éloigne de sa propre soeur qui le renvoie à sa honte de lui-même, de ses pulsions incrotrolables mais qui le renvoie aussi au contact, à l'amour d'une soeur qu'il ne sait pas gérer et n'a, semble-t-il, jamais su gérer. Cette même soeur dont il redoute les pulsions auto-destructrices, comme un miroir tendu devant ses propres failles à lui, devant ce pourquoi il doit "baiser" encore et encore, pour oublier ses envies de morts. Un palliatif au suicide.McQueen livre une profonde réflexion non seulement sur le tableau du sexe dans notre société mais aussi sur cette vie moderne qui nous broit, entre voyeurisme et cloisonnement, entre la solitude et la foule, entre l'amour et la baise.Shame est un chef d'oeuvre dont la noirceur du propos nous poursuit longtemps.Comme un secret inavouable, que chacun cache et qui nous hante, pour toujours.9,75/10

Vu Stake Land. Je remercie les personnes qui l'ont conseillé sur ce topic, c'est comme ça que j'ai appris l'existence de ce film. Un très bon road movie sous fond d'invasion de vampires, se rapprochant beaucoup de "La Route". Les acteurs sont justes, la réalisation sobre, la musique excellente, l'histoire bien mené, les thèmes brassés par le film sont intéressant (l'émancipation, le fanatisme religieux, le kkk etc)...et dire que c'est un direct to dvd! bien meilleur que bon nombre de blockbuster et autres œuvres similaire. Bref, pour peu que l'on soit fan des zombie et vampire movie, du post apocalyptique, il faut voir se film qui se hisse dans les œuvres de qualités de ce genre.

@ littlefinger (enfin je crois)J'ai vu hier le remake de The Thing. Au-delà de Mary Elizabeth Winstead, qui est mignonne tout plein, c'est un bon film qui a peu à souffrir de la comparaison à l'original, ce qui est assez rare pour le signaler.J'ai particulièrement apprécié le générique de fin (situation, musique, typopraphie...) totalement en raccord avec l'original !

Juste un mot pour vous rappelez d'aller voir le sublime Take Shelter de Jeff Nicchols (vu en AVP en Novembre) qui sort mercredi (la critique se trouve plus avant dans ce forum).

Vus :Or Noir : grosse déception. Il y avait tout pour faire une belle épopée et... rien. Pas un souffle épique, la sauce ne prend pas. Vraiment un beau gâchis.Hugo Cabret : Une histoire passionnante, de jeunes acteurs charmants, un visuel merveilleux, mais il y a quelque chose de bancal dans la construction du film, dommage.La délicatesse : j'ai été touchée par cette histoire, vraiment. Si Audrey Tautou n'est pas époustouflante, juste bien, François Damiens est tout bonnement épatant ! Une jolie surprise.

Littlefinger a écrit :Juste un mot pour vous rappelez d'aller voir le sublime Take Shelter de Jeff Nicchols (vu en AVP en Novembre) qui sort mercredi (la critique se trouve plus avant dans ce forum).

Littlefinger a écrit :Take Shelter de Jeff Nichols : 9,5/10 Entre trip schizophrène et fantastique, entre pétage de plomb et amour paternel, entre le grand film et le chef d'oeuvre.

Merci pour le conseil Littlefinger ! Les acteurs Michael Shannon et Jessica Chastain portent le film, et sans leur prestation, il serait beaucoup moins réussi...Sinon pour la fin, je pense que j'aurai encore plus aimé si il s'arretait

Vu IntouchablesLa blague de la fin 2011 histoire de bien faire oublier la crise économique...Honnêtement, c'est un bon film. Une bonne comédie française très bien écrite, avec son lot de très bonnes répliques, on sourit voire on rigole fréquemment. Omar Sy est vraiment un super acteur et je surveillerai de près sa carrière, je me rêve de le voir dans un rôle dramatique. Rien d'exceptionnel pour le reste du casting. Là où j'estime qu'il y a arnaque c'est qu'on nous a vendus ce film comme "fort en émotion". Bah l'émotion je la cherche toujours! Le film reste bien trop sur le ton de l'humour pour susciter une vraie émotion, et le final, bien trop vite expédié, ni change rien. Bref, un bon film du dimanche, rien de plus. On était trois à la regarder hier soir, on a tous bien aimé mais sans plus.Si vous voulez de l'émotion forte et des acteurs très justes, je vous conseille de voir Des vents contraires avec Benoit Magimel, Ramzy..., actuellement au ciné, c'est triste et dramatique mais ça évite de sombrer dans le mélodrame.