Posté : mer. 20 juin 2018 20:36
Pentacle de Dario Alcide?
Il me dégoûte avec sa figure enchantée, ruisselant d'amour et de vénération. On dirait un fou mais sa folie n'est plus teintée de cruauté, elle se nourrit d'une tendresse répugnante, il s'accroche à X, un sourire extatique sur les lèvres, comme si rien ne s'était passé avant, comme s'il ne venait pas d'assassiner un père. Il a brisé une famille, il a essayé de me tuer parce que je ne lui avais pas révélé où se terrait sa chère progéniture et il est là, rayonnant. J'ai envie de lui faire du mal, lui qui méprise la vie avec autant de dédain et qui se vautre dans une étreinte passionnée avec sa fille...
Mon clan me rejettera, comme le veut la coutume quand un candidat est refusé. Je suis la honte de ma famille, la pestiférée qui a hurlé au visage de la ville qu'elle voulait partir, qu'elle n'était pas satisfaite de son sort, celle qui, pour cela, ne sera pas initiée. La seule à ne pas avoir trouvé preneur. Je suis orpheline, apatride.
Les poneys ! dis-je, méprisante. Est-ce qu'ils peuvent voler, ou souffler des particules de glaces sur ceux qui les contrarient ? Je ne crois pas. Des poneys, vraiment..
Oh. Marie Brennan. Le premier tome j'imagine. (je retombe plus sur le titre là)Amaryan a écrit :Un indice alors : C'est une série anglophone de fantasy victorienne
La Mort, c’est ce qui ne vous arrive pas, au moment où vous le vivez. C’est la peur repoussée jusqu’au coup de lame suivant. C’est chacun de vous par-dessus tout le reste.
Gagner la guerre ?Erkekjetter a écrit :Je tente une petite relance du sujet !La Mort, c’est ce qui ne vous arrive pas, au moment où vous le vivez. C’est la peur repoussée jusqu’au coup de lame suivant. C’est chacun de vous par-dessus tout le reste.