Intriguée par le résumé, je viens de terminer ce
Douze. Verdict? Une plume agréable, adulte, on sent l'auteur faire vivre une âme russe romantique derrière, et l'histoire d'amour présente dans le roman n'est en rien une fausse note.Pas exempts de défauts, le livre a le mérite d'intriguer. Il y a quelques longueurs aussi, mais rien qui n'empêche la lecture sur le long terme. Un peu un ovni à sa manière dans sa façon de présenter les choses avec le ressentiment d'Alexeï face aux
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vordaalaks
, ou bien avec cette grande Histoire
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derrière sur laquelle finalement nos héros n'ont pas de prise
.Certains personnages sont assez fascinants, au point que je me suis demandée si jasper Kent ne s'était pas trompé de héros:
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Plutôt qu'Alexeï, le pauvre Maxime aurait peut être donné un souffle en plus au roman
.Je vais réfléchir à continuer le cycle en vo, sinon le premier tome peut également se suffir à lui même et ne tombe jamais dans le piège du manichéisme primaire.