Posté : sam. 31 juil. 2010 20:49
Je n'ose commencer à lire ce cycle avant qu'il soit entièrement paru, rien de plus horripilant de devoir attendre la suite !
Je viens finalement de commander ces 1008 pages qui me faisaient diantrement envie... mais en format papier. :)Je suis allée à la pêche aux impressions des premiers lecteurs et en voici une qui me fera retarder, encore, l'achat d'un kindle ou autre appareil de ce genre.Gillossen a écrit :http://nsa19.casimages.com/img/2010/09/ ... 982949.jpgAh, j'aimerais bien que ça soit le mien !
I want to make this perfectly clear: the narrative itself is worthy of 5 stars, but the Kindle version rates, at best, only 1 star.The artwork, which presumably adds a great deal to the enjoyment of the narrative, is rendered tolerably well on both iDevices as well as the Kindle2. However, due to compression artifacts, the stylized text included in the artwork is altogether illegible on both types of devices. A novel containing as much artwork as this one does should _never_ have been offered in Kindle format until image size constraints are either removed or increased dramatically.If you own a Kindle, save yourself some grief and purchase the hardcover instead!
Un excellent roman, c'est ben vrai !led a écrit :Un bon filon que possède Orbit; A voir si on sera mangé à la sauce pygmalionnienne ( hé oui,je persiste et je signe !).Et pour Wearbreaker,un sujet à part est évident à moins d'un navet mais j'en doute.
“When’s book two coming out? What’s taking so long?”Là j'avoue j'ai rigolé venant de sa partMerwin Tonnel a écrit :Comment faire un bon blurb pour The Way of Kings, par Patrick Rothfuss. Bizarre que je sois plus intéressé par ce que Rothfuss a à dire du bouquin que par le livre en lui-même...
Non seulement Sanderson multiplie les personnages mais en plus il multiplie les trames de temps.A d'autres endroits, plutôt intéressant, le roman se transforme en réflexions "philosophiques", pas de haute volée mais certaines sont bien vues.En gros il veut un peu casser les poncifs du genre, comme il l'a déjà fait dans ses précédentes histoires d'ailleurs, parfois ça passe parfois ça casse. Au final c'est une lecture agréable dans l'ensemble avec quelques bons points mais la longueur semble un peu forcée.Diderot a fait de grands compliments à Richardson sur la prodigieuse variété de ses tableaux et sur la multitude de ses personnages.Richardson a, en effet, le mérite de les avoir tous bien caractérisés: mais quant à leur nombre, il à cela de commun avec les plus insipides romanciers, qui suppléent à la stérilité de leurs idées à force de personnages et d'aventures. Il est aisé de réveiller l'attention en présentant incessamment et des événements inouïs et de nouveaux visages, qui passent comme les figures de la lanterne magique : mais de soutenir toujours cette attention sur les mêmes objets, et sans aventures merveilleuses, cela, certainement, est plus difficile; et si, toute chose égale, la simplicité du sujet ajoute à la beauté de l'ouvrage, les romans de Richardson, supérieurs en tant d'autres choses, ne sauraient, sur cet article, entrer en parallèle avec le mien.