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Annonce Pour fêter la sortie française de L'océan au bout du chemin au Diable Vauvert, le 23 octobre, Neil Gaiman sera à Paris. Elbakin.net aura l'immense honneur de le rencontrer et de pouvoir l'interviewer. Je souhaite que vous participiez aussi à l'événement et, pour cette raison, j'aimerais que vous me soumettiez des questions que vous aimeriez poser à Neil Gaiman. Vous pouvez les poster directement dans ce fil ou me les envoyer par MP.
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Et voici le compte rendu de la conférence de presse :arrow:Lorsque le Diable Vauvert invite Neil Gaiman
:arrow:Lorsque le Diable Vauvert invite Neil Gaiman72
Désolée Alana !Et voici l'interview en ligne ::arrow: http://www.elbakin.net/interview/exclus ... -questions
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Merci pour ce "sacrifice" de ta soirée pour la communauté, Aléthia ! ;)Le passage de Neil Gaiman en France est évidemment l'objet de beaucoup d'interviews et de rencontres :Interview croisée avec Dave McKean, à l'occasion de l'exposition à la Galerie Martel (17 rue Martel, Paris Xe) jusqu’au 22 novembre : http://www.telerama.fr/sortir/neil-gaim ... 118932.phpou encore audio dans l'émission Mauvais Genres sur France Culture (à partir de 97:30 , bien que ce qui précède reste très intéressant sur les romans gothiques et le sublime) : http://www.franceculture.fr/player/reec ... ay=4935874
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Sélectionné pour le prix Bob Morane:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/229 ... Bob-Morane
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Sympa !Je l'ai fini il y a quelques jours d'ailleurs. Avis assez mitigé, il y a des éléments que j'ai adoré et d'autres qui m'ont complètement laissée de marbre.Je l'ai lu en VO alors que je suis encore loin d'être bilingue, ce qui n'a certainement pas aidé. L'écriture est assez simple pour l'aborder quand on a un faible niveau de langue, même s'il faut jeter un coup d’œil de temps en temps dans le dico. Mais ce que je trouve le plus intéressant chez Gaiman, c'est les atmosphères tellement particulières qu'il arrive à construire et je crains d'en avoir loupé quelques subtilités ici... Certaines choses m'ont agréablement marquée, comme la famille Hempstock et leur océan. Tout en finesse et en poésie, entre mystère et simplicité. L'emprunt à la mythologie est très réussi : comment ne pas penser aux Parques et autres trios féminins à l'évocation de Lettie et de sa famille ? En revanche, le déroulement même de l'histoire et la menace qui pèse sur le héros ne m'ont pas touchée du tout et m'ont paru même assez banal. Quant au héros, c'est peut-être parce qu'il se remémore ses souvenirs une fois adulte, mais je l'ai trouvé bien trop mature pour un enfant de sept ans.
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Bon, donc encore une fois à la demande d'un admirateur secret 
, un condensé de ce que j'ai tartiné ailleurs :C'est un bon et beau roman, plein de nostalgie enfantine et de féerie. Gaiman sait toujours aussi bien saisir ses personnages et ébaucher une histoire passionnante avec des éléments fantastiques intriguants. Le roman se dévore d'autant plus vite qu'il est fluide et court mais on ne peut s'empêcher de penser que Gaiman fait du Gaiman, qu'il n'y a au bout du compte pas de grosse prise de risques, pas de grande audace narrative. En somme,e le bouquin fait passer un très bon moment au lecteur mais ne surprendra guère. Les prix reçus semblent donc un tantinet exagérés.
, un condensé de ce que j'ai tartiné ailleurs :C'est un bon et beau roman, plein de nostalgie enfantine et de féerie. Gaiman sait toujours aussi bien saisir ses personnages et ébaucher une histoire passionnante avec des éléments fantastiques intriguants. Le roman se dévore d'autant plus vite qu'il est fluide et court mais on ne peut s'empêcher de penser que Gaiman fait du Gaiman, qu'il n'y a au bout du compte pas de grosse prise de risques, pas de grande audace narrative. En somme,e le bouquin fait passer un très bon moment au lecteur mais ne surprendra guère. Les prix reçus semblent donc un tantinet exagérés.
